Saint-Avertin

Saint-Avertin est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire.

Pour l’article homonyme, voir Avertin de Tours.

Saint-Avertin

Façade de la mairie de Saint-Avertin

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Tours Métropole Val de Loire
Maire
Mandat
Laurent Raymond
2020-2026
Code postal 37550
Code commune 37208
Démographie
Gentilé Saint-Avertinois
Population
municipale
14 968 hab. (2018 )
Densité 1 130 hab./km2
Population
agglomération
370 000 hab. (dans l’aire urbaine tourangelle)
Géographie
Coordonnées 47° 22′ 03″ nord, 0° 43′ 40″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 98 m
Superficie 13,25 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pierre-des-Corps
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Saint-Avertin
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Saint-Avertin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Avertin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Avertin
Liens
Site web www.ville-saint-avertin.fr

    Ses habitants sont appelés les Saint-Avertinois.

    Géographie & urbanisme

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Saint-Avertin.

    La commune est traversée d'est en ouest par le Cher (3,415 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 6,95 km, comprend un autre cours d'eau notable, le Filet (0,194 km), et trois petits cours d'eau dont le petit cher (0,757 km)[1],[2].

    Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source à 714 mètres d'altitude à Mérinchal, dans la Creuse et se jette dans la Loire à Villandry, à 40 m d'altitude, après avoir traversé 117 communes[3]. Le Cher présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon du Cher tourangeau[4], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [Pont Saint Sauveur]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 53 ans pour cette station) varie de 25,8 m3/s au mois d'août à 192 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 000 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 4,96 m le [5],[6]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[7],[8]. Sur le plan piscicole, le Cher est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[9].

    Le Filet, d'une longueur totale de 19,6 km, prend sa source dans la commune de Dierre et se jette dans le Cher à Tours, après avoir traversé 10 communes[10]. Ce cours d'eau est classé dans la liste 1[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux[7]. Sur le plan piscicole, le Filet est également classé en deuxième catégorie piscicole[9].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Avertin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[14] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (65,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (55,4 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), forêts (8,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,1 %), eaux continentales[Note 6] (5,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,3 %), prairies (2,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

    Au IXe siècle, le territoire de l'actuelle commune de Saint-Avertin appartenait à la collégiale Saint-Martin, ainsi dans un document daté du , le prince Hugues le Grand restitue Saint-Avertin (désigné en latin Venciacum) à l'abbaye Saint Martin de Tours après l'avoir usurpé pour son propre bénéfice (acte cité par E. Mabille, La Pancarte noire de Saint Matin de Tours, 1866). De fait, cet acte permet de comprendre que Saint Avertin faisait partie d'un important ensemble foncier relevant de l'abbate, appelé la Porterie, et en conséquence fortement convoité. Deux foyers de peuplement existaient : un village à l'emplacement du centre-ville actuel, et Bourg-Cocu, situé à l'ouest, vers la Rue de Grand-Cour[21].

    Le village au bord du Cher était un point de passage sur la route de Loches à Tours. Henri II Plantagenêt y aurait fait construire un pont en 1162. Durant, la guerre de Cent Ans, en , lors de la chevauchée du Prince noir le pont est coupé et le village brûlé sur ordre du maréchal Jean de Clermont-Nesle afin de retarder les Anglo-Gascons.

    La seconde moitié du XXe siècle a vu un triplement de la population, à la suite de la construction d'habitats pavillonnaires sur un territoire largement dévolu à l'agriculture. Au XXIe siècle, l'agriculture a pratiquement disparu.

    La ville apparaît dans le roman "La chambre des dames" de Jeanne Bourin, dont l'action a lieu au XIIIe siècle, sous son ancien nom, Vançay.

    Héraldique

    Les armes de Saint-Avertin se blasonnent ainsi :

    D'argent au pairle de gueules accompagné de trois feuilles de plantin de sinople[22].

    Étymologie et origines

    Le premier nom attesté de la localité est Venciacum, selon la charte de Hugues, abbé de Saint-Martin, en 930. Le nom évolua ensuite en Vençay (autres formes : Venzay, Vinçay, Vançay), dénomination donnée en 1276[23]

    La commune prend le nom de Saint-Avertin au XIVe siècle. Selon la légende, saint Avertin serait né au XIIe siècle en Grande-Bretagne, de parents nobles et très religieux. Il aurait été le compagnon de Thomas Becket durant son exil en France puis serait devenu curé de Vencay où il serait mort et enterré. Aucun texte n'atteste ces faits mais la popularité du culte à Saint-Avertin se développe du XVe au XVIIIe siècle dans tout l'Ouest de la France[24].

    Saint Avertin, connu aussi sous le nom de saint Iverzin est honoré surtout dans le Finistère, à l'église Saint-Mathieu de Morlaix (la statue est désormais au musée départemental breton de Quimper), à Plouezoc'h (dans une chapelle disparue), à Kergloff où il est connu localement sous le nom de saint Libertin), mais aussi dans les Côtes-d'Armor, à Plestin-les-Grèves, à Trédaniel et à Coëtmieux par exemple. Le saint était souvent invoqué pour les maux de tête, mais parfois aussi contre la dysenterie[25].

    Au cours de la Révolution française, la commune reprit provisoirement le nom de Vençay[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1807   Louis-Joseph du Plessis-Mauron de Grenédan    
    1819 1830 Edmond Viot-Prudhomme    
    1837 1847 Georges Alexis Mocquery    
    1906 1911 Paul, comte de Pourtalès    
    1911 1919 Alexandre André    
    1919 1928 Silvain Fleuriau    
    1928 1941 Léon Brulon    
    1941 1944 Alphonse Nadaud    
    1944 1945 Maurice Grosjean    
    1945 1947 Marcel Boulme    
    1947 1959 Henri Adam    
    1959 1959 Henri Boulme   Remplaçant Henri Adam
    1959 1965 Jean-Marie Boivin    
    1965 1971 Maurice Pigeaud    
    1971 1983 Daniel Huard    
    1983 2001 Robert Pouzioux DVD Entrepreneur
    Conseiller général (1982-2001)
    2001 2016 Jean-Gérard Paumier UMP Ancien directeur des services départementaux
    Conseiller général (2001-2015)
    Conseiller départemental (2015-)
    Président du conseil départemental d'Indre-et-Loire[26]
    2016 2018 Alain Guillemin[27] UDI Vice-président de Tours Métropole Val de Loire
    2018[28] En cours Laurent Raymond UDI Vice-président de Tours Métropole Val de Loire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2016, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[29].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[30],[Note 7]

    En 2018, la commune comptait 14 968 habitants[Note 8], en augmentation de 0,5 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1801 2721 2671 1671 2961 3001 3071 3221 359
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3331 4571 5411 6041 7001 7311 8241 7061 723
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7391 7521 9052 1372 6082 8703 0094 0053 907
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5 1467 4158 79510 11512 18714 09213 93114 46114 988
    2018 - - - - - - - -
    14 968--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Source : EHESS[33]

    Enseignement

    Saint-Avertin se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-avertin.

    La commune compte plusieurs établissements scolaires :

    Écoles publiques

    • École maternelle Léon Brûlon
    • École élémentaire Brûlon-Plantin
    • École primaire Henri Adam
    • École primaire Les Grands Champs

    Écoles privées

    • École primaire privée Montessori
    • École primaire privée Tilia

    Collège

    • Collège Jules Romains

    Patrimoine et culture locale

    L'église

    Le château de Cangé

    Ce château est le lieu dans lequel est installée la médiathèque de la ville de Saint-Avertin

    Le château de Cangé[34] a été édifié au XIIIe siècle pour une famille tourangelle, les d'Andigné. Il se situe au sein d'un parc de quinze hectares sur le coteau à l'est de la ville, dominant ainsi la vallée du Cher.

    Plusieurs dynasties de renom occupèrent successivement le château :

    Gilbert Imbert de Chastres, maire de Tours, occupa le château, ainsi que quatre maires de Saint-Avertin : Edmond Viot-Prudhomme (?- 1832), le baron Paul de Richemont (1832-?), Maurice Cottier (1870-?) et le comte Paul de Pourtalès.

    Durant de la Seconde Guerre mondiale, le château de Cangé fut réquisitionné pendant cinq jours par le président Albert Lebrun, ainsi que par les services de la présidence de la République. Deux conseils des ministres s'y déroulèrent les 12 et . Après la guerre, son propriétaire le laissa à l'abandon. Un incendie le ravagea dans la nuit du 20 au . La propriété est finalement rachetée par la commune en 1980.

    Après deux ans de rénovations, le château a été réhabilité en une médiathèque moderne tout en respectant l'architecture. Elle a ouvert ses portes le [35].

    Les dépendances ainsi que le vaste parc du château accueillent régulièrement le centre de loisirs de la ville, l'école municipale de musique ainsi que de nombreuses associations. Plusieurs événements y sont régulièrement organisés tout au long de l'année grâce à un grand nombre d'installations : circuit de bicross, jeux, etc.

    Effigies royales

    On cite près de Saint-Avertin, dans le salon du château de La Sogerie (?) "une série de 68 toiles anonymes du XVIIIe siècle représentant "les portraits de rois de France, le dernier étant Louis XV (mort en 1774) ; ces tableaux de 63 × 53 cm étaient groupés par six ou neuf"[36].

    Cet ensemble décoratif (disparu ?) est à rapprocher de quatre autres séries iconographiques, certaines de la région :

    • celle de la galerie des 327 portraits (55 × 45 cm en moyenne) du château de Beauregard répartis sur trois niveaux en douze panneaux, initiée par le contrôleur général des Guerres et chancelier de l'Épargne Paul Ardier en 1617 et continuée par ses successeurs pendant 60 ans ;
    • celle des 44 portraits encadrés "représentant la cour de France et les cours étrangères" qui dans le lambris de hauteur du vestibule central de la maison de campagne construite aux portes du Mans en 1678 par l'architecte Siméon Garangeau (1647-1741) pour l'abbé Michel le Vayer, grand doyen du chapitre de la cathédrale de cette ville[37];
    • au XIXe siècle, les marquis de Biencourt constituèrent une collection de 300 portraits historiques (certains dus à des maîtres) dans leur château d'Azay-le-Rideau (Indre-et-Loire), qui était montrée aux visiteurs, mais qui fut dispersée avec le mobilier lors d'une vente en 1898 (des éléments sont conservés au musée Condé - château de Chantilly).
    • enfin le mur sud de la sacristie de l'église de Beaulieu-Les-Loches, "recouvert de panneaux de 90 × 60 cm sur lesquels sont peints les bustes de personnages ou de saints (dont saint François de Sales) sur fond noir"[36].

    Autres

    Personnalités liées à la commune

    Transports

    Ancienne halte du tramway.

    Autrefois, un tramway desservait Saint-Avertin. Actuellement, la ville de Saint-Avertin est desservie par le réseau de bus Fil bleu avec notamment les lignes 3a, 10, 19, 35 et 36. Elle est aussi desservie par le réseau Rémi avec la ligne D et le réseau Fil blanc (dépendant du SITCAT).

    Vie associative

    La ville de Saint-Avertin accueille de nombreuses associations intervenant dans des secteurs variés : sports, loisirs et culture, nature et environnement, seniors, social et solidarité, enseignements, associations de quartiers, d'anciens combattants, unions professionnelles et autres partis politiques et syndicats[43].

    Notes et références

    Notes

    1. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    2. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    3. Le classement en liste 1 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    2. « Carte hydrologique de Saint-Avertin », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. « Fiche Sandre - le Cher », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    4. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    5. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    6. « Station hydrométrique K6710910, le Cher à Tours [Pont Saint Sauveur] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    7. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    9. (id) « Décret no 58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Fiche Sandre - le Filet », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Dictionnaire des communes de Touraine, page 691, éditions CLD, 1987
    22. Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : mars 2009.
    23. Dictionnaire des communes de Touraine, page 690, éditions CLD, 1987
    24. Guy-Marie Oury, Les Saints de Touraine, C.L.D., 1985, p. 154-155.
    25. Bulletin diocésain d'histoire et d'archéologie, diocèse de Quimper, année 1924, [lire en ligne].
    26. Il quitte ses fonctions le 23 février 2016, jour où il est élu président du Conseil départemental d'Indre-et-Loire.
    27. La Nouvelle République
    28. « Élection du nouveau Maire Laurent Raymond et mise en place du Conseil Municipal », sur www.ville-saint-avertin.fr, (consulté le ).
    29. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Avertin », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    34. Site de la ville de Saint-Avertin.
    35. la médiathèque de Saint-Avertin.
    36. Gérard Bardon et autres, L'Almanach de la Touraine 2010, édit. C.P.E. p. 99.
    37. Damien Castel, Demeures sarthoises de Garangeau ds V.M..F no 252, novembre 2013, p. 54.
    38. Notice no PA00098057, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Notice no PA00098058, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. Notice no PA00098059, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Notice no PA00098060, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Notice no PA00098056, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Associations par thèmes », sur www.ville-saint-avertin.fr (consulté le ).

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Article connexe

    Liens externes

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