Saint-Roch

Saint-Roch est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire. Ses habitants sont appelés les Rochiens.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Roch (homonymie).

Saint-Roch
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes de Gâtine et Choisilles - Pays de Racan
Maire
Mandat
Alain Anceau
2020-2026
Code postal 37390
Code commune 37237
Démographie
Gentilé Rochiens
Population
municipale
1 252 hab. (2018 )
Densité 264 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 26′ 46″ nord, 0° 34′ 48″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 113 m
Superficie 4,75 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Château-Renault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Saint-Roch
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Saint-Roch
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Roch
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Roch
Liens
Site web Site de la commune

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune de Saint-Roch se trouve au nord du département d'Indre-et-Loire, dans la région historique de Touraine. À vol d'oiseau, Saint-Roch se situe à 9,6 km au nord-ouest de Tours[1], préfecture du département d'Indre-et-Loire et à 34 km au sud de Château-Renault, chef-lieu du canton auquel la commune est rattachée depuis février 2015.

    Saint-Roch fait partie de l'aire urbaine de Tours et est limitrophe de plusieurs communes :

    Le territoire de la commune s'étire du nord vers le sud en une bande assez étroite, aux contours irréguliers, de part et d'autre de la D36.

    La superficie du territoire de Saint-Roch est de 480 hectares (au 1er janvier 2014), bien inférieure à la superficie moyenne d'une commune de France métropolitaine qui s'établit à 1 510,2 hectares[2],[3]. La commune dispose de la seconde plus faible superficie du département.

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Saint-Roch.

    Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 6,37 km, comprend six petits cours d'eau pour certains temporaires[4],[5].

    Deux zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « l'étang de Jumeau » et « l'étang du Tremblay »[6],[7].

    Climat

    La situation géographique de Saint-Roch soumet la commune à un climat tempéré océanique dit dégradé[8] ; la côte rochelaise est à 200 km à vol d'oiseau de Saint-Roch. Ce type de climat, soumis à un flux d'ouest dominant sur l'année, se caractérise par des températures clémentes, les moyennes mensuelles minimales n'étant jamais négatives, même en hiver, alors qu'en été il est fréquent d'observer un épisode caniculaire de quelques jours. Aucun mois n'est véritablement sec, les précipitations mensuelles moyennes étant toujours supérieures à 40 mm.

    Ci-dessous les données météorologiques pour la station de Tours, située à 10 km au sud-sud-ouest de Saint-Roch.

    Relevés à Tours-Saint-Symphorien pour la période 1981 - 2010.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 1,9 3,9 5,6 9,2 12,1 14 13,8 11,1 8,6 4,6 2,5 7,5
    Température moyenne (°C) 4,7 5,2 8,1 10,4 14,2 17,5 19,8 19,6 16,5 12,2 7,8 5 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 7,3 8,5 12,3 15,2 19,1 22,8 25,5 25,5 21,8 16,8 10,9 7,5 16,1
    Ensoleillement (h) 69,2 92 142,1 180,4 202,5 228,2 249,1 239 186 123,3 79,5 57,1 1 848
    Précipitations (mm) 66,3 55,9 50,2 55,9 62,3 46,1 53,2 42,6 53,3 71 69,7 71,2 695,9
    Source : MétéoCentre : Tours[9]

    Autour de ces valeurs moyennes, on observe parfois des écarts importants, constituant encore en 2012 des records inégalés ; ainsi, le 10 août 2003, à l'occasion de l'épisode de canicule européenne, la température maximale observée a été de 39,8 °C ; la température la plus basse jamais enregistrée à Tours est de −18,5 °C le 29 décembre 1964 ; une pluviométrie annuelle record de 958 mm a été enregistrée en 1999[9].

    La comparaison des moyennes trentenaires à la station de Tours[9](données ci-dessous) semble mettre en évidence une certaine élévation du niveau des températures (minimales, moyennes et maximales) sur les trois périodes de référence ; les paramètres d'ensoleillement et de précipitations n'évoluent pas de manière lisible[Note 2].

    Évolution des moyennes trentenaires à la station de Tours (37).
    1961-1990 1971-2000 1981-2010
    température minimale moyenne (en°C) 6,9 7,1 7,5
    température moyenne (en°C) 11,2 11,4 11,8
    température maximale moyenne (en°C) 15,4 15,7 16,1
    ensoleillement (en h) 1 815,6 1 799,0 1 848,0
    précipitations (en mm) 678,9 704,0 695,9

    Liaisons aériennes

    À 22 minutes de trajet routier depuis Saint-Roch[10], l'aéroport de Tours Val de Loire (code IATA : TUF  code OACI : LFOT) propose en 2014 des dessertes régulières à destination d'Ajaccio, Figari, Marseille, Dublin, Londres-Stansted, Marrakech et Porto ; d'autres dessertes, saisonnières ou occasionnelles, sont assurées[11].

    Infrastructure routière

    La commune de Saint-Roch se trouve sur la D36 qui part de la Loire, sur Fondettes, et rejoint la D959 à hauteur de Charentilly ; cette route, qui dessert le centre-bourg, traverse du sud au nord le territoire communal et sert sur le premier tiers de son tronçon, jusqu'au pont sur la Petite-Choisille, de limite avec la commune de Fondettes.

    Transport en commun

    La commune est, en 2014, desservie par la ligne R du réseau Rémi, ex- Touraine Fil vert, le réseau interurbain de transport par autocar du conseil régional Centre-Val de Loire. Cette ligne, qui relie Château-la-Vallière à Tours, propose trois à quatre dessertes quotidiennes aux arrêts de bus situés sur la commune[12]. La commune de Saint-Roch est la dernière commune de la ligne avant l'entrée dans le réseau Fil bleu, les transports en commun de l'agglomération de Tours, et fait office de seul point de passage commun entre les différents départs et terminus de la ligne R, ce qui en fait un lieu de changement de bus pour de nombreux usagers.

    L'arrêt de Fil bleu le plus proche, situé sur la commune de Fondettes, est situé à moins de 5km.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Roch est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[16] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51 %), forêts (22,1 %), zones urbanisées (19,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), terres arables (0,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Histoire

    Le village de Saint-Roch est sans doute très ancien bien qu'on n'en retrouve des traces écrites que depuis le XIIe siècle. Le lieudit le Château (actuellement le lotissement du Clos Romain) était sans doute un oppidum (fortification) gaulois très important.

    La voie romaine, ou chemin de César, allait de Rennes à Poitiers en empruntant une partie du territoire communal : cette route était un axe majeur de communication jusqu'à récemment. Aujourd'hui, certains tronçons de cette route sont recouverts par la RD 36 mais d'autres sont encore visibles sur la partie qui est restée un chemin de randonnée et qui sert de frontière avec le nord de la commune de Fondettes et l'ouest de Charentilly.

    Vers le Xe siècle, une chapelle Saint-Rémi (saint protecteur des invasions) fut érigée. En 1106, Philippe, abbé de Saint-Julien, donne aux moines l'ordre de faire fructifier les terres autour du village. Ici, le seigneur c’est donc l’Église, le fief de Saint-Rémi/Saint-Roch appartenant à l'abbaye de Saint-Julien jusqu'à la Révolution. La chapelle relevait à l'origine à la paroisse de Vallières dont elle fut détachée en 1316 pour devenir une paroisse indépendante.

    La région était marécageuse et de nombreux étangs ont été aménagés par les moines pour pratiquer l’élevage de poissons, à destination des différents monastères de la région. L'humidité dégagée par ces étangs rendait l’air malsain, ce qui favorisa de nombreuses épidémies au XVIe siècle et au XVIIe siècle. Le plus grand recouvrait toute la vallée dans laquelle coule maintenant le ruisseau de Saint-Roch. Il alimentait à son extrémité sud un moulin de XIVe siècle ; le bâtiment existe encore et a été longtemps visible depuis le pont avant d'être caché par un mur. Les étangs furent asséchés aux XIXe et XXe siècles. Le seul qui subsiste est l'étang de Jumeau.

    Au XVIIe siècle, Saint Rémi n’était plus indispensable pour protéger les populations (il n'y avait plus d’invasions). La chapelle fut donc dédiée à Saint Roch qui protège contre les maladies (1615).

    À l'époque de la Révolution, entre 1794 et 1795, Saint-Roch fut appelé « La Montagne » mais retrouva son ancien nom très rapidement.

    Depuis les années 1970, la population du village a décuplé.

    Blasonnement

    Les armoiries de Saint-Roch se blasonnent ainsi :
    De gueules à la cotice en barre cousue d'azur chargée de cinq fleurs de lys d'or, accompagnée en chef de saint Roch contourné d'argent, mouvant de la cotice, vêtu en pèlerin, le visage de sable dissimulé sous un capuchon et tenant sous son bras droit un pain rond d'or, et en pointe d'un chien assis d'argent ; le tout enfermé dans une bordure cousue aussi d'azur combinée avec la cotice et chargée, en pointe, de la base d'un tronc de chêne arraché, en chef et aux flancs, de trois branches de chêne feuillées de deux pièces et englantées d'une posées en croix et, aux angles, de quatre branches feuillées de trois pièces et englantées de deux posées en sautoir, le tout d'or mouvant du trait de la bordure.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1908 mai 1953 James Lemaitre SE Constructeur du château du Tremblay
    mai 1953 mars 1970 Ernest Van de Velde SE Auteur de la Méthode Rose
    mars 1970 mars 1995 James Persyn SE  
    mars 1995 mars 2008 Christian Fournier SE Ébéniste
    mars 2008 En cours Alain Anceau DVD puis UDI Cadre, conseiller départemental depuis 2021

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

    En 2018, la commune comptait 1 252 habitants[Note 5], en diminution de 2,03 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    219219197232239252233242240
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    235253247233237258248265252
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    232234226179180163168212234
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2402232575358538711 1681 2481 266
    2018 - - - - - - - -
    1 252--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2007, il y avait 411 logements dont 395 constituaient le foyer familial primaire, 10 étaient des résidences secondaires et 6 maisons étaient occupés par des personnes en situation de chômage. 402 logements étaient des appartements. Sur les 395 logements primaire, 341 étaient occupés par leurs propriétaires, 48 ont été loués et occupés par des locataires et 5 ont été cédées à titre gratuit. 350 maisons avaient une place de stationnement. En 1995, il y avait deux voitures privées ou plus par logement pour 290 d'entre eux[27].

    Enseignement

    Saint-Roch se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Joué-les-Tours.

    L'école primaire accueille les élèves de la commune.

    Économie

    En 2009, à Saint-Roch il y avait 424 unités fiscales qui constituaient 1266 personnes, la recette fiscale annuelle moyenne par personne était de 21 046 €[28].

    Activités économiques

    Sur les 47 établissements qui existaient en 2007, un était une entreprise alimentaire, 7 d'entreprises de fabrication d'autres produits industriels, 13 entreprises de construction, 12 sociétés de négoce et de réparation automobile, une société de l'auberge et un restaurant, une société de l'information et de communication, deux sociétés immobilières, 7 sociétés de services, une entité de l'administration publique et deux entreprises classées comme à « autres activités de services[29] ».

    Sur les 18 établissements de services existants en 2009, 3 sont de l'équipement de réparation d'automobiles et agricoles, 1 palette, 2 peintres, 1 plâtrier, 1 menuiserie, 1 plomberie, 5 électriciens et 1 restaurant[30].

    Le seul établissement commercial qui existait en 2009 était une boulangerie[31].

    En 2000, à Saint-Roch, il y avait quatre fermes.

    Lieux et monuments

    • Le chêne de la liberté (1790) désormais sculpté par Jean Vindras et Fodé Bayo.
    • Monument aux morts (1914-1918/1939-1945).
    • Chœur de l’église (XIe siècle).
    • Sculptures de Michel Audiard, sculpteur tourangeau, représentant un orchestre d’animaux.
    • Reproduction d'une borne milliaire de l'époque romaine
    • Le "Château" du Tremblay (en fait une belle demeure bourgeoise), propriété privée (1840) et ses dépendances (ancien relais de poste de 1680)
    • Voie romaine allant du sud de l'Espagne au nord de la Gaule (tronçon de Poitiers au Mans).

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    2. Ces remarques ne résultent pas d'une analyse statistiques des données présentées. Elles n'ont qu'une valeur indicative.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Orthodromie entre "Saint-Roch" et "Tours" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. Code officiel géographique - présentation [lire en ligne].
    3. Population, superficie et densité des principaux pays du Monde en 2013 [lire en ligne].
    4. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    5. « Carte hydrologique de Saint-Roch », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    7. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    8. « Les climats du monde », sur le site de l'encyclopédie Larousse (consulté le ).
    9. « Records météorologiques pour Tours entre 1956 et 2012. », sur le site de Météo Centre (consulté le ).
    10. « Calcul d'itinéraire Saint-Roch / Aéroport de Tours Saint-Symphorien », sur le site viamichelin.fr (consulté le ).
    11. « Carte des destinations », sur le site de l'aéroport de Tours Val-de-Loire (consulté le ).
    12. Fiche horaire de la ligne R - Château la Vallière - Tours à partir du 2 septembre 2014, [lire en ligne (page consultée le 3 janvier 2015)].
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. Logement, 1968-2007
    28. Revenus fiscaux des ménages en 2008
    29. Créations et stock d'établissements par commune en 2009
    30. Nombre d'équipements des services aux particuliers
    31. Nombre d'équipements et de services dans le domaine du commerce en 2009
    32. « La Nouvelle République - Orchestre Animal de Pascal Nègre », sur lanouvellerepublique.fr, (consulté le ).
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