Ville amie des aînés
Une ville amie des aînés est une ville ayant mis en place une politique en faveur des personnes âgées selon une méthodologie proposée par l'Organisation mondiale de la santé[1]. Il en existe au Québec[2], en France[1]. Il y en a aussi une dizaine en Wallonie (Belgique): Andenne, Bernissart, Braine-l'Alleud, Farciennes, Malmedy, Mons, Namur, Sprimont, Vaux-sur-Sûre.[3]
La démarche est ascendante puisque l'avis des aînés est recueilli pour bâtir le plan d'action[4].
La méthodologie peut s'appliquer à différentes échelles : communes, municipalités québécoises, communautés de communes françaises[5], etc.
Notes et références
- Frédérique Marié, « 2e Colloque Des Villes amies Des Ainés le 30 juin à Paris », sur France info,
- Anne Pélouas, « Au Québec, les "villes amies des aînés" pilotées par les personnes âgées elles-mêmes », Le Monde, (lire en ligne)
- « UVCW, mensuel Mouvement communal n° 924, dossier Wallonie amie des aînés », sur www.uvcw.be, (consulté le )
- « Des villes « amies des aînés » », Les dossiers d'Alternatives économiques, (lire en ligne)
- Estelle Bailleux, « Pays de Mormal: les personnes de plus de 60 ans sondées sur le territoire », La Voix du Nord, (lire en ligne)
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