Saint-Jean-Pierre-Fixte

Saint-Jean-Pierre-Fixte est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Jean.

Saint-Jean-Pierre-Fixte

Mairie

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes du Perche
Maire
Mandat
Julie Rachel
2020-2026
Code postal 28400
Code commune 28342
Démographie
Population
municipale
261 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 17′ 36″ nord, 0° 50′ 14″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 199 m
Superficie 6,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nogent-le-Rotrou
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nogent-le-Rotrou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Saint-Jean-Pierre-Fixte
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Saint-Jean-Pierre-Fixte
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jean-Pierre-Fixte
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jean-Pierre-Fixte

    Géographie

    Situation

    La commune se situe dans la région naturelle du Perche.

    Communes et département limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Jean-Pierre-Fixte
    Nogent-le-Rotrou
    Mâle (Orne) Trizay-Coutretot-Saint-Serge
    Souancé-au-Perche

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 735 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 756,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et à 46 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Jean-Pierre-Fixte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nogent-le-Rotrou, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60 %), prairies (36,1 %), forêts (3,6 %), zones urbanisées (0,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Ce tableau liste les lieux-dits présents sur la commune de Saint-Jean-Pierre-Fixte[21].

    • Aumônerie (l)
    • Petit Aunay (le)
    • Bel Air
    • Bigotière (la)
    • Haut Bois (le)
    • Boisserie (la)
    • Bordes (les)
    • Boulaye (la)
    • Bout du Bois (le)
    • Cascade (la)
    • Chambeyron (le)
    • Chanerie (la)
    • Grand Charme (le)
    • Petit Charme (le)
    • Grand Châtillon (le)
    • Petit Châtillon (le)
    • Chênes (les)
    • Chèvrerie (la)
    • Cormier (le)
    • Fuye (la)
    • Gatys (les)
    • Gouenneteries (les)
    • Granges (les)
    • Petit Gros Bois (le)
    • Gros Bois Charon (le)
    • Gros Bois Gaslin (le)
    • Gros Bois Roger (le)
    • Guerrière (la)
    • Guimpier (le)
    • Houdonnière (la)
    • Isles (les)
    • Jevrie (la)
    • Joustière (la)
    • Mahotière (la)
    • Maillardière (la)
    • Maison Neuve (la)
    • Malbrou
    • Malleterie (la)
    • Marchais (les)
    • Menardière (la)
    • Montrousset
    • Moulin à Papier (le)
    • Moulin de Prainville (le)
    • Pilloisière (la)
    • Piternière (la)
    • Poussineries (les)
    • Grand Prainville (le)
    • Sablon (le)
    • Taillis (le)
    • Tertillère (la)
    • Valettes (les)
    • Vallée (la)
    • Vieux Moulin (le)

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Petra Fracta vers 1220[22], Pierre Ficte en 1449[23].

    Saint-Jean est un hagiotoponyme.

    Pierre-Fixte : du latin Petra Fracta, « pierre fracturée »[23].

    Histoire

    Révolution française et Empire

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Fontaine-Libre[24]. Elle reprend son nom actuel en 1793.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1807 Jean-Sébastien Aubert    
    1807 1816 Jean-Denis Brouard    
    1816 1828 Grégoire Leroy    
    1908  ? Julien Pelletier    
    1919 1920 Varenne    
    1920  ? Félicien Picard    
    1953 1977 Maurice Charpagne    
    1977 1980 André Filoche    
    1981 1989 Maurice Herry    
    1989 2001 André di Giovanni    
    2001 2013 Pierre Bequignon    
    septembre 2013 mai 2020 Alain Josse SE Retraité
    mai 2020 en cours Julie Rachel    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2018, la commune comptait 261 habitants[Note 7], en diminution de 5,78 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,22 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    284290297258270268295326314
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    309260219203208196232210224
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    222219212191225223212206193
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    183145180210307291292280263
    2018 - - - - - - - -
    261--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • Aucun établissement scolaire sur la commune, l'éducation est faite à Nogent-le-Rotrou.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Comité des fêtes, en charge de l'organisation de la fête de la Saint Jean, vide-grenier, beaujolais nouveau et l'arbre de noël[30].

    Économie

    • Une douzaine d'entreprises est présente sur la commune[31]

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Jean-Baptiste

    Carte postale ancienne.
    Église Saint-Jean-Baptiste

    L'église Saint-Jean-Baptiste est recensée dans l'inventaire général du patrimoine culturel[32]. La nef et le chœur datent du XIIe siècle. La tour-clocher actuelle date de 1622, en effet, la première, construite en 1619 s'effondra faute de fondations correctes en 1620. L'église est dédiée à Saint-Jean-Baptiste.

    Cette tour-clocher a une particularité. Le presbytère, bâtiment annexe à l'église a été vendu comme bien national en 1796. L'abbé du moment, Joseph Adolphe Vidal, n'avait plus de salle ni de logement. Les moyens financiers de la commune ne permettant pas la construction d'un logement pour l'abbé et d'une mairie, l'abbé, menuisier et ancien compagnon du Devoir, décida de transformer la tour-clocher et de faire trois étages, au premier étage, la salle du curé, au deuxième, la salle du conseil municipal et au troisième, sa chambre à coucher, le tout, desservi par un escalier inclus dans la tour[33].

    En 1904, la mairie considérant que le logement n'était plus adapté, relogea le curé, non loin de l'église, dans la maison du garde-barrière qui était vacante depuis la suppression de la ligne du chemin de fer Nogent-le-Rotrou à Patay . La salle du conseil municipal prit place dans la mairie construite en face de l'église en 1956. La tour-clocher a été restaurée en 2009.

    Cette église abrite :

    • Deux verrières des XVIe et XIXe siècles : saint Jean-Baptiste, sainte Barbe, l'Annonciation, sainte Marthe (baies 1 et 2),  Inscrit MH (1908)[34] ;

    Fontaine Saint-Jean

    La commune fut un des lieux sacrés du paganisme et la Fontaine Saint-Jean, aurait la particularité d'avoir des vertus miraculeuses[37].

    Placée en face de l'église, elle ressemble à une grotte dans laquelle est placée une statue de Saint-Jean. Chaque année, la veille de la Saint-Jean, les visiteurs, avant le soleil levé, venaient des départements voisins avec pour but de toucher l'eau miraculeuse qui coulait de la fontaine. Certains visiteurs achetaient directement au curé de la paroisse de l'eau, d'autre s'en versaient sur le corps ou uniquement sur la partie malade, d'autres encore, dont la totalité du corps était malade, trempaient une chemise et l'enfilaient. Des mères plongeaient des bébés malades tout nus dans l'eau glacée pensant qu'un miracle aurait lieu. Au vu du nombre de décès infantiles, le Docteur Robbe en 1834 dénonça ces pratiques.

    La Gazette des Hôpitaux de Paris, en 1834 avait publié le pamphlet suivant :

    « Il existe dans es environs (Nogent-le-Rotrou) une fontaine dite du Bon Saint-Jean, véritable piscine, renommée pour ses miracles. C'est la panacée universelle, le remède à tous maux. Malgré sa grande réputation, on peut établir toutefois qu'elle produit plus de maladies qu'elle n'en guérit véritablement. En effet, à une certaine époque de l'année, on voit arriver de toutes parts une foule de nourrices, qui viennent plonger dans ses eaux glacées leurs enfants au maillot. Par cela même qu'ils ont le corps couvert de gourme, on peut croire que, de cette immersion froide, il doit résulter souvent la rétrocession subite de cet exhantème, et, par la suite, des maladies graves qui entraînent la mort de plusieurs d'entre eux. Je n'ai point l'intention de dérouler ici le chapitre des accidens occasionés par le fanatisme aux crédules habitans de nos campagnes[38]. »

    Deux anticléricaux notoires, M. Lepecq, ancien médecin pédiatre à l'assistance publique de Paris et M. Morin, ancien notaire et avocat firent pression pour interdire cette pratique. Un arrêté sous-préfectoral l'interdit en 1844. La tradition était plus forte que la loi, et celle-ci perdura jusqu'en 1848, date à laquelle M. Morin, devenu sous-préfet de Nogent-le-Rotrou pris les mesures nécessaires pour stopper définitivement ces pratiques[39]. Cela a fait l'objet d'une Affaire de la vipère noire et de la fontaine miraculeuse[40].

    Manoir de Prainville

    Le manoir de Prainville, recensé dans l'inventaire général du patrimoine culturel[41], est construit vers 1485 pour Patrice de Boisguyon, écuyer, fils cadet de Philippe de Boisguyon, seigneur de Montdoucet. Ce manoir est une propriété privée.

    Monument aux morts et cimetière

    Le Monument aux morts se trouve dans l'enceinte du cimetière.

    Sur ce dernier, sont inscrits les noms des soldats morts pour la France, dix durant la Première Guerre mondiale et un durant la Guerre d'Indochine[42].

    Moulin à papier

    Déjà existant sur le cadastre de 1811, ce bâtiment a été modifié et agrandi au cours du XIXe siècle. Le propriétaire de l'époque, Gabriel Thibault, était papetier à Autheuil. Le moulin, transformé en usine produit du papier jusqu'au milieu des années 1860. Vendu à Louis Lepelley, tanneur à Paris, ce dernier l'exploite en tant que moulin à tan. Ce même propriétaire, décide une nouvelle transformation en fabrique de dominos et boutons qu'il cédera en 1921 à Émile Serrault, fabricant de bouton). L'activité de cette fabrique cessera à la veille de la seconde Guerre Mondiale.

    Ce moulin, depuis 1952, est propriété de la Fédération départementale pour la pêche et la protection du milieu aquatique. Elle fait de ce batîment une pisciculture et son siège[43].

    Héraldique

    Blason
    Taillé: au 1er de sinople à la pierre du lieu fichée d'or et senestrée à sa base d'une pierre couchée du même, au 2e d'azur à la fontaine miraculeuse du lieu d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Pierre Pelletier, Saint-Jean-Pierre-Fixte – Carrefour d’histoire, monographie communale, . 

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Miermaigne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Jean-Pierre-Fixte et Miermaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Miermaigne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Jean-Pierre-Fixte et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Lieux-dits, hameaux et écarts
    22. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales : les mots des routes anciennes, Errance, , p. 83.
    23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 310.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Jean-Pierre-Fixte », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    25. Cercle de recherches généalogiques du Perche-Gouêt
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Comité des fêtes
    31. Économie
    32. « Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste », notice no IA28000284, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. Église Saint-Jean-Baptiste.
    34. « 2 verrières : saint Jean-Baptiste, sainte Barbe, l'Annonciation, sainte Marthe (?) (baies 1 et 2) », notice no PM28000521, base Palissy, ministère français de la Culture.
    35. « Armoire de sacristie, style Louis XV », notice no PM28000522, base Palissy, ministère français de la Culture.
    36. « Estampes (8), dites images d’Épinal », notice no PM28000785, base Palissy, ministère français de la Culture.
    37. Histoire des villes de France, Volume 3, Aristide Guilbert, page 436.
    38. Orthographe de l'époque conservée, texte repris dans le Nogentais du dimanche 26 janvier 1834
    39. Ernest Sevrin, Croyances populaires et médecine supranaturelle en Eure-et-Loir au XIXe siècle,Revue d'histoire de l'Église de France, tome 32, n°121, 1946. page 268
    40. le Nogentais du dimanche 23 février 1845, Affaire de la vipère noire et de la fontaine miraculeuse
    41. « Le manoir de Prainville », notice no IA28000619, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Monuments aux morts
    43. Inventaire du patrimoine bâti, Saint-Jean-Pierre-Fixte
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