Villers-au-Tertre

Villers-au-Tertre est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Villers.

Villers-au-Tertre

Une entrée de la commune.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Douaisis
Maire
Mandat
Patrick Mercier
2020-2026
Code postal 59234
Code commune 59620
Démographie
Population
municipale
643 hab. (2018 )
Densité 141 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 10″ nord, 3° 11′ 00″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 86 m
Superficie 4,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aniche
Législatives Dix-septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Villers-au-Tertre
Géolocalisation sur la carte : Nord
Villers-au-Tertre
Géolocalisation sur la carte : France
Villers-au-Tertre
Géolocalisation sur la carte : France
Villers-au-Tertre

    Géographie

    Villers-au-Tertre dans son canton et son arrondissement

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Villers-au-Tertre
    Erchin
    Monchecourt
    Bugnicourt Fressain

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 720 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, mise en service en 1954[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[9] à 10,5 °C pour 1981-2010[10], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Villers-au-Tertre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,5 %), zones urbanisées (7,3 %), forêts (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Histoire

    Une charte du mois d' de l'abbaye d'Anchin cite "Jou Mahieux d'Aubi sire de Villers-au Tertre". Le nom d'Aubi viendrait de la famille de Saint-Aubin (de Douai), dont le premier auteur connu est Guy en 1161, puis Wauthier son fils, Barthélémy et enfin Alaume de Villers (chartes de 1231 et 1250). Ce dernier n'eut qu'une fille nommée Marie qui se maria au seigneur de Manchicourt et c'est son frère Hellin, dit du Saulchoy, qui reprit la seigneurie de Villers-au-Tertre.

    Cette seigneurie restera dans la famille jusqu'à la fin de l'ancien régime avec Charles-Louis de Villers-du-Tertre, dont la fille Françoise-Olympe-Julie apporta cette baronnie à Louis-Charles-Auguste le Prévost, comte de Gagemon, capitaine d'E.M. du 3e corps de l'armée de Russie en 1812. À la mort de Françoise-Olympe, la baronnie revint à son cousin Alphonse-François de Wavrin Villers-au-Tertre, premier pair du Cambraisis, comte de Villers-au-Tertre et du St Empire, qui en fut le dernier seigneur. Après la révolution, Alphonse-François de Wavrin Villers-au-Tertre s'installa à Houdeng-Aimeries, dans le Hainaut.

    Héraldique

    Les armes de Villers-au-Tertre se blasonnent ainsi : D'azur à un écusson d'argent, accompagné de onze billettes du même mises en orle.

    D'après "les Souvenir de la Flandre Wallonne", p. 141.t.1, Alaume serait le fils de Mathieu d'Aubi, seigneur de Villers-au-Tertre en 1242 et portait un écu en abîme accompagné de 11 billettes en orle placées 4,2,2,2,1. Demay dans son recueil des sceaux donne les mêmes armes (no 1715). Cette famille qui s'appelait "de Saulchoy" descendait de Gossuin de Wavrin et d'Ada du Rœulx. ce Gossuin avait dû fuir la Flandre parce qu'il avait tué un sergent du comte de Flandre et était venu se réfugier en Hainaut sous la protection de Baudouin V. Cette famille prit les armes des Aubi c'est-à-dire d'azur à l'écu d'argent accompagné de 11 billettes de même.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des élections municipales le , on dénombre 501 inscrits, dont 354 votants et 351 suffrages exprimés. Le maire sortant Patrick Mercier recueille notamment 180 voix[19]. Il est réélu maire le .

    Liste des maires

    La tombe de Désiré et Joseph Thieullet dans le cimetière de Villers-au-Tertre.
    La mairie.
    Titulaires de la fonction de maire de Villers-au-Tertre
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Joseph Thieullet (d)
    (mort le )
    Désiré Thieullet (d)
    (mort le )
    Jean-Baptiste Gay (d)23 ans et 7 mois
    Daniel Collignon (d)13 ans
    Patrick Mercier (d)[20],[21]
    (né le )
    En cours14 ans sans étiquette

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

    En 2018, la commune comptait 643 habitants[Note 6], en augmentation de 5,76 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    333368358431448449446455402
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    387422398402377408445452444
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    484518525460538546564513489
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    483456454481621655608608619
    2018 - - - - - - - -
    643--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Villers-au-Tertre en 2007 en pourcentage[26].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,6 
    6,4 
    75 à 89 ans
    6,8 
    8,7 
    60 à 74 ans
    11,3 
    28,5 
    45 à 59 ans
    23,2 
    19,1 
    30 à 44 ans
    19,7 
    19,5 
    15 à 29 ans
    20,6 
    17,8 
    0 à 14 ans
    17,7 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[27].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
    • Le cimetière.
    • Mont Tilleul, place centrale du village
    • Le , la nouvelle Mairie s'est installée sur le Mont Tilleul, à côté de l'Église Saint Pierre-Saint Paul.
    • Chapelle Notre Dame de Bonne-Espérance.
    • École maternelle.
    • École primaire.
    • Bibliothèque.
    • Plateau sportif, aire de jeux.
    • La Ferme du Tertre
    • Foyer des Jeunes et d'Éducation Populaire

    Personnalités

    Géants du Marquis de Traisnel, Claude-Constant-Esprit Jouvenel des Ursins d'Harville (1723-1794), et de son épouse Antoinette Goyon de Matignon (1725-1770) en sortie au mont Tilleul samedi 4 juillet 2020. Géants réalisés respectivement en 1986, 2003

    Famille de Villers-au-Tertre

    La famille de Villers-au-Tertre est une noble et ancienne famille noble. Elle compte notamment :

    • Hellin de Villers-au-Tertre, chevalier, vivant au XIIIe siècle.
    • Aliaume de Villers-au-Tertre, seigneur de Villers-au-Tertre, frère de Hellin, vivant en 1287.
    • Antoine de Villers-au-Tertre, oncle de Jean-Baptiste qui suit, chevalier, seigneur de Lihove. Avec son frère, père de Jean-Baptiste, il a joué un rôle majeur dans la prise de la ville de Cambrai en 1595. Il a convaincu le roi d'Espagne d'en faire le siège, en sachant que ses accointances avec la population permettrait d'obliger le maréchal de France Jean de Montluc de Balagny à se rendre.
    • Jean-Baptiste de Villers-au-Tertre, écuyer, seigneur de Cambrin, est fait chevalier par lettres données à Madrid le 26 mars 1632. il a porté les armes au service de son roi à ses propres frais dans l'infanterie espagnole, dans la compagnie du capitaine Jean Ortis, au régiment de don Diego de Messea[28].

    Autres

    Fait divers

    Fin , le propriétaire d'un pavillon a découvert les ossements de deux nouveau-nés en voulant planter un arbre. Par la suite, six autres nouveau-nés ont été découverts au domicile des anciens propriétaires[29].

    Folklore

    Villers-au-Tertre a pour géants le marquis de Traisnel et Marie-Antoinette de Goyon de Matignon[30].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Site officiel

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station météofrance Cambrai-Épinoy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Villers-au-Tertre et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur insee.fr (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Villers-au-Tertre », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 10.
    20. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428) :
      « Villers-au-Tertre : sans étiquette »
    21. P. V., « Villers-au-Tertre : Patrick Mercier repart pour un dernier mandat « de transition » », La Voix du Nord, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428, lire en ligne) :
      « Mardi, le conseil municipal d’installation a réinvesti à l’unanimité Patrick Mercier dans les fonctions de maire qu’il occupe depuis 2007. L’édile a mentionné qu’il pourrait « passer la main » avant la fin de son dernier mandat. »
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. « Évolution et structure de la population à Villers-au-Tertre en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    27. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    28. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 37, lire en ligne.
    29. « Villers-au-Tertre : la mère reconnaît avoir étouffé huit de ses enfants », sur http://www.leparisien.fr/, Le Parisien, .
    30. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15
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