Saint-Parthem

Saint-Parthem est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Saint-Parthem

La rue principale de Saint-Parthem.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Communauté de communes Decazeville Communauté
Maire
Mandat
Jean-Michel Reynes
2020-2026
Code postal 12300
Code commune 12240
Démographie
Gentilé Saint-Parthémois
Population
municipale
405 hab. (2018 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 37′ 37″ nord, 2° 18′ 57″ est
Altitude Min. 180 m
Max. 592 m
Superficie 20,43 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Decazeville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lot et Dourdou
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Parthem
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Saint-Parthem
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Parthem
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Parthem

    Géographie

    Localisation

    Saint-Santin
    N Grand-Vabre
    O    Saint-Parthem    E
    S
    Flagnac Almont-les-Junies

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Parthem.

    La commune est drainée par le Lot, le Mourjou, le ruisseau de l'Estang, le ruisseau de Padou, le ruisseau du Camp et par divers petits cours d'eau[1].

    Le Lot prend sa source à 1272 m d’altitude sur la montagne du Goulet (nord du Mont Lozère), dans la commune de Cubières (48), et se jette dans la Garonne à Monheurt (47), après avoir parcouru 484 km et traversé 129 communes[2].

    Le Mourjou, d'une longueur totale de 12,1 km, prend sa source dans la commune de Cassagnes-Bégonhès et se jette dans le Lot à Saint-Parthem, après avoir arrosé 5 communes[3].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 995 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[6]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Aurillac, qui se trouve à 35 km à vol d'oiseau de la commune[7], où la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[8], à 10,2 °C pour 1981-2010[9], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[10].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Saint-Parthem comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2],[11], le « Ravin et pentes boisées du cayla » (128,3 ha), couvrant 2 communes du département[12] ; et la « Rivière Lot (partie Aveyron) » (2 552 ha), couvrant 33 communes dont 30 dans l'Aveyron, 2 dans le Cantal et 1 dans la Lozère[13] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[11], la « Vallée du Lot (partie Aveyron) » (19 239 ha), qui s'étend sur 47 communes dont 39 dans l'Aveyron, 5 dans le Cantal, 2 dans le Lot et 1 dans la Lozère[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Parthem est une commune rurale[Note 4],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Decazeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Saint-Parthem.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,7 %), zones agricoles hétérogènes (31,7 %), prairies (5,5 %), terres arables (4,1 %), zones urbanisées (2,3 %), eaux continentales (0,7 %)[20].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment la communauté de communes Decazeville Communauté, dont la commune est membre[21].

    La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme en révision[22]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[23].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Parthem est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[24],[25].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Saint-Parthem.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Lot. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans les bassins du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[26]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Lot aval[27], approuvé le 14 décembre 2006[28].

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité moyenne[29].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[24], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[30]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[31]

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

    Sur le département de l’Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[33].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Saint-Parthem est classée à risque faible[34]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[35] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 1, à savoir zone à potentiel radon faible[36].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Saint-Parthem est membre de la communauté de communes Decazeville Communauté[37], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Decazeville. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[38].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[37]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Lot et Dourdou pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[37], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[39].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Saint-Parthem, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[40] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[41]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[42] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 55,01 %[43]. Jean-Michel Reynes, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [44].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[45]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Decazeville Communauté[46].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Raymond Molenat    
    mars 2008 en cours Jean-Michel Reynes[47],[48]   Ancien agriculteur exploitant

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[50].

    En 2018, la commune comptait 405 habitants[Note 6], en diminution de 0,49 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5685129209611 0521 2241 1701 2201 126
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1821 1661 2281 2451 2401 2161 1621 0691 029
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    953957933835806759747707634
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    621569540515466445454401408
    2018 - - - - - - - -
    405--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église de Saint-Parthem.
    • L'église de Saint-Parthem de Saint-Parthem, de style roman, remaniée au cours des siècles, conserve les reliques de Saint-Parthem, évêque de Clermont, mort au IVe siècle. On peut y découvrir une croix de pierre sculptée du XVIe siècle.
    • Église Saint-Saturnin de Port d'Agrès.
    • Chapelle Notre-Dame du château de Gironde.
    • Le château fort de Gironde mentionné au XIe siècle, domine la vallée du Lot au-dessus du village que traverse cette rivière, à proximité du port d'Agrès qui est attesté depuis le VIIIe siècle. Il appartenait depuis le XVe siècle à la Famille cantalienne de Bertrand, aujourd'hui éteinte. Le dernier seigneur de Gironde est Anthoine de Bertrand (qui n'est pas le compositeur bien connu Antoine de Bertrand). La chapelle du château de Gironde, lieu de pèlerinage du Rouergue, depuis le Moyen Âge, renferme le tombeau de Bégon II de Bertrand, seigneur de la Renaissance. Elle contient une nef en bois du XIXe siècle et une série de grandes toiles contemporaines représentant des scènes de la vie de la campagne rouergate. Cette chapelle est encore desservie au XXIe siècle à l'occasion des pèlerinages.
    • Le château de Lasmaries ou des Maries, appartenait au XVe siècle à Jean de Séguy, seigneur d'Anglars et de Lasmaries, marié à Marie de Corn de Sonnac, père de Géraud-Aymar, dit Marquès, seigneur de Lasmaries et de Lalaubie. Il reste dans la même famille jusqu'au mariage en 1658 de Gabrielle de Séguy, fille d'Antoine et d'Anne del Salès, avec Pierre V de Flavin, seigneur de Capelle.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Paul Desprat (1947), actuel propriétaire du Château de Gironde. Historien et romancier.

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, La Sala : Boissa, Flanhac, Las Juniás, Livinhac, Sent-Antin, Sent-Partem / Christian-Pierre Bedel et les habitants del canton de La Sala, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 231 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-05-X, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF36652253)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche communale de Saint-Parthem », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « le Lot »
    3. Sandre, « le Mourjou »
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    9. « Station météorologique de Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    11. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Parthem », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF le « Ravin et pentes boisées du cayla » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
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    50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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