Pomport
Pomport est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pomport | |||||
L'église de Pomport. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Bergeracoise | ||||
Maire Mandat |
Anthony Castaing 2020-2026 |
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Code postal | 24240 | ||||
Code commune | 24331 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
729 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 46′ 49″ nord, 0° 25′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 171 m |
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Superficie | 19,55 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bergerac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Sud-Bergeracois | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Située au sud-ouest du département de la Dordogne et dans l'aire urbaine de Bergerac, la commune de Pomport est arrosée par un affluent de la Dordogne, la Gardonnette, qui lui sert de limite naturelle au sud-ouest.
L'altitude minimale, 38 mètres, se trouve à l'ouest, là où la Gardonnette quitte la commune pour servir de limite entre celles de Cunèges et Gageac-et-Rouillac. L'altitude maximale avec 171 mètres est localisée au sud-ouest du lieu-dit le Chrisly.
Le village de Pomport, à l'intersection des routes départementales 16E1 et 17, se trouve en distances orthodromiques, dix kilomètres au sud-ouest de Bergerac et douze kilomètres au nord d'Eymet.
La commune est également desservie par les routes départementales 14, 16 et 16E2.
Le sentier de grande randonnée GR 6 parcourt le territoire communal au nord et à l'ouest.
Communes limitrophes
Depuis 2019, Pomport est limitrophe de sept autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Vign », sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 794,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 9 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Pomport est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (75 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), forêts (7,3 %), prairies (6,5 %), zones urbanisées (1,3 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Politique et administration
Intercommunalité
Fin 2003, Pomport intègre dès sa création la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès. Celle-ci fusionne avec l'ancienne communauté d'agglomération bergeracoise au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[21],[22].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Pomport relève[25] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].
En 2018, la commune comptait 729 habitants[Note 6], en diminution de 11,1 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Manifestations culturelles et festivités
- Fête du village en juillet (40e édition en 2019[30]).
Économie
Avec près de 60 % du territoire communal planté de vignes, les viticulteurs de la commune produisent des vins d'appellations monbazillac ou bergerac[31].
Emploi
En 2015[32], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 356 personnes, soit 46,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-trois) a augmenté par rapport à 2010 (vingt) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,3 %.
Établissements
Au , la commune compte 110 établissements[33], dont quarante-six au niveau des commerces, transports ou services, quarante-trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, huit dans la construction, sept dans l'industrie, et six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[34].
Entreprises
Dans l'industrie, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Somaref » implantée à Pomport (fabrication de machines agricoles et forestières) se classe en 42e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 5 950 k€[35].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Chapelle Saint-Mayme, des XIIe et XVe siècles, inscrite au titre des monuments historiques pour sa façade occidentale et son abside depuis 1974[36],[Note 7].
- Église Saint-Pierre-ès-Liens, XIXe siècle, que surmonte un étrange clocher crénelé.
- Château Bélingard, domaine viticole[37],[38].
- Manoir la Birondie, domaine viticole.
- Manoir de Caillevel, domaine viticole.
- Manoir de la Gironie, domaine viticole.
- Château Ladesvignes, domaine viticole.
- Château du Malveyran.
- Manoir de Montlong, domaine viticole.
- Château de Pécany, XIXe siècle[39].
- Château de Sanxet, XVe siècle, domaine viticole[40].
- Anciens moulins à vent.
Le clocher crénelé de l'église Saint-Pierre-ès-Liens. Le pigeonnier du château Ladesvignes. Le château de Pécany. Ancien moulin à vent au milieu des vignes.
Patrimoine naturel
Au sud-ouest, la Gardonnette borde le territoire communal sur plusieurs kilomètres. Sur deux tronçons (l'un compris entre les limites communales de Rouffignac-de-Sigoulès et Sigoulès, et l'autre entre les lieux-dits le Moulinot et le Grand Moulin, le cours d'eau et ses rives font partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I où pousse une plante rare, la fritillaire pintade, (Fritillaria meleagris) et fréquentée par trois espèces de chauves-souris : le Grand murin (Myotis myotis), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii) et le Rhinolophe euryale (Rhinolophus euryale)[41],[42].
Héraldique
Blason | Parti de gueules et d'or, au clocher donjon du lieu, mouvant de la pointe et brochant de l'un en l'autre, accompagné en chef de deux grappes de raisin de l'un en l'autre. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Il s'agit de la chapelle Saint-Mayme (et non Saint-Mayne), nom dérivé de saint Maxime, confirmé par la carte de randonnée de l'IGN no 1837O, ainsi que par l'ouvrage de l'Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 196, et par l'ouvrage de Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet et Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 368.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pomport et Saint-Laurent-des-Vignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pomport et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 17 mars 2014.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 24 août 2014.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 25.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- M. W., « La fête du village célèbre son 40e anniversaire », Sud Ouest édition Bergerac/Sarlat, 3 juillet 2019, p. 18.
- Pomport sur le site du Pays de Bergerac, consulté le 6 juillet 2011.
- Dossier complet - Commune de Pomport (24331) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Pomport (24331) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
- « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
- « Chapelle Saint-Mayne », notice no PA00082768, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 21 octobre 2014.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 30.
- Site du Château Bélingard
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 204, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 265, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
- [PDF] Vallée de la Gardonnette, INPN, consulté le 25 décembre 2018.
- Carte de la ZNIEFF 720014276, INPN, consulté le 24 décembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
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