Sainte-Croix-de-Quintillargues

Sainte-Croix-de-Quintillargues [sɛ̃.tə kʁwa də kɛ̃.ti.jar.ɣə] (en occitan Santa Crotz de Quintilhargues ['san.t 'kruts de kin.ti.'ʎar.ɣes]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Sainte-Croix-de-Quintillargues

L'église de Sainte-Croix-de-Quintillargues.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup
Maire
Mandat
Antoine Martinez
2020-2026
Code postal 34270
Code commune 34248
Démographie
Gentilé non déterminé
Population
municipale
922 hab. (2018 )
Densité 139 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 46′ 24″ nord, 3° 54′ 35″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 321 m
Superficie 6,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Gély-du-Fesc
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sainte-Croix-de-Quintillargues
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Sainte-Croix-de-Quintillargues
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Croix-de-Quintillargues
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Croix-de-Quintillargues

    Géographie

    Carte

    La commune est située dans la partie est du département, à 18 km au nord de Montpellier et à 5 km du Pic-St-Loup. Les terrains bas sont formés de colluvions plantées de vignes. Les collines Rabat et Puech Pezoul sont sur des strates argilo-calcaires du Crétacé. La grande colline de la Suque est formée de calcaire du jurassique. Les collines sont couvertes de garrigues et de pinèdes de pins d'Alep.

    La rivière Bénovie prend sa source au pied du Puech Pezoul. Elle est à sec en surface mais déborde périodiquement lors de gros orages et provoque des inondations. La source de Milhac jaillit au pied de la colline de Rabat. Elle a été exploitée jusqu'en 1968. Des réservoirs d'eau sont encore en place à cet endroit.

    Communes limitrophes de Sainte-Croix-de-Quintillargues
    Fontanès
    Saint-Mathieu-de-Tréviers Saint-Bauzille-de-Montmel
    Cadastre napoléonien : tableau d'assemblage (1832).

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « hautes garrigues du Montpelliérais »[2], d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[3].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[4] : la « vallée de la Bénovie » (223 ha), couvrant 4 communes du département[5] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[4] : les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » (13 097 ha), couvrant 25 communes dont six dans le Gard et 19 dans l'Hérault[6].

    Histoire

    Préhistoire

    La commune possède un dolmen du chalcolithique tardif et des restes de cabanes de la même période. Le dolmen est fortement dégradé. Il a été fouillé par le docteur Arnal. D'autres fouilles ont mis en valeur une nécropole gallo romaine du premier siècle.

    Antiquité

    Vue sur le village de Sainte-Croix-de-Quintillargues.

    Quintillargues provient du nom Quintilius associé au suffixe « -anicum ». Cette terminaison rappelle l'origine foncière en signifiant « domaine de ». C'est le domaine de Quintilius. L'origine antique peut signifier que cet homme était un Gallo-romain assez important pour laisser son nom en référence.

    Moyen-Âge

    L'église de style roman a été consacrée le . Sa charpente, qui aurait brûlé, a été remplacée par une voûte en pierre, en arc brisé. Pour compenser son poids les pilastres ont été doublés et des arcs de décharges ont été placés entre ces pilastres. L'édifice a été transformé en fortification par l'adjonction de deux tourelles et certainement un chemin de ronde en haut des murs. Un clocher à deux cloches a été ajouté au XIXe siècle.

    L’histoire médiévale de celle-ci est une suite de querelles entre les comtes de Melgueil, l’évêque de Maguelone et le sénéchal de Beaucaire. C'est le cas de tous les villages de la région, convoités pour les impôts, taxes et droits divers. Il y avait des péages et de substantiels bénéfices pour ceux qui les tenaient. La commune fut le lieu de farouches rivalités pour s’octroyer les bénéfices du péage de Sainte-Croix-de-Quintillargues. Dans les années 1210, l’évêque Guillaume d’Autignac vient d’être nommé comte de Melgueil et de Montferrand par le pape pour la modique somme de vingt cinq mille sols qu’il ne possède pas. Il veut remplir son escarcelle. De son côté, le roi de France envoie ses officiers pour glaner des deniers. Les Montpelliérains, quant à eux, prétendent n’avoir rien à payer… Sainte-Croix-de-Quintillargues appartient alors au comté de Melgueil qui s’étale selon un axe nord-sud. Pour se rendre dans sa partie nord, ou à Alès ou vers le Massif Central, le plus court est de passer par l’axe Arsacio (Assas) – Quissac qui passe par le péage de Sainte-Croix. Mais comme de petits malins faisaient un détour par Restinclières et Sommières ou par Prades, Tréviers et Quissac où il n’y avait pas de péage, on mit en place des péages sur ces trois itinéraires.

    Le royaume de France centralisateur a mis fin à ces guerres picrocholines en imposant l’administration de la capitale sur le territoire.

    Epoque contemporaine

    En 1789, la République jacobine a poursuivi la tradition : en créant les communes, Sainte-Croix-de-Quintillargues et sa voisine Fontanès ont été fusionnées. Puis, en 1795, décision contraire : dans le tout nouveau département de l’Hérault, la première rejoint le canton des Matelles, la seconde celui de Claret.

    Quand, après la Première Guerre mondiale, les Italiens vinrent en masse, ils furent accueillis dans un esprit plutôt xénophile. Avec les agriculteurs espagnols, arrivèrent charbonniers et maçons italiens. Dans les années 1930, il y avait 20 % d’étrangers dans la commune.

    Au XXe siècle, avec la décentralisation, la commune devient membre de la communauté de communes du Pic Saint Loup et, associée à 31 autres, dans le périmètre du Schéma de cohérence territoriale.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1995   Hubert Forestier    
    23 mars 2001 en cours Antoine Martinez SE Artisan
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[7]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[8].

    En 2018, la commune comptait 922 habitants[Note 4], en augmentation de 25,27 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    124102115118126108125147150
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    15012714414212997111119134
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    13413513011511111410497102
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    100107129218382531574576798
    2018 - - - - - - - -
    922--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[9] puis Insee à partir de 2006[10].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 17 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 882 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,1 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valflaunes-Plaine », sur la commune de Valflaunès, mise en service en 1990[16]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,5 °C et la hauteur de précipitations de 984,5 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 19 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[20], à 15,1 °C pour 1981-2010[21], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Croix-de-Quintillargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[23],[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[26],[27].

    Le cœur ancien du village se situe autour de l'église. Deux mas, le mas du Greffier et le Château sont excentrés. Des lotissements modernes entourent le village ancien et un autre est localisé à 3 km.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,4 %), cultures permanentes (15,4 %), terres arables (8,4 %), zones urbanisées (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Economie

    La vigne est la principale activité agricole. Tous les vignerons sont coopérateurs à la cave coopérative de Saint-Mathieu-de-Tréviers. Un élevage de vaches Aubrac a remplacé l'activité pastorale de brebis.

    Population et société

    Le foyer rural Les Quintillades, créé en 2002, est la principale association socio-culturelle du village. Elle diffuse les valeurs d'éducation populaire avec un grand nombre d'activités citoyennes.

    Le club de VTT a plus de vingt ans. Il rassemble des VTTistes et des cyclistes de route. Il organise chaque mois de mai la « Ronde de Quintilius », compétition qui rassemble plusieurs centaines de participants.

    L'association Santa Cruz a été créée par les jeunes du village. Elle organise des rencontres et des évènements pour la jeunesse du village mais aussi pour tous comme la fête votive, une fois par an.

    Culture locale et patrimoine

    La commune possède un puits communal et un four banal. L'église romane, un calvaire et des voûtes de bergerie sont inscrits à la carte du patrimoine. Il y avait deux cimetières historiques, un au pied de l'église et un autre, dit des pauvres, dans l’actuel espace vert près de la salle polyvalente.

    Dans les collines de garrigues il y a de nombreux vestiges de charbonnières et de fours à chaux. Une parcelle communale est dédiée à ces vestiges. Ces emplacements ont été réhabilités et visibles le long d'un sentier de 7 km dit des charbonnières, qui part du centre du village. De nombreuses animations ont été présentées dans ce site. Les bénévoles du foyer rural Les Quintillades sont à l'origine de la création de ce site. Pendant dix ans, de 1995 à 2005, ceux-ci ont organisé notamment la manifestation « Lou Gabel », fête de la taille de la vigne, dans le village. Puis pendant 10 autres années, de 2006 à 2016, le festival des charbonnières, « Lo Garou », dans les garrigues communales.

    Héraldique

    Blason
    D'or à la croix de gueules chargée en son cœur d'une fontaine d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[1].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    2. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sainte-Croix-de-Quintillargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    3. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    4. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sainte-Croix-de-Quintillargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « ZNIEFF la « vallée de la Bénovie » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « ZNIEFF les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    8. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    10. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    16. « Station Météo-France Valflaunes-Plaine - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Sainte-Croix-de-Quintillargues et Valflaunès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Valflaunes-Plaine - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Sainte-Croix-de-Quintillargues et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Martial Acquarone, Charbonnières des garrigues : Sainte-Croix-de-Quintillargues, Sainte-Croix-de-Quintillargues, Les Quintillades, , 20 p.
    • Jean Arnal, « La préhistoire à Sainte-Croix-de-Quintillargues (Hérault)... », Bulletin de la Société préhistorique de France, t. 41, nos 10-11, , p. 173-176 (lire en ligne)
    • Pierre David, Connaissance de Sainte-Croix de Quintillargues, Montpellier, Union régionale des foyers ruraux,
    • Pierre David, Livre des mémoires de Sainte-Croix de Quintillargues : pièces d'archives, extraits de publications, plans, photos, documents concernant la commune de Sainte-Croix de Quintillargues (Hérault), Sainte-Croix-de-Quintillargues, P. David, [1980]

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Lien externe

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