vorland

(Date à préciser) De l’allemand Vorland, lui-même de vor et de Land.

vorland \Prononciation ?\ masculin

1. (Géographie) Contreforts d’une montagne.
   • La région dont nous nous occuperons ici est la partie du vorland de l’Atlas comprise entre le 9^me et le 11^me degré de longitude ouest de Paris et entre les parallèles de Rabat et de Marrakech, c’est-à-dire un territoire d’environ 40.000 kilomètres carrés, représentant à peu près la 12^me partie du Maroc. — (Frédéric Weisgerber, Trois Mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Ernest Leroux, Paris, 1904, p. 161)
   • Les points de partage des eaux, et notamment les vorlands, subissaient peu l’influence de ces tremblements de terre […] — (François Gabut, Archéologie préhistorique et gallo-romaine : Larina, Marigneu, Tombeau du général, L’île Barbe, Appendice, Imprimeri Alexandre Rey, Lyon, 1894, p. 49)
   • Le lendemain du tremblement de terre le prospecteur Hill vit non loin de la Mission de Yakutat, par conséquent sur le vorland de graviers incohérents, une surface de 10 acres (plus de 4 hectares) traversée à des intervalles d’environ 1 m. — (Fernand Bernard, comte de Montessus de Ballore, La Géologie sismologique : les tremblements de terre, Armand Colin, 1924, p. 180)
   • La méganappe Coumane est située aujourd’hui par rapport aux Carpates au vorland et les autres deux méganappes au hinterland. — (Travaux du Muséum d’histoire naturelle « Grigore Antipa », vols. 25-26, 1984, p. 430)

• Vorland

• hinterland