Touët-sur-Var
Touët-sur-Var est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Touët-sur-Var | |||||
Vue sur le village de Touët-sur-Var. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Alpes d'Azur | ||||
Maire Mandat |
Roger Ciais 2020-2026 |
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Code postal | 06710 | ||||
Code commune | 06143 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Touëtans ou Touëtois | ||||
Population municipale |
667 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 56′ 53″ nord, 7° 00′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 280 m Max. 1 043 m |
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Superficie | 14,98 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Nice (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vence | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Touëtans ou bien les Touëtois.
Jusqu'en 1860, le nom officiel était en italien : Toetto di Boglio.
Géographie
Localisation
Commune située entre Villars-sur-Var (9 km) et Puget-Théniers (10 km).
Sismicité
La commune dispose d'un plan de prévention des risques[1]. Commune située dans une zone de sismicité moyenne[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau traversant la commune[3] :
- Var (fleuve),
- Cians (fleuve).
Climat
Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[4].
Voies routières
Village accessible depuis la route des Alpes D 6202 (ex-RN 202), reliant Nice à Villars en 1860, puis à Touët en 1903.
Transports en commun
- Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Lignes SNCF
Le chemin de fer dessert Touët en 1888, par la ligne Nice - Digne[5] des Chemins de fer de Provence (plus connue sous le nom du « Train des Pignes »)[6].
- Gare du train des Pignes[7].
Urbanisme
Typologie
Touët-sur-Var est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (14 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,4 %), zones urbanisées (3,5 %), prairies (2,3 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Toponymie
Le nom curieux de Touët découle du mot ligure « Teba » qui signifie « rocher ».
De « trouée », « porte », les portes de Nice pour certains ; d'un radical préromain TOB, « cabane » pour d'autres.
1108 Castelum Toeti - 1259 Thoeto - 1536 El Toet - 1760 Touët.
Histoire
Blotties les unes contre les autres, ses maisons séculaires aux assises de pierre et aux toits ocre de tuiles romaines lancent un défi au temps qui passe.
Les premiers habitants de cette région furent les Ligures, quelque huit cents ans avant notre ère. Ils connaissaient le cuivre et le bronze. L'élevage des troupeaux était leur grande occupation car le relief accidenté et une terre pauvre, car rocailleuse, ne permettaient pas une agriculture prospère. Mêlés aux Celtes, nos Ligures tombèrent sous la domination des Eguituris, montagnards robustes et agiles, aimant par-dessus tout la chasse et les combats. Durant plusieurs décennies, ils se battent contre les Romains mais sont vaincus par l'empereur Auguste. La région devient une province romaine et des traces relevées dans le village confirment cet état de fait.
Lorsque le christianisme s'installe en Gaule (du IIIe au VIe siècle), Touët relève de l'évêché des Glandeves, proche d'Entrevaux.
Invasions des Lombards puis des Sarrasins. De leurs passages restent des noms tels que Maurin, Maurel, signifiant « noirâtre, noir ». Les Sarrasins furent définitivement chassés des lieux par le comte de Provence durant le Xe siècle. En récompense, ses vassaux reçurent des terres et c'est ainsi que Touët revint au comte de Beuil.
Au XIIIe siècle, la population du village est d'environ quatre cents âmes qui se protègent derrière un pont-levis, se groupant autour du petit château appartenant pour moitié au comte de Provence et au comte de Beuil.
Entre le XIIIe siècle et le XVIIIe siècle, le village subit successivement la servitude des Templiers installés dans le village proche de Rigaud où ils jouent le rôle de seigneurs les intempéries et les ravages provoqués par la peste noire. Le 7 octobre 1315, Jacques Ruffi (?-av.1331), Baile de Vintimille (1300), vice-amiral de Provence (1315), Baile de Digne (1327), chevalier, originaire de Nice devint seigneur du Touët[15]. Il était le descendant du notaire Bertrand Roux et fut d'abord clavaire. En 1314, il prit part à l'expédition dirigée par le roi Robert contre la Sicile. En 1326, Jacques Ruffi est capitaine des galères de Nice avant d'être la même année nommé à la tête des galères provençales qui devaient faire partie de l'escadre de Naples[16].
Une commanderie des Templiers, installée à Rigaud — autre village à cinq kilomètres d'ici — jouant un rôle de seigneurs et considérant les Touëtois comme des serfs, perçoit des dîmes et s'approprie des biens un peu partout aux alentours. Les Templiers faisaient même payer les services religieux alors célébrés en la chapelle Notre-Dame-Sainte-Marie construite au XIIe siècle sous l'égide de l'abbaye de Lérins.
En plus des intempéries naturelles saccageant les cultures de la vallée du Var au XIVe siècle, les villageois doivent subir les atrocités de la peste noire qui décime la population, laissant une centaine de personnes en vie.
Le village suit l'histoire de la maison de Beuil et, en conséquence, devient propriété de la maison de Savoie en 1388 avant d'être celle des États sardes plus tard.
Durant le XVIIIe siècle, le comte de Beuil ayant été exécuté, ses châteaux brûlés et ses biens confisqués, le village est inféodé à différents seigneurs dont les derniers furent les comtes Claretti. Pendant ces occupations successives, guerres, pillages et incendies se multiplient.
En 1793, Touët devient français mais redevient sarde en 1814. Il ne reste plus que quarante habitants et la misère est grande. Suit une période de stagnation qui exacerbe leur amertume. En 1860, les Touëtois votent à l'unanimité pour l'annexion à la France.
L'abbé Désiré Niel, né en 1814 à Touët où son père exerçait la profession de notaire et la fonction de maire sous le Consulat, œuvra d'une manière intensive pour le rattachement à la France. Député, inspecteur d'Académie, il se retire à Touët en 1871. Sa générosité « municipale » le fait participer financièrement à la construction d'un pont sur le Var en remplacement de l'antique passerelle, ainsi qu'aux premiers travaux reliant le haut avec la bas du village. D'où l'avenue Désiré-Niel achevée en 1890. Il quitte notre monde en 1873, léguant plusieurs de ses biens à son village, ainsi qu'une rente annuelle destinée à la construction d'une école pour les filles, les garçons seuls étant scolarisés jusqu'alors.
En 1908, Touët-de-Beuil devient Touët-sur-Var, évitant une certaine confusion dans la distribution du courrier. Enfin relié à la côte, le village se modernise peu à peu.
En 2005, grâce à l'opération « Touët sur Var - le village aux portes peintes » lancée par l'association « Lou Souliaïre » les rues du village sont devenues un musée à ciel ouvert[17].
Politique et administration
Budget et fiscalité 2018
En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :
- total des produits de fonctionnement : 523 000 €, soit 765 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 345 000 €, soit 505 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 287 000 €, soit 420 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 579 000 €, soit 847 € par habitant ;
- endettement : 240 000 €, soit 351 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 10,40 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 2,95 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 23,41 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 000 €[20].
Économie
Agriculture-élevage
Tourisme
Le développement du tourisme, la facilité des communications et le goût de plus en plus prononcé des vacanciers pour les sports de neige ont fait de Touët un relais entre Nice et les stations de sports d'hiver, ainsi qu'un lieu de villégiature prisé par les vacanciers friands de soleil.
- Café-théâtre[22].
- Gîtes de France,
- Camping[23].
Commerces et services
- Commerces et services de proximité[24].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2018, la commune comptait 667 habitants[Note 3], en diminution de 4,44 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +0,5 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Établissements d'enseignements relevant de l'Académie de Nice[29] :
- École maternelle,
- École primaire[30],
- Collèges à Puget-Théniers,
- Lycée à Valdeblore.
Santé
Professionnels et établissements de santé[31] :
- Médecins à Puget-Théniers, Villars-sur-Var,
- Pharmacies à Entrevaux, Gilette,
- Hôpitaux à Entrevaux, Gilette.
Cultes
- Culte catholique, Paroisse Notre-Dame du Var[32], Diocèse de Nice.
Culture locale et patrimoine
Églises et chapelles
- Église paroissiale du Haut-village construite « à cheval » sur le vallon. Au milieu de la nef, une trappe permet de voir couler sous l’église un torrent tumultueux[33].
- Chapelle Saint-Antoine-l'Ermite[34] au bord du Var, à l'entrée du pont.
- Chapelle Saint-Jean des Pénitents blancs[35], sur le sentier muletier qui mène vers le haut-village (transformée en gîte étape).
- Chapelle des Templiers[36] sur la place du bas-village. Un service religieux a lieu hebdomadairement le dimanche matin.
- Notre-Dame-du-Cians[37], chapelle du XIIe siècle[38]. Une messe est célébrée le 15 août.
- Monument aux morts[39] : Conflits commémorés 1914-1918 - 1939-1945.
L'église paroissiale du haut village. L'église vue du belvédère. Située dans la nef de l'église de Touët sur Var cette petite trappe permet, quand on la soulève, d'apercevoir la rivière en cascade par-dessus laquelle est bâtie l'église. Chœur de l’église paroissiale du haut village de Touët-sur-Var.
Moulin à huile
L'ancien moulin à huile de Touët-sur-Var a été rénové et remis en service en mai 2009[40].
Pressoir à olives à la mairie de Touët-sur-Var.
Galerie des présidents de la République Française
Touët-sur-Var est une des seules mairies à avoir conservé tous les portraits des présidents depuis leurs origines. Les cadres sont tous d'origine. En 1997, Mairie Expo a décerné la Marianne d'or (meilleur maire de France) à Roger Ciais, maire de Touët-sur-Var, pour la galerie des présidents de la République ouverte dans sa mairie et sur Internet.
La Marianne d'or qu'ont reçue des mains d'Alain Trampoglieri, en mairie de Touët-sur-Var, le maire et son conseil municipal prime une idée à la fois républicaine, civique et originale sur Internet. Avec cette distinction, la commune enrichit son patrimoine communal d'une Marianne en or, présentée dans le célèbre coffret rouge et or du joaillier Cartier de la place Vendôme.
Galerie des présidents à la mairie de Touët-sur-Var. Galerie des présidents à la mairie de Touët-sur-Var.
Quelques portraits originaux de la galerie des présidents.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Blason | Tranché au : 1) d’azur à la tour d’or maçonnée de sable surmontée d’une étoile de huit rais aussi d’or, au 2) de sinople à la grappe de raisin tigée et feuillée d’or ; à la bande ondée d’argent brochant sur la partition[45]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Informations sur les risques
- Didacticiel de la réglementation parasismique
- Station de mesure
- Table climatique
- Traversée Touët-sur-Var – Villars-sur-Var
- Chemins de fer de Provence
- la gare du Train des Pignes à Villars-sur-Var
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Venturini, Evolution, tome I, p. 151.
- Venturini, Evolution, tome II, p. LXXVII.
- « Touët-sur-Var, le village aux portes peintes »
- Site de la préfecture des Alpes-Maritimes « Copie archivée » (version du 26 avril 2008 sur l'Internet Archive), consulté le 20 juin 2008
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Agriculture biologique
- Café-théâtre
- Camping de l'Amitié
- Commerces de proximité
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Établissements d'enseignements
- École primaire
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Notre-Dame du Var
- Église Saint Martin
- Chapelle Saint Antoine
- Chapelle Saint Jean des Pénitents Blancs
- Chapelle Saint Martin des Templiers
- Chapelle Notre-Dame-du-Cians
- Chapelle Notre Dame du Cians
- Monument aux morts
- L'ancien moulin à huile de Touët-sur-Var, vidéo par Alain Depresle
- Meule de l’ancien moulin à huile
- Abbé Désiré Niel
- Légendes et chroniques insolites des Alpes-Maritimes, par Edmond Rossi
- Les inspecteurs d'académie du second empire dans le département des Alpes-Maritimes, Par René Tresse : I - Abbé Désiré Niel (Juin-octobre 1860)
- Héraldique, Vexillologie provençale, par Dominique Cureau
Voir aussi
Bibliographie
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Villars-sur-Var : pp. 981 à 986 : Touët-sur-Var
- Touët-sur-Var, sur infosdesvallees.com/
- Touët-sur-Var, paroisse, sur dignois.fr/
- Village de Touët-sur-Var, sur provence7.com/
- Touet sur Var : le Comté de Nice en 1850, Murs et linteaux, sur archeo-alpi-maritimi.com/
- sous la direction de Colette Bourrier-Reynaud, La vallée du Var. Route des vignobles d'hier et des vins d'aujourd'hui, Nice, Serre Editeur, , 40 p. (ISBN 2-86410-314-1)Touët-sur-Var, le vin de Touët, par Maurice Guibert, Agrégé de Géographie et Marie-Jeanne Guibert, Certifiée d'histoire, pp. 21 à 24 Syndicat mixte touristique des Alpes d'Azur (SITALPA). Ouvrage collectif coordonné par Colette Bourrier-Reynaud, présidente du SITALPA. L'Ancre Solaire
- Dr Michel Bourrier, Villages de montagne à l'heure de la grande guerre, Le canton de Villars-sur-Var, Nice, Lou Savel, , 280 p. (ISBN 2-9510630-1-6)Chapitre XII : Touët-sur-Var, pp. 179 à 208
- Philippe de Beauchamp, Photographies Loïc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)Vallées du Var moyen, du Cians, de la Roudoule, du haut-var et de la Tinée : Touët-sur-Var, p. 95
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Touët-sur-Var, p. 1175
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Touët-sur-Var sur le site de l'Insee
- Villages du Comté de Nice, Touët-sur-Var
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
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