Suzette

Suzette est une petite commune française située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Suzette (homonymie).

Suzette

Vue du village en 2006.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin
Maire
Mandat
Patricia Olivero
2020-2026
Code postal 84190
Code commune 84130
Démographie
Gentilé Suzettiers
Population
municipale
115 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 08″ nord, 5° 04′ 09″ est
Altitude 425 m
Min. 224 m
Max. 722 m
Superficie 6,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vaison-la-Romaine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Suzette
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Suzette
Géolocalisation sur la carte : France
Suzette
Géolocalisation sur la carte : France
Suzette

    Géographie

    Accès

    La route départementale RD 90 qui vient du sud (Beaumes-de-Venise, Lafare) est une petite route sinueuse qui escalade la montagne pour permettre l'accès au village puis continue son chemin vers la commune voisine de Malaucène par le col de la Chaîne qui offre un beau panorama sur les Dentelles et la Drôme.

    Communes limitrophes de Suzette
    Gigondas Gigondas
    Gigondas Le Barroux
    Lafare La Roque-Alric

    Relief

    Le village est en position dominante sur une des collines des Dentelles de Montmirail, à l'ouest du Mont Ventoux, au pied du Mont Saint Amand.

    Cirque de Saint-Amand et faille du Dégoutaud.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le ruisseau la Draille de Suzette, affluent de la Salette. Il prend sa source à l'Ascle du Dégoutaud.

    Géologie

    La chaîne des Dentelles de Montmirail est la partie la plus occidentale du massif des Baronnies et constitue la première avancée des Alpes dans la vallée du Rhône. Il s'agit d'une série de dalles rocheuses du Tithonien (Jurassique) reposant sur des sols calcaires. Le territoire de Suzette est un site bien connu des géologues du monde entier grâce au diapir de Suzette. Ce diapir a exhaussé des couches géologiques du Trias favorables à la viticulture.

    Sismicité

    Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].

    Climat

    Le climat de ce terroir est soumis à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches (une brève en hiver, une très longue et accentuée en été), deux saisons pluvieuses, en automne (pluies abondantes et brutales) et au printemps[2]. Sa spécificité est son climat méditerranéen qui constitue un atout exceptionnel :

    • le mistral assainit le vignoble ;
    • la saisonnalité des pluies est très marquée ;
    • les températures sont très chaudes pendant l'été.
    MoisJanv.Fév.MarsAvr.MaiJuinJuil.AoûtSept.Oct.Nov.Déc.Année
    Températures maximales moyennes (°C) 9 11 14 18 22 26 30 29 25 20 13 10 18,9
    Températures minimales moyennes (°C) 1 3 4 7 11 14 17 16 14 10 5 2 8,7
    Températures moyennes (°C) 5 7 9 13 16 20 23 23 19 15 9 6 13,8
    Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 44.4 57.5 61.1 58.9 72.4 43.6 27.8 56.3 67.6 97.4 57.7 48.9 693.4
    Source : Archives climatologiques mensuelles - Orange (1961-1990)

    Urbanisme

    Typologie

    Suzette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,1 %), cultures permanentes (38,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Seucia, (Suze) en 1146[10] Suzetta en 1246[11]. Le nom originel, Suze, se retrouve encore dans la toponymie locale (La combe de Suze).

    Albert Dauzat évoque un possible dérivé en -usa, du thème pré-latin *seg- « montagne », doté plus tard d'un suffixe diminutif roman -etta. Homonymie avec les formes non suffixées Suze (Drôme, Sausie 1163, Secusia 1178) et la Suze-sur-Sarthe (Sarthe, Secusa 1035 - 1055)[11].

    Histoire

    Préhistoire

    Comme d'autres lieux de la région, le territoire de Suzette fut certainement fréquenté à l'époque néolithique, comme en témoigne une pointe de flèche en silex trouvée près du village. H. Mahieu a fouillé en 1985, une grotte sépulcrale datant de l'âge du Bronze et située au pied du Mont Saint Amand.

    Antiquité

    Sur le site de Roubiol ont été exhumés des fûts de colonnes antiques et des fragments funéraires. Sur le territoire de la commune, au XIXe siècle, ont été retrouvées des monnaies d'Hadrien. Des gisements de tegulae (tuiles romaines) ont également repérés ainsi que des tombes tectiformes élaborées au moyen de tegulae. Ce type de tombes est en général daté du VIe siècle.

    Moyen Âge

    Le territoire de Suzette faisait partie du comté d'Orange, devenu en 1181 la Principauté d'Orange. Il était alors séparé en deux fiefs : Suze et Châteauneuf de Redortier, qui sont mentionnés en 1146 dans un testament de Tiburge des Baux[12], comtesse d'Orange. Au cours d'un partage[12], fait en 1246, Raymond 1er des Baux, coprince d'Orange, conserva par devers lui Suzette et Châteauneuf-Redortier. Les premiers seigneurs connus sont Ricavi de Caromb en 1202, puis en 1283, Pierre Reybaud, et ensuite son fils Jacob de Suze[12],[13] qui fait hommage pour ces deux fiefs en 1322 au prince d'Orange Raymond IV des Baux. En 1489, le prince d'Orange Jean II de Châlons cède le fief de Suzette à Étienne de Vesc[14], seigneur de Caromb, conseiller du roi de France et l'un des personnages les plus puissants du royaume. L’année suivante, il lui cède également le fief de Châteauneuf Redortier. Ces deux fiefs faisaient partie du Petit Plat Pays de la principauté et n'avaient donc pas le statut de communauté ni de consuls. Mais il y avait une unique paroisse, l'église paroissiale étant située à Suzette. Le château de Suzette fut probablement détruit à la charnière des XIVe et XVe siècles lors des raids des routiers (bandes de mercenaires démobilisés) qui ravageaient la région[15].

    Renaissance

    En 1546, Jean de Vesc vend le fief de Châteauneuf Redortier à Labeau d'Allemand[14], noble de Carpentras. Le fief de Châteauneuf restera entre les mains de la famille d'Allemand jusqu'à la Révolution. La seigneurie de Suzette passa par mariages entre les mains des familles Agoult de Montauban puis La Baume Montrevel, La dernière dame de Suzette fut Jeanne Marguerite de la Baume Montrevel, marquise de Ligniville, et également dame de Caromb et de Saint Hippolyte. Les seigneurs prêtaient hommage au Prince d'Orange devant le président du Parlement d'Orange.

    Période moderne

    Comme l'ensemble de la Principauté d'Orange, les deux fiefs de Suzette et de Châteauneuf de Redortier intégrèrent en 1731, le royaume de France. Les seigneurs prêtèrent hommage désormais au Roi devant le président de la chambre des comptes du Dauphiné. La commune de Suzette fut créée à la demande des villageois le par arrêté du département des Bouches-du-Rhône[16]. Elle intégrait le hameau de Châteauneuf Redortier. À l'origine, le conseil général de la commune se réunissait dans le presbytère, faute de maison commune, et l'assemblée des électeurs était réunie dans l'église paroissiale. En , fut pillé le château de Châteauneuf Redortier [16], comme d'autres châteaux de la région, en réaction aux actions contre-révolutionnaires du comte de Bésignan. Une société populaire fut créée pendant la Révolution, ainsi qu'un détachement de la garde nationale, mais la municipalité s'attacha surtout à préserver les villageois de la Terreur exercée dans le Vaucluse par la commission populaire d'Orange. La commune de Suzette fut intégrée au département de Vaucluse créé le .

    Période contemporaine

    L'agriculture traditionnelle autour du blé de l'olivier et de l'élevage ovin persista jusqu'à la fin du XIXe siècle. L'élevage des vers à soie apportait aux familles un revenu complémentaire. Ensuite, Suzette fut pendant de nombreuses années un important producteur d'abricots.

    Mais la vigne avec le développement des vins d'appellation Beaumes-de-Venise et Ventoux règne désormais sur le terroir.

    Une classe unique a été ouverte au village en 1845[17], et l'école, toujours en place, a été construite en 1882[18]. Un regroupement scolaire a été mis en place avec les villages du Barroux et de La Roque Alric. Le village n'a été complètement désenclavé qu'après 1950 grâce à l'ouverture de la route de Malaucène. L'alimentation en eau se faisait depuis le Moyen Âge au moyen de sources captées, de puits et de citernes d'eau pluviale. En 1859, est édifiée la fontaine du village attenante à l'école[17], puis en 1938, les maisons du village sont alimentées en eau grâce à une source. L'adduction d'eau de toutes les habitations sera réalisée après l'adhésion du village en 1947 au syndicat Rhône-Ventoux.

    Le village comptait dans les années 1960 un seul commerce, le "Café Chambon" situé dans le village même. Jean et Paulette Chambon les propriétaires y accueillaient les habitués ou les visiteurs occasionnels. Une petite terrasse du café située en hauteur, entourée de fleurs et de verdure permettait d'admirer un magnifique paysage face au mont Ventoux. Les dimanches après-midi la grande salle du café accueillait les joueurs de Belotte.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie de Suzette.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1905 mars 1912 Baptiste Durand *    
    mars 1965 mars 1983 Aimé Julien    
    mars 1983 mars 1989 Lucien Blanchard    
    mars 1994 mars 2008 Michel Ravardel    
    mars 2008 mars 2014 Sabine de Menthon    
    mars 2014 En cours
    (au 30 avril 2014)
    Patricia Olivero    

    (*) D'après les registres d'état civil de la commune de Suzette (Naissances, mariages, décès entre 1793 et 1912).

    Suzette devient en 1792, une municipalité, dans le canton de Sablet, le district d'Orange et le département des Bouches-du-Rhône. En 1793, la commune intègre le nouveau département de Vaucluse. En 1801, Suzette passe dans le canton de Beaumes, qui devient en 1954 Beaumes-de-Venise, et intègre l'arrondissement de Carpentras en 1926.

    Politique environnementale

    Collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et protection et mise en valeur de l'environnement dans le cadre de la communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

    En 2018, la commune comptait 115 habitants[Note 2], en diminution de 6,5 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +1,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    165152179193191230247254257
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    263255252247251207187174181
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1601411401231181191018592
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1038389113108129120119118
    2013 2018 - - - - - - -
    123115-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population du village, restée stable autour de 100 personnes depuis le Moyen Âge jusqu'au XVIIe siècle, atteindra un pic en 1856 (263 habitants) avant de refluer lors des grandes crises agricoles après 1860 et lors de la Première Guerre mondiale, au cours de laquelle le village perdit huit de ses soldats. La population est à nouveau en légère croissance depuis les années 1980 grâce notamment à l'installation de nouveaux habitants.

    Enseignement

    Une école élémentaire est ouverte sur la commune[23].

    Les collèges et lycées (classique ou d'enseignement professionnel) se trouvent sur Vaison-la-Romaine, Carpentras et Orange.

    Sports

    La commune ne dispose pas d'équipement sportif. Cependant, le cadre des Dentelles de Montmirail est propice aux randonnées pédestres, de cyclotourisme ainsi qu'à la pratique de l'escalade.

    Passage du GR4.

    Santé

    Il n'y a pas, à Suzette, de pharmacie ni d'équipement particulier de santé. Les spécialistes, hôpitaux et cliniques se trouvent sur Vaison-la-Romaine, Carpentras et Orange.

    Cultes

    Catholique (église).

    Économie

    Vue des environs du village, des contreforts du mont Ventoux jusqu'au Luberon en fond.

    Suzette est un très petit village vivant d'un peu de tourisme et de viticulture.

    Toutefois, un restaurant de village a ouvert ses portes. Hormis une restauration de qualité accessible à tous, l'établissement, en étroite collaboration avec la municipalité, promeut les vins et les productions du village (huile d'olive, confitures, jus de fruits frais).

    Culture de la vigne, production de vins en AOC côtes-du-Rhône (passage de la « Route touristique des Côtes du Rhône »), Beaumes-de-venise et du muscat de Beaumes-de-Venise[24] et Ventoux.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Village aux petites rues et maisons en pierre avec vues sur le mont Ventoux et les Dentelles de Montmirail.

    • Église de Suzette : l'église Saint Jacques et Saint Philippe, bâtie au XIIe siècle, mais plusieurs fois remaniée notamment au XIXe siècle. Elle dresse sa silhouette, à la fois ramassée et aérienne, au premier plan d'un magnifique panorama sur le Mont Ventoux et les Monts de Vaucluse. Elle cristallise à merveille la profondeur de l'art roman, et elle a conservé son plan primitif en croix latine (malgré des ajouts au XIXe siècle), sa nef voûtée en berceau brisé, son abside et ses deux absidioles voûtées en cul-de-four. Le portail d'origine, ouvert au sud selon un dispositif fréquent en Provence, était précédé d'un porche de pierre dont l'arc en plein cintre est toujours visible. Ce portail a été remplacé au XIXe siècle par l'entrée actuelle au sud ouest. Les fonts baptismaux datent du XVIIIe siècle. Une restauration fut initiée par des bénévoles dans les années 1970, puis continuée par la municipalité, pour lui redonner son dépouillement roman. Le cimetière, autrefois attenant à l'église, a été réaménagé au début du XIXe siècle à l'ouest du village, avec une belle vue sur les Dentelles. L'église de Suzette a été sélectionnée, parmi 121 autres monuments, pour bénéficier de la deuxième édition du Loto du patrimoine[25].
    • L'ancien presbytère du XVIIIe siècle. Propriété privée.
    • Statue de la Vierge de 1876 sur le rocher dominant le village, dit rocher de la tour, où se dressait autrefois le château.
    • Table d'orientation en céramique.
    • Pierre funéraire du VIIIe siècle scellée dans un mur à la ferme Saint-Martin (ancien monastère roman). Propriété privée.
    • Le château Redortier. Propriété privée.
    • Le panorama depuis le somment du Mont Saint Amand, point culminant des Dentelles.

    Personnalités liées à la commune

    • L'acteur Jean-Pierre Darras, né en 1927 et décédé en 1999, est inhumé dans le cimetière communal de Suzette. À ses côtés repose son épouse, l'actrice Corinne Lahaye (1947-2020).
    • Henri Malvaux (1908-1994), artiste peintre, y possédait depuis les années 1950 une résidence secondaire et y peignait les paysages environnants.
    • Étienne de Vesc, seigneur de Caromb, Suzette et Saint Hippolyte, chambellan du Roi de France et bailli de Meaux en 1481, puis membre du Conseil de Régence et du Conseil Etroit lors de l'accession de Charles VIII au trône de France[26].

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    Parti au premier, d'azur à trois bandes d'or. Au deuxième, d'or au loup ravissant d'azur.[27]

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
    • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
    • Dominique Tissot, Histoire de Suzette, avec la collaboration de Francis Debièvre, 2018, Editions Esprit des Lieux (ISBN 979-10-95324-26-3).
    • Revue Les Carnets du Ventoux, no 93, dossier sur le village de Suzette, 2016, éditions Esprit des Lieux.[28]
    • Patrick Ollivier-Elliott, Au soleil du Ventoux, Vaison-la-Romaine et le pays des Dentelles, 1987.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
    2. La climatologie du Vaucluse
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. L. Barthélémy, Inventaire chronologique et analytique des chartes de la maison des baux, no 103.
    11. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, réédition Guénégaud, 1979, p. 657.
    12. L. Barthélémy, Inventaire chronologique et analytique des chartes de la Principauté d'Orange, Marseille, .
    13. Manuscrit Archives de Vaucluse 2E 25 art .70.
    14. A.D.V. 2E 25, Papiers des Princes d'Orange, et Ms 5238, archives municipales d'Avignon, notes M. Millet.
    15. Histoire de Suzette, un village provençal: Dominique Tissot, avec la collaboration de Francis Debièvre, 2018, Editions Esprit des Lieux.
    16. A.D.Vaucluse Suzette 1D1 registre des comptes rendus de la municipalité.
    17. A.D.V. Suzette 1D4.
    18. A.D.V. Suzette 1D6
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. École
    24. Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
    25. l'église de Suzette et loto du patrimoine
    26. Jean Gallian, Histoire de Caromb, site Internet.
    27. Armorial des communes de Vaucluse
    28. « Le village à l'honneur dans les Carnets du Ventoux », sur LaProvence.com, (consulté le )
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