Villebernier

Villebernier est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Villebernier

Vue générale depuis les hauteurs
de Dampierre-sur-Loire.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire
Maire
Mandat
Jean-François Miglierina
2020-2026
Code postal 49400
Code commune 49374
Démographie
Gentilé Villebernois
Population
municipale
1 464 hab. (2018 )
Densité 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 15′ 14″ nord, 0° 01′ 46″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 32 m
Superficie 9,91 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saumur
(banlieue)
Aire d'attraction Saumur
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Longué-Jumelles
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Villebernier
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Villebernier
Géolocalisation sur la carte : France
Villebernier
Géolocalisation sur la carte : France
Villebernier

    Géographie

    La Loire depuis les berges de Villebernier, avec au fond le château de Saumur.

    Commune angevine implantée sur la rive nord de la Loire[1], Villebernier est située entre Angers et Tours, et est à proximité d'Allonnes, Varennes-sur-Loire et Saint-Lambert-des-Levées.

    Partagée entre le Baugeois et le Saumurois, cette commune ligérienne s'étire sur les bords de la Loire. Pour s'en protéger, les habitants de la vallée bâtirent au fil des siècles une levée de terre qui borde tout au long le territoire. L'Authion, affluent du grand fleuve, irrigue aussi ses terres maraîchères.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 611 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saumur », sur la commune de Saumur, mise en service en 1950[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 614,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le département d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et à 62 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Villebernier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saumur, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[18] et 29 992 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saumur dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60,5 %), terres arables (23,3 %), prairies (5,5 %), eaux continentales[Note 6] (5,4 %), zones urbanisées (4,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,5 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie et héraldique

    Héraldique

    Les armes de Villebernier se blasonnent ainsi :

    Coupé : au 1er d'azur à un château flanqué de deux tours couvert d'argent accosté en chef d'une croix patriarcale de sable bordée d'or à dextre et d'une fleur de lis du même à senestre, au 2e d'or maçonné de sable, à une gabare (bateau fluvial) de sable voguant sur une champagne ondée d'azur, les voiles ferlées d'argent, et au pavillon d'or brochant sur la partition[25].

    Histoire

    Villebernier possède quelques richesses architecturales qui font le charme de cette commune ligérienne.

    L'église romane et le manoir de Launay, construction du roi René, monument historique de la commune, date du début du XVe siècle, en 1414. La chapelle Notre-Dame-des-Eaux, dont l'histoire remonte à la grande crue de la Loire en 1843, est curieuse par son architecture arrondie.

    Une cale et un petit port dit de Saint-Mainbeuf, ont été installés en 1857 en amont du bourg, à l'extrémité d'une pointe de terre qui formait autrefois l'île Saint-Mainbeuf où s'ancrent fièrement quelques plates de Loire.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs[26]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 1983 André Gribius   Général en retraite
    1983 1995 Jean Darchis    
    1995 2001 Roger Lefèvre    
    mars 2001 mars 2008 Jean-Michel Breau   Exploitant Maraîcher
    mars 2008 mars 2014 Jean-Pierre Jonval    
    mars 2014 mai 2020 Christiane Pelletier[27] DVD  
    mai 2020 En cours
    (au 1er juin 2020)
    Jean-François Miglierina[28] DVD  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire. Elle était précédemment membre de la communauté d'agglomération de Saumur Loire Développement[29], elle même membre du syndicat mixte Pays Saumurois.

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Villebernier fait partie du canton d'Allonnes et de l'arrondissement de Saumur[30]. Ce canton compte alors sept communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Longué-Jumelles, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[31].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2018, la commune comptait 1 464 habitants[Note 7], en diminution de 1,41 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9691 0961 0271 2151 3401 3121 3981 4021 380
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2821 2251 2281 1421 0711 0641 014978930
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9188998368277827958659491 041
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 0971 1371 1621 2451 3061 3491 3961 4451 501
    2018 - - - - - - - -
    1 464--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,8 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,9 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

    • 49,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 23,3 %, 15 à 29 ans = 15,6 %, 30 à 44 ans = 19 %, 45 à 59 ans = 21,7 %, plus de 60 ans = 20,3 %) ;
    • 50,4 % de femmes (0 à 14 ans = 20,6 %, 15 à 29 ans = 14,9 %, 30 à 44 ans = 20,5 %, 45 à 59 ans = 20,9 %, plus de 60 ans = 23,2 %).
    Pyramide des âges à Villebernier en 2008 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90  ans ou +
    1,0 
    5,6 
    75 à 89 ans
    7,0 
    14,6 
    60 à 74 ans
    15,2 
    21,7 
    45 à 59 ans
    20,9 
    19,0 
    30 à 44 ans
    20,5 
    15,6 
    15 à 29 ans
    14,9 
    23,3 
    0 à 14 ans
    20,6 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[37].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,1 
    6,3 
    75 à 89 ans
    9,5 
    12,1 
    60 à 74 ans
    13,1 
    20,0 
    45 à 59 ans
    19,4 
    20,3 
    30 à 44 ans
    19,3 
    20,2 
    15 à 29 ans
    18,9 
    20,7 
    0 à 14 ans
    18,7 

    Économie

    Sur 86 établissements présents sur la commune à fin 2010, 36 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 37 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[38]. Fin 2015, sur les 78 établissements actifs, 50 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 9 % de celui du commerce et des services et 27 % du secteur de l'administration et de la santé[39].

    Culture et Patrimoine

    Patrimoine

    • Le manoir de Launay (classé monument historique)
      La première mention connue du manoir remonte au début du XVe siècle, il appartenait à un certain Jean-Crist en 1414. Au centre d'une forêt, le petit manoir se composait de corps de logis en fer à cheval entourant une cour qui s'ouvrait vers l'ouest.
      C'est en 1444 qu'il est vendu au duc d'Anjou, le roi René, qui en fit don à sa femme Isabelle de Lorraine deux ans plus tard. Quelques semaines après, le roi René y organisa des fêtes dont un tournoi célèbre qui fut dit « Pas de Launay » ou « Pas de Perron ». René augmenta le domaine, y fit des travaux de restauration et de construction, ajoutant deux corps de bâtiments.
      Cette construction est l'une des premières architectures Renaissance en France juste à la fin du Moyen Âge. Vingt propriétaires se succédèrent, pour ne citer que les plus célèbres : Louis XI, Charles VIII, Louis XIII, etc.
      Au XVIIIe siècle, Boulay du Martray transforma la façade côté parc en faisant de grandes ouvertures, aucuns travaux n'ayant été entrepris au cours des derniers siècles, les toitures avaient subi le dommage du temps, les façades en pan de bois victimes de la mauvaise couverture menaçaient l'écroulement. Conservé et rénové avec passion et minutie dans la pure tradition de l'époque grâce à une importante participation de l'État français, un parfum de paix et de tranquillité se dégage de cet ensemble qui rappelle le caractère exceptionnel et privilégié qu'avait voulu donner le roi René à cette demeure : un lieu de vacances, de retraite, ou rien ne fut conçu pour la guerre ou la violence.
    • La chapelle Notre-Dame-des-Eaux
      Elle fut construite sous l'égide du curé Théar, à la suite de la crue en 1843.
      La légende voudrait que lors de cette grande crue qui envahit la vallée, une statuette de la Vierge, transportée par les eaux boueuses, vint s'échouer sur les abords du bourg protégeant ainsi les habitations d'un plus grand désastre (40 cm d'eau seulement à cet endroit). Les croyants voyant là un signe du Ciel firent édifier en son honneur cette chapelle où ils vinrent vénérer leur statuette.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (notice BnF no FRBNF35857376), p. 772-775.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. IGN, Géoportail Villebernier (49), consulté le 9 juin 2014.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saumur - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Villebernier et Saumur », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saumur - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Villebernier et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Saumur », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Blasonnement selon les descriptions figurant sur le site officiel de la mairie de Villebernier
    26. Célestin Port 1996, p. 772-773, liste des maires jusqu'en 1995.
    27. « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
    28. « Villebernier. L’adjoint sortant Jean-François Miglierina élu maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    29. Insee, Composition de l'EPCI de Saumur Loire Développement (244900361), consulté le 7 novembre 2013.
    30. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Villebernier, consultée le 15 février 2015.
    31. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Évolution et structure de la population à Villebernier en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. Insee, Statistiques locales du territoire de Villebernier (49), consultées le 16 juin 2013
    39. « Dossier complet - Commune de Villebernier (49374) », sur Insee, (consulté le ).
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