Adama Wade

De nationalité Mauritanienne, il est arrivé à Casablanca vers 1992.

Diplôme de CLC (Capitaine au Long Cours de la Marine Marchande) Marine Marchande et Commerce International. Depuis 2000, poursuit sa carrière dans la presse marocaine, notamment dans les rubriques Économie et finances.

Il a dirigé le bureau de Casablanca et les rubriques financières du journal Les Afriques avant d'en devenir Directeur de la Rédaction. Depuis le 1r juillet 2013, Adama Wade est directeur de publication de Financial Afrik . À ce titre, il a été short listé pour la finale du concours « African Story Challenge » de 1 million de dollars.

Entre 2000 et 2002, il est rédacteur à la Vie Industrielle et Agricole et à la Vie Touristique Africaine (Casablanca).

Pendant deux ans, il sera ensuite responsable de la rubrique « Économie » à Demain Magazine.

En octobre 2003, il devient journaliste à Aujourd'hui le Maroc et il prend la responsabilité de la rubrique « Économie et Finances » en 2006

En juillet 2007, il quitte Aujourd'hui le Maroc pour devenir le directeur de la rédaction du journal panafricain Les Afriques[1] En décembre 2010, il est lauréat du Prix Lorenzo-Natali (Union européenne) à la suite d'une enquête sur la filière cacao en Côte d'Ivoire. À partir de juillet 2013, Adama Wade sera chargé de la direction de publication de Financial Afrik.

Sur le site du journal Les Afriques[2], Adama Wade affirme que c’est la première fois depuis de nombreuses années que le continent africain présente un cycle de croissance continue. Les clignotants sont au vert : progression du PIB au rythme de 4 % depuis 2002, baisse de l’inflation dans de nombreux pays, réduction de la dette extérieure. À cela, il faut ajouter une conjoncture internationale marquée par la hausse des matières premières (pétrole, fer, produits agricoles) qui profite largement à l’économie africaine. Le Fonds monétaire international prévoit une croissance de 5,8 % sur l’année 2007 pour l’ensemble de l’Afrique. Du jamais vu depuis 25 ans[3].

C’est en assemblant ces différents indicateurs que les conjoncturistes des plus grandes banques internationales font de l’Afrique le prochain marché émergent à l’horizon 2010[4].