The KVB

The KVB est un groupe de rock indépendant britannique, originaire de Londres, en Angleterre[1]. Actif depuis 2010[2], le groupe joue une musique qualifiée de post-punk, gothique et shoegazing qui est souvent rapprochée de celle jouée par les groupes Jesus and Mary Chain, A Place to Bury Strangers, The Soft Moon ou Tropic of Cancer[3],[4].

The KVB
Informations générales
Pays d'origine Royaume-Uni
Genre musical Shoegazing, musique bruitiste, rock indépendant, cold wave
Années actives Depuis 2010
Labels Invada Records, Clan Destine Records, Sweating Tapes, A Records, Cititrax, BEKO DSL, FLA Records
Site officiel www.thekvb.co.uk
Composition du groupe
Membres Nicholas Wood
Kat Day

Biographie

Le groupe débute comme un projet solo du musicien Nicholas Wood qui officie sous le nom de Klaus Von Barrel[5],[6]. Il publie un premier disque sur le label Free Loving Anarchist en 2010[6]. En 2011, différentes publications physiques ou numériques sur différents labels indépendants, tels que BEKO[7], vont se succéder dont la cassette Subjection / Subordination[8]. La claviériste Kat Day rejoint le groupe à la fin de l'année 2011[6].

L'année 2012 voit la sortie de l'album Always Then[9]. En 2013, le groupe publie l'album Immaterial Visions sur le label City Trax, une subdivision du label Minimal Wave[10]. Une partie des titres de cet album seront remixés par d'autres artistes et publiés sur un EP baptisé Immaterial Visions Remixes[11]. Toujours la même année, l'album Minus One, jusque-là disponible uniquement sur internet, bénéficie d'une véritable édition par A Records, le label de Anton Newcombe de The Brian Jonestown Massacre[12],[13] et reçoit un bon accueil[1],[14]. En parallèle d'une tournée australienne en première partie de The Brian Jonestown Massacre, les deux groupes éditent un single partagé[15].

Le duo enregistre un nouvel album, Of Desire (2016)[16],[17] au studio situé à Bristol de Geoff Barrow[18],[19]. En soutien à l'album, The KVB embarque dans des tournées en têtes d'affiche en Europe, Asie, en Amérique du Sud, et en Afrique du Sud[20]. En 2017, The KVB sortent l'EP Fixation / White Walls[21],[22],[23]. Only Now Forever sort le [24].

Discographie

Albums studio

Singles et EP

Notes et références

  1. (en) NME Album revie, The KVB - 'Minus One', Mischa Pearlman, New Musical Express, 15 novembre 2013.
  2. (en) The KVB Biography, Gregory Heaney, AllMusic.
  3. (en) Drone Bomb: An Interview With The KVB, Ben Graham, The Quietus, 12 novembre 2013.
  4. (en) The KVB, Minus One, Martin Aston, Mojo n°242, novembre 2013.
  5. (en) The KVB, Patrick Emery, Beat Magazine, 6 décembre 2013.
  6. (en) The KVB Biography, Resident Advisor.
  7. The KVB : Sur la compile Hartzine ? Beko, La Dépêche du Midi, 27 octobre 2011.
  8. The KVB : Nightmares #2, Charline Lecarpentier, The Drone, 16 septembre 2011.
  9. The KVB : Always Then, Charline Lecarpentier, The Drone, 12 janvier 2012.
  10. (en) The KVB have Immaterial Visions, Jordan Rothlein, Resident Advisor, 10 janvier 2013.
  11. (en) The KVB detail remix EP; Regis, Silent Servant and Shifted to feature, Fact magazine, 27 mars 2013.
  12. Dazed's overlooked albums of the year. Darkwave passion, K-Pop's finest and the female rapper with bars for days, Dazed & Confused, 14 décembre 2013.
  13. Minus One The KVB, Paskal Larsen, Foutraque.com, 5 décembre 2013.
  14. The KVB, Minus One, Jean-Daniel Beauvallet, Les Inrockuptibles n 941, 11 décembre 2013.
  15. (en) World premiere: The Brian Jonestown Massacre ‘Days, Weeks and Moths’, Sarah Smith, Fasterlouder, 14 novembre 2013.
  16. (en) « Of Desire Review », sur The Quietus.
  17. (en) « Of Desire (2016) », sur AllMusic.
  18. (en) « New Music of the day : The KVB », sur NME.
  19. (en) « Review Of Desrie tracklist », sur Gigwise.
  20. (en) « Gigography », sur Songkick.
  21. (en) « The KVB - Fixation / White Walls EP [Red Vinyl With Black Splatter] », sur www.invada.co.uk
  22. (en) « The KVB - Fixation / White Walls EP », .
  23. (en) « Be the first to hear a track from The KVB's new EP on Invada », .
  24. Charline Lecarpentier , « Le travail, c’est les synthés », Libération, 14 octobre 2018.

Lien externe

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