Sardanapale (souverain mythique)

Dans la littérature grecque, Sardanapale, Sardanapalos ou Sardanapalus, est le fils d'Anakindaraxés, empereur d'Assyrie, et lui-même dernier souverain de la dynastie de Ninus (ou Ninos). Mentionné par Ctésias de Cnide dans ses Persica et Babyloniaca, le souverain semble tout droit inspiré de la figure d'Assurbanipal, empereur d'Assyrie de 669 à 627 av. J.-C., et plus timidement, de celle de son frère, Shamash-shum-ukin, pour la mort. Parvenue jusqu'à nous sous la forme de bribes, par l'intermédiaire de différents auteurs grecs, la vie de Sardanapale constitue dans l'Antiquité grecque, un exemple didactique et moral châtiant la mollesse, le luxe effréné et la démesure d'une vie dissolue.

Pour les articles homonymes, voir Sardanapale.

Étymologie

Processus graphiques et linguistiques à l'origine de l'altération du nom du souverain.

Concernant Sardanapale, une possible confusion homonymique, avec un satrape cilicien, pourrait être à l'origine de son nom. Une dérivation à partir du nom sémitique du souverain est toutefois plus probable, les principales règles de passages d'une langue à l'autre se retrouvant dans les Græco-Babyloniaca[1], et plus particulièrement, pour notre cas présent, dans l'Inscription de Çineköy. Cette dernière atteste en effet de l'aphérèse touchant le mot aššurû (Assyrie), donnant ainsi le mot à l'origine de Syrie, et expliquant la disparition du premier segment vocalique d'Aššur-bāni-apli, donnant Sur-. Une réorganisation phonétique expliquerait ensuite l'altération des timbres vocaliques du nom akkadien, les /i/ ne se prononçant plus. L'apparition d'une nécessaire voyelle épenthètique achève la vocalisation obtenue pour Sardanapale. Enfin, le passage du b- au d-, s'explique du côté de l'épigraphie grecque, dans la confusion des deux lettres par le lapicide[2].

Occurrences et similitudes des bêta et delta en pays séleucide.

Concernant Anakindaraxès, père de Sardanapale, une dérivation à partir du nom akkadien d'Assarhaddon semble improbable. La forte connotation achéménide du nom pourrait renvoyer à un satrape ou souverain perse. Le nom, enfin, peut être porteur d'une charge didactique, dérivant du grec Ἀνάγκη (Fatalité), ou ἀνάγκη (nécessité).

Mythe

Reprenant Ctésias de Cnide, l'auteur grec Diodore de Sicile, dans sa Bibliothèque historique, narre le souvenir de Sardanapale chez les Grecs[3] :

« Sardanapale, le treizième en succession de Ninus, qui fonda l'empire, et le dernier roi des Assyriens, surpassa tous ses prédecesseurs en luxe et en mollesse. Jamais vu par un homme extérieur au palais, il vécut la vie d'une femme et dépensait ses jours en compagnie de ses concubines, filant le tissu pourpre et travaillant la plus douce des laines. Il revêtit l'habit féminin et se couvrit la face et son corps entier avec des crèmes blanchissantes et des onguents utilisés par des courtisans, le rendant plus délicat que n'importe quelle courtisane. Il prit soin de rendre sa voix féminine au cours de beuveries, pour se livrer aux délices de l'amour avec les hommes comme les femmes. Dans un tel excès de luxe, de plaisir sensuel et de tempérance sans scrupule, il composa une hymne funèbre et ordonna à ses successeurs sur le trône de l'inscrire sur son tombeau après sa mort, hymne composée dans une langue étrangère et traduite depuis par un Grec. [...] Sa nature d'homme ambivalent ne le fit pas seulement mourir d'une manière déshonorante, mais causa la destruction totale de l'empire assyrien, qui exista plus longtemps qu'aucun autre état dans l'Histoire. »

Hérodote[4], dans sa narration des troubles politiques affectant l'Orient, est elliptique concernant l'Assyrie et son souverain, Sardanapale. Ce dernier n'est en effet mentionné qu'à la seule occasion d'un rappel de sa richesse, et des convoitises[5] qu'elle générait :

« Comme je ne voyais nulle part la terre qu'il a fallu tirer pour creuser ce lac, et que j'étais curieux de savoir où elle pouvait être, je m'en informai aux habitants du pays les plus voisins du lac. Ils me dirent où on l'avait portée, et j'eus d'autant moins de peine à les croire, que j'avais ouï dire qu'il s'était fait quelque chose de semblable à Ninive, ville des Assyriens. En effet, des voleurs, cherchant à enlever les trésors immenses de Sardanapale, roi de Ninive, qui étaient gardés dans des lieux souterrains, commencèrent, dès la maison qu'ils habitaient, à creuser la terre. Ayant pris les dimensions et les mesures les plus justes, ils poussèrent la mine jusqu'au palais du roi. »

Le mythe de Sardanapale, en tant qu'ultime roi d'Assyrie, se retrouve chez d'autres auteurs d'une antiquité plus tardive. Le compilateur du IIe siècle, Athénée de Naucratis, reprenant sans doute Ctésias, livre[6] un récit illustrant l'empreinte négative du souverain mythique dans l'esprit grec :

« Or, Messieurs, en nous rappelant si souvent le nom d'Archestrate (poète grec du IVe siècle av. J.-C. connu pour ses œuvres licencieuses), vous avez donné liberté à tous les désordres dans ce repas. En effet, ce poète épique a t-il omis une seule des choses corrompant l'esprit et le goût ? Lui qui seul s'est fait l'honneur de devenir l'imitateur de Sardanapale, fils d'Anakindaraxès1, moins connu “lorsqu'on y joint le nom de son père que quand on le nomme seul” disait Aristote. Voilà même son épitaphe telle que la rapporte Chrysippe : “Persuadé que tu es né mortel, livre-toi à la joie te divertissant à des repas, car après la mort il n'y a plus de bien pour toi. Vois ! Je suis cendre, moi qui régnai sur la grande Ninive. Je n'emporte que ce que j'ai mangé, que le plaisir de ma vie licencieuse, et celui que m'a procuré l'amour. Mais tout le reste de mon bonheur s'est évanoui. C'est le sage conseil que je te donne pour vivre, possède qui voudra des monceaux d'or”. »

Au siècle suivant, le romain Justin (historien) procéda à un Épitomé exhaustif, abordant avec une profusion de détails non retrouvée chez ses prédécesseurs, la figure de Sardanapale et ses travers[7] :

« Le dernier à régner chez les Assyriens fut Sardanapale, un homme plus efféminé qu'une femme. Un de ses préfets, nommé Arbacte, qui gouvernait les Mèdes, avait, après beaucoup de démarches, obtenu de le voir, privilège guère obtenu avant lui. Il découvrit Sardanapale entouré d'une foule de concubines, et dans l'habillement d'une femme, enroulant de la laine pourpre avec une quenouille, et distribuant des tâches aux filles mais les surpassant toutes en féminité et en dévergondage. Après avoir vu cela, et indigné que tant d'hommes fussent soumis à une telle femme, et que des gens qui avaient des armes de fer obéissent à une fileuse de laine, il partit rejoindre ses compagnons, leur racontant ce qu'il a vu, et leur disant qu'il ne pouvait obéir à un cinède préférant être une femme plutôt qu'un homme. Une conspiration fût formée, et la guerre éclata contre Sardanapale, qui écoutant ce qui avait eu lieu réagissait non comme un homme qui défendrait son royaume, mais comme une femme effrayée par la mort se cherchant un lieu de fuite. Étant défait dans la bataille, il se retira dans son palais et ayant dressé une pile de combustible à laquelle il mit le feu, s'y jeta avec ses richesses, agissant pour la première fois comme un homme. »

La confusion des personnes d'Assurbanipal et Shamash-shum-ukin dans la personne de Sardanapale est ici flagrante, la mort du frère mutin étant appropriée à celle du souverain assyrien. Concernant le fossoyeur de la dynastie de Ninus, nommé par Justin (historien), Arbacte, il s'agit d'une autre appellation du souverain mède Cyaxare, connu dans la littérature grecque depuis Xénophon[8], et dans les sources cunéiformes en tant qu’Umakištar[9].

L'épitaphe

L'épitaphe de Sardanapale est attestée pour la première fois chez Diodore de Sicile[10], reprenant Ctésias, qui la qualifie d'oraison funèbre (᾿Eπικήδειον en grec ancien) :

« [...] il fit lui‐même en langue barbare cette épitaphe, qui depuis a été mise en deux vers grecs : J'emporte des trésors que je laisse aux vivants, Tout ce que j'en ai mis à contenter mes sens. »

Cette épitaphe, logiquement rédigée soit en caractères alphabétiques araméens, soit en cunéiforme assyrien, dût être traduite depuis le "chaldéen" vers le grec[11]. Elle ne peut, en tout cas, aucunement l'avoir été en vieux perse[12]. Le bâtiment qui doit l'avoir abritée reste inconnu, comme la de connaissance de l'épitaphe par les grecs. L'ont-ils connue dès Ctésias ? Ou la conquête d'Alexandre est-elle à l'origine de sa découverte ? L'auteur romain Cicéron, dans ses Tusculanes[13], en fait remonter la connaissance à l'époque d'Aristote :

« On voit par là quel était l'aveuglement de Sardanapale, cet opulent roi d'Assyrie, qui fit graver sur son tombeau l'inscription suivante : “Déchu de mes grandeurs par un trépas funeste, Ce qu'Amour et Bacchus m'ont procuré de biens, Sont les seuls désormais que j'ose appeler miens, Un héritier a tout le reste”. Inscription, disait Aristote, plus digne d'être mise sur la fosse d'un bœuf, que sur le monument d'un roi. »

Il est possible de plus ou moins statuer sur le siècle de la découverte de l'inscription par les Grecs, grâce à ce passage. Athénée de Naucratis, se référant à Amyntas le bématiste, corrobore le siècle de découverte[14] :

« Dans le livre III de ses Étapes, Amyntas nous apprend qu'à Ninive, se trouvait un tertre colossal, que Cyrus fit raser, afin d'y élever à la place une vaste terrasse pour mieux surveiller les remparts, lors du siège de la ville. Ce tertre était, dit-on, le mausolée de Sardanapale, roi de Ninive, au sommet duquel on avait dressé une colonne de pierre, où l'on pouvait lire des inscriptions en chaldéen, que Chœrilos, plus tard, a traduite en vers grecs [...] À Anchiale, cité bâtie par Sardanapale, Alexandre installa son campement, au temps où il luttait contre les Perses. Non loin de cet endroit, il aperçut le tombeau de Sardanapale où était gravé une image du roi, représenté visiblement en train de faire claquer ses doigts. Dessous, étaient inscrits ces mots en ca- ractères assyriens : " Sardanapale, fils d'Anakyndaraxès, a construit Anchiale et Tarse en un jour. Mangez, buvez, et jouissez ! Le reste importe peu ! ". Telle est la signification, semble-t-il, du claquement de doigts. »

Le texte révèle l'identité de la ville abritant l'épitaphe, située à Anchiale, ville à la situation géographique indéterminée, mais de toute évidence proche de Tarse (ville). La cohésion du récit reste néanmoins affaiblie par la présence de l'épitaphe, précédemment à Ninive, et par l'utilisation que Cyrus le Grand en fit lors du siège de la ville. Un tel siège n'eût en revanche jamais lieu, le souverain perse se dirigeant, après la bataille d'Opis, immédiatement vers Babylone (civilisation). Du reste, Ninive, lors de la conquête perse, était une ville désolée et inhabitée[15],[16] sans muraille, où aucun siège n'aurait été envisageable.

La mention chez Athénée de Naucratis d'une représentation du roi en train de faire claquer ses doigts, est un élément en faveur de l'historicité de Sardanapale. Le terme grec utilisé par l'auteur : τύπος, c'est-à-dire "image", renvoie à un bas-relief, aisément rattachable à l'art palatial néo-assyrien. Le claquement des doigts, évoqué par Athénée, est un second élément en faveur de sa réalité. L'interprétation de l'auteur grec est bien en adéquation avec le caractère de Sardanapale, mais contraire à sa réalité historique. François Thureau-Dangin explique le geste comme « une façon naïve et familière d'attirer l'attention des dieux »[17].

La connaissance de visu de l'inscription par les Grecs peut donc être estimée en 334/333 av. J.-C., après qu'Alexandre eût envahi la Cilicie, et sa capitale Tarse, et donc après la bataille victorieuse du Granique, et les sièges réussis de Milet et Halicarnasse. La ville même d'où l'inscription est tirée, rend impossible la présence d'un quelconque tombeau royal assyrien, les souverains assyriens se faisant enterrer à Assur, ville sacrée de la divinité éponyme. Le tumulus, évoqué par Amyntas le bématiste, est probablement donc d'époque achéménide, et construit sur l'initiative d'un satrape local.

Postérité

La figure de Sardanapale, archétype du tyran au grand pouvoir et dans tous les excès, dénonce, dans l'esprit grec, la dégénérescence des nations par la féminisation des élites. Le schéma mental grec conçoit le luxe ostentatoire et exhibé comme une forme de mollesse, prélude à l'effondrement. Cette explication de la décadence par la féminisation chemina jusqu'à notre époque, et s'étiqueta à de nombreux empires mourants : d'Alexandre le Grand suspecté de mollesse par ses généraux après l'adoption des atours de la monarchie perse, à Mustafa Kemal Atatürk expliquant le déclin des ottomans par la féminisation du prince héritier, élevé au sérail toute son enfance, en passant par les romains, qui soupçonnaient les grecs de lascivité orientale, à rebours de la virile romanité exaltée par Caton l'Ancien. Des milieux réactionnaires tendent encore aujourd’hui à expliquer l'échec de la nation par la féminisation des hommes et de l'appareil étatique.

Références

  1. Stefan Maul, « « La fin de la tradition cunéiforme et les Græco-Babyloniaca » », Cahiers du Centre Gustav-Glotz, , p. 3--17
  2. La confusion de deux graphèmes est chose courante, le phénicien par exemple, finit par confondre le dāleth et le pē. C'est pour lutter contre ce risque que le syriaque établit un système de points diacritiques, permettant de distinguer le dāleth du rēš.
  3. Diodore de Sicile, La bibliothèque historique, Paris, Les Belles lettres, , livre II, chapitres 23-28.
  4. Hérodote d'Halicarnasse, Histoires, Paris, Les Belles Lettres, , livre II, chapitre 150.
  5. Les galeries souterraines des pillards, évoquées par Hérodote, se retrouvent d'une certaine manière près de 2000 ans plus tard, lors des fouilles franco-britanniques de 1853. Alors que les deux états conclurent à la dévotion de zones respectives, l'indigène Hormuzd Rassam, travaillant pour le compte des Britanniques, creusa dans la nuit du 22 décembre 1853, une galerie vers le palais nord, attribué aux Français. L'aspect intemporel des terrassiers arabes, et l'objectif de leur creusement, semblent une illustration du récit d'Hérodote.
  6. Athénée de Naucratis, Deipnosophistes, Paris, Les Belles Lettres, , p. Livre VIII, p. 530-532.
  7. Justin, Abrégé des Histoires Philippiques de Trogue Pompée, Paris, Belles Lettres, , p. Livre I, chapitre III.
  8. Xénophon, Cyropédie, Paris, Les Belles Lettres, , livre I, chapitre II.
  9. (en) Donald Wiseman, Chronicles of Chaldean Kings, Londres, The Trustees of the British Museum, , p. 15.
  10. Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, Paris, Les Belles Lettres, , livre II, chapitre XVIII
  11. Si le bilinguisme n'est pas de rigueur à l'époque, les nombreuses influences du monde mésopotamien sur le monde grec, amèneront à une partielle compréhension des coutumes du premier par le second. Le poète Hésiode devait avoir sous les yeux l'Enuma Elish, quand il rédigea sa Théogonie. Bérose, connu essentiellement pour ses babyloniaca, fût assurément polyglotte, maîtrisant tout à la fois l'akkadien, le sumérien et le grec ancien.
  12. Le cunéiforme vieux-perse, syllabique et alphabétique, est un système inventé et pensé globalement, au tout début de la dynastie achéménide, réservé aux palais (Pasargadés, Persépolis, Béhistoun), et à l'usage royal ou funéraire exclusivement.
  13. Cicéron, Tusculanes, Paris, Les Belles Lettres, , livre V, chapitre XXXV
  14. Athénée de Naucratis, Les 15 livres des deipnosophistes d'Athénée de la ville de Naucratis en Égypte., Paris, , livre XII, chapitre XXXVIII
  15. (en) Daniele Bonacossi, Nineveh The Great City : Symbol of Beauty and Power, Leiden, Sidestone Press, , p. 217
  16. En dehors de réparations aux temples de Nabû et d'Ištar, et au palais sud-ouest, ainsi que quelques signes d'occupation dans la ville basse, il existe peu de preuves de l'occupation de la ville, dans les années qui ont suivi sa destruction.
  17. François Thureau-Dangin, « Les sculptures rupestres de Maltaï », Revue d'Assyriologie et d'archéologie orientale, , p. 185--197

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Athénée de Naucratis, Les Deipnosophistes, Les Belles Lettres, traduction d'Alexandre Marie Desrousseaux (VIII, 14 ; XII, 38)
  • Cicéron, Tusculanes, Les Belles Lettres, traduction de Jules Humbert (V, 35)
  • Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, Les Belles Lettres, traduction de Bernard Eck (II, 18, 23–28)
  • Hérodote, Histoires, Les Belles Lettres, traduction de Philippe-Ernest Legrand (II, 150)
  • Justin (historien), Abrégé des histoires philippiques, Les Belles Lettres, traduction de Bernard Mineo (I, 3)
  • Xénophon, Cyropédie, Les Belles Lettres, traduction de Marcel Bizos (III, 5)
  • Arnaud, Daniel (2007), Assurbanipal, roi d’Assyrie, Paris, Fayard.
  • Athénée, Deipnosophistes, Paris, Les Belles Lettres, traduction de A. Desrousseaux, édition de 1956.
  • Bonacossi, Daniele (2017), Nineveh The Great City : Symbol of Beauty and Power, Leiden, Sidestone Press.
  • Chamoux, François (2006), « Le tombeau de Sardanapale », Φιλολογία, Lyon, Maison de l’Orient, p. 205–210.
  • Cicéron, Les Tusculanes, Paris, Les Belles Lettres, traduction de J. Humbert, édition de 1930.
  • Diodore de Sicile, La Bibliothèque historique, Paris, Les Belles Lettres, traduction de Y. Vernière, édition de 1993.
  • Fox, Nili (1995), « Clapping Hands as a Gesture of Anguish and Anger in Mesopo- tamia and in Israel », Journal of the Ancient Near Eastern Society, vol. 23, Columbia University Press, p. 49–60.
  • Geller, Markham (1997), « The Last Wedge », Zeitschrift für Assyriologie 87, Berlin, De Gruyter, p. 43–95.
  • Hérodote, Histoires, Paris, Les Belles Lettres, traduction de P.-E. Legrand, édition de 1930.
  • Justin, Epitoma Historiarum Philippicarum, Paris, Les Belles Lettres, traduction de B. Mineo, édition de 2016.
  • Maul, Stefan (1995), « La fin de la tradition cunéiforme et les Græco-Babyloniaca », Cahiers du Centre Gustav-Glotz, Berlin, Freie Universitât Berlin, p. 3–17.
  • Nadali, David (2008), « Assyrian High-Relief Bricks from Nineveh and the Fragments of a Royal Name », IRAQ 70, Londres, Cambridge University Press, p. 87–104. Olyan, Saul (2015), Ritual Violence in the Hebrew Bible, Londres, Oxford University Press.
  • Thureau-Dangin, François (1924), « Les sculptures rupestres de Maltaï », Revue d’Assyriologie et d’archéologie orientale, vol. 21, Presses universitaires de France, p. 185-197.
  • Tournadre, Nicolas (2014), Le prisme des langues, Paris, Asiathèque.
  • Xénophon, Cyropédie, Paris, Les Belles Lettres, traduction de M. Bizos, édition de 1973.
  • Portail de la Grèce antique
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