Urval

Urval est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Urval

Le village d'Urval.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Éloi Compoint
2020-2026
Code postal 24480
Code commune 24560
Démographie
Gentilé Urvalais
Population
municipale
116 hab. (2018 )
Densité 8,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 46″ nord, 0° 56′ 56″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 245 m
Superficie 13,38 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Urval
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Urval
Géolocalisation sur la carte : France
Urval
Géolocalisation sur la carte : France
Urval

    Géographie

    Communes limitrophes

    Carte d'Urval et des communes avoisinantes en 2015, avant la création de la commune nouvelle de Coux et Bigaroque-Mouzens.

    Urval est limitrophe de cinq autres communes. Au nord, son territoire est distant d'environ 420 mètres de celui de Coux et Bigaroque-Mouzens.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 901 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 35 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Urval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (78,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), prairies (6,8 %), terres arables (0,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La première mention écrite connue du lieu est relevée dans un pouillé du XIIIe siècle sous la forme Urvals, avant d'être cité en 1462 sous la forme Orval[20]. Ce toponyme dérive du nom d'un personnage germanique Uro suivi du nom latin vallis correspondant à la « vallée d'Uro » [21],[22] ou au « vallon d'Uro »[23].

    En français comme en occitan, la commune porte le même nom[23].

    Histoire

    Le , les communes de Cadouin, Paleyrac et Urval entrent en fusion-association avec celle du Buisson-Cussac qui prend alors le nom du Buisson-de-Cadouin[24].

    Le , Urval reprend son autonomie[24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Dès 1790, la commune d'Urval est rattachée au canton de Cadouin qui dépend du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[25]. Il change de nom en 1974, devenant le canton du Buisson-de-Cadouin.

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[26]. La commune est alors rattachée au canton de Lalinde, lui aussi dépendant de l'arrondissement de Bergerac.

    Intercommunalité

    Début 2002, Urval intègre dès sa création la communauté de communes de Cadouin. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    janvier 1974 février 1989 Aucun maire[Note 5]    
    février 1989 mars 2001 Henri Lepers    
    mars 2001[29] mai 2020 Roland Kupcic SE[30] Artisan menuisier
    mai 2020 En cours Éloi Compoint    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Urval relève[31] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2018, la commune comptait 116 habitants[Note 6], en augmentation de 2,65 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    460470415460425433478491476
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    482459445422410418347326334
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    340293255188183171179192165
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    149159109121123163153152150
    2013 2018 - - - - - - -
    113116-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    Lors des recensements de 1975 et 1982, la commune d'Urval n'existait plus en tant que telle mais était associée à celle du Buisson-de-Cadouin.

    Économie

    Emploi

    En 2015[35], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante-deux personnes, soit 47,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (neuf) a augmenté par rapport à 2010 (deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt-deux établissements[36], dont huit au niveau des commerces, transports ou services, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq dans la construction, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de la Bourlie, XVe siècle XVIIIe siècle XIXe siècle, classé ainsi que son domaine.
    • Château de la Poujade, XVIIIe siècle XIXe siècle, classé.
    • Église Notre-Dame-de-la-Nativité d'Urval[38],[39]. L'église est fortifiée. Le chœur et la nef portent des chambres de défense. Le chœur carré du XIe siècle est voûté en berceau en plein cintre retombant sur des colonnes, dont deux en marbre noir sont des réemplois (d'une villa gallo-romaine ?). Le chœur et la nef sont séparés par l'arc triomphal en plein cintre qui retombe sur des colonnes engagées avec des chapiteaux sculptés d'entrelacs et de rinceaux de feuillage. L'extrémité du chœur supporte un mur défensif. Au-dessus de l'arc triomphal, le clocher-mur a servi à compléter la défense au-dessus de la nef.
    • Four banal du XIVe siècle. Au-dessus du four se trouvait le logement du fournier. En 1853, la toiture en tuile a remplacé celle de pierre. Le four a été restauré en 1862. Il a encore servi pendant la Première Guerre mondiale. Il est encore utilisé chaque année pendant la fête du village.

    Personnalités liées à la commune

    • Léon Poirier (1884-1968), mort à Urval, cinéaste, maire de la commune[40] de 1959 à 1968.
    • L'abbé Jean Bru (1761-1794), né à Urval, prêtre réfractaire pendant la Révolution et déporté sur les tristement célèbres Pontons de Rochefort. Il meurt d'épuisement et de mauvais traitements sur Les-Deux-Associés, le 19 septembre 1794. Il est inhumé sur l’Île Madame avec ses malheureux compagnons.

    Héraldique

    Blason
    D’azur à l’ours d’or passant sur une terrasse isolée et appointée de gueules, surmonté d’un croissant d’argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Les Confinés d’Urval

    Pendant le confinement décidé en 2020 en raison de la Pandémie de Covid-19, sept cousins, qui s’étaient rendus à Urval à l’occasion des élections municipales 2020 auxquelles leur oncle était candidat, entreprennent de filmer chaque jour un pastiche d’une œuvre cinématographique. Le contenu, publié sur une page Facebook ainsi qu’une chaîne YouTube, connaît rapidement du succès[41] et attire l’attention de journalistes locaux[42],[43],[44] et nationaux[45].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. De janvier 1974 à février 1989, la commune était associée à celle du Buisson-de-Cadouin et n'avait plus de maire, mais un maire délégué.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Urval et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Urval et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Urval », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 690..
    22. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 414.
    23. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 24 avril 2014.
    24. Commune d'Urval (24560) - commune actuelle, Insee, consulté le 28 novembre 2018.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    27. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 16 septembre 2020.
    28. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
    29. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 4 septembre 2014.
    30. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 12.
    31. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Dossier complet - Commune d'Urval (24560) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
    36. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    37. Dossier complet - Commune d'Urval (24560) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
    38. Pays de Bergerac : Église d'Urval
    39. Jean Secret - Périgord roman - p. 30 - Éditions Zodiaque (collection "la nuit des temps" no 27) - La Pierre-qui-Vire - 1968
    40. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 753.
    41. Le , leur page Facebook comptait 20 192 likes et leur chaîne Youtube, 542 abonnés.
    42. Laurence Méride, « Les confinés d'Urval : les cousins qui amusent internet avec leurs parodies de films cultes », sur francebleu.fr, le 12/04/2020 (consulté de 05/05/2020).
    43. Hélène Chauwin, « A Urval, des cousins confinés parodient des films célèbres », sur france3-regions.francetvinfo.fr, le 11/04/2020 (consulté le 05/05/2020).
    44. Nancy Ladde, « Vidéos. Coronavirus : le joyeux confinement de cousins coincés en Périgord », sur sudouest.fr, le 04/04/2020 (consulté le 05/05/2020).
    45. Anne-Claire Coudray, Le 20H de TF1 : Le Journal du week-end, sur TF1, le 26/04/2020.
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