Saffré

Saffré est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Saffré

Les bords de l'Isac.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes de Nozay
Maire
Mandat
Jean-Claude Raux
2020-2026
Code postal 44390
Code commune 44149
Démographie
Gentilé Saffréens
Population
municipale
3 947 hab. (2018 )
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 30′ 09″ nord, 1° 34′ 39″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 78 m
Superficie 57,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guémené-Penfao
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Saffré
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Saffré
Géolocalisation sur la carte : France
Saffré
Géolocalisation sur la carte : France
Saffré
Liens
Site web http://www.saffre.fr/

    Géographie

    Situation de la commune de Saffré dans le département de la Loire-Atlantique

    Situation

    Située au nord de l’agglomération nantaise dont elle est éloignée de 35 km, la commune de Saffré est traversée par la voie express Nantes-Rennes (RN 137, à 2x2 voies).

    Les communes limitrophes sont Puceul, Abbaretz, Joué-sur-Erdre, Nort-sur-Erdre, Héric et La Chevallerais.

    Géographie physique

    La topographie est assez homogène (entre 25 m et 50 m). Elle culmine à 77 m au hameau « La Praie ». Ce promontoire mis à part, le territoire communal se caractérise par un paysage de plaine à l’Ouest avec la vallée de l’Isac et de plateau à l’Est avec la Forêt. À noter : vers 1500, il y eut deux ou trois tremblements de terre, cause probable des gouffres de la Chutenais.

    Le sous-sol contient une réserve en eau exploitée après traitement dans une usine (située aux Perrières) au niveau des captages de la Chutenais.

    La nappe phréatique située au Nord du bourg et des villages d’Augrain et des Ormes couvre 2 000 ha et dans sa partie la plus profonde elle peut atteindre 300 m. Elle est très vulnérable à la pollution.

    Géographie humaine

    La population est répartie dans les nombreux hameaux sur un territoire s’étendant sur 5 746 ha.Cette surface est répartie entre une cinquantaine d’exploitations agricoles qui produisent du lait pour 80 % d’entre elles ; 20 % sont orientées en production de viandes. La forêt de Saffré et différentes parties boisées complètent cette surface...

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 754 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nort-sur-Erdre », sur la commune de Nort-sur-Erdre, mise en service en 1950[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 754,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 36 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saffré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,7 %), prairies (16,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,8 %), forêts (9,6 %), zones urbanisées (3,7 %), eaux continentales[Note 6] (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    La localité est attestée sous sa forme latine Saffriacum dès 1123[21].

    Le nom de Saffré pourrait provenir de l'anthroponyme gallo-romain Safria, avec le suffixe -acum (domaine.[réf. nécessaire]

    Saffré possède aussi un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Safrei (écriture ELG, prononcé [sa.fʁə])[22].

    En breton, son nom est Saverieg[23].

    Histoire

    La mer à Saffré

    Un bras de mer s'avançait jusqu'à Saffré il y a plus de quarante millions d'années. On y a en effet retrouvé des coquillages fossiles identiques à ceux que l'on peut retrouver aujourd'hui en Méditerranée.

    Le site préhistorique

    L’histoire de la Commune remonte à la plus haute antiquité. On a en effet retrouvé des silex éclatés et des haches en pierre polie en telle quantité qu’il n’y a aucun doute sur l’existence d’une concentration humaine à Saffré bien avant l’époque gauloise. Les plus anciens vestiges d’une présence humaine sur le site de Saffré, telles les haches polies découvertes près d’Augrain, remontent à la fin du troisième ou au début du deuxième millénaire avant Jésus-Christ. On peut rattacher à la même époque néolithique la lame de silex trouvée près du gouffre de la Chutenais, la hache-marteau de Marignac et l’anneau en phtanite recueilli au Jarrier. Mais la découverte la plus marquante fut celle d’un dépôt de 30 haches de bronze faite à la Jossaie en 1965. Saffré venait ainsi ajouter son nom à celui des 11 localités de la Loire-Atlantique, où furent mis au jour des dépôts identiques, que l’on date des alentours de l’an mille avant notre ère, le plus important étant celui de Blain (400 haches).

    La période gallo-romaine

    De la période gallo-romaine, les vestiges sont encore plus évidents. On sait que les gisements de calcaire de la commune étaient exploités par les Romains et on trouve encore parfois à 200 m à l’ouest du bourg des débris de tuiles à rebords, le long d’une ancienne voie romaine (Blain, Saumur...).

    Les Seigneurs

    Le premier seigneur connu de Saffré semble avoir été Alain de Pierrefeu, en 1097. Un premier château existait au Moyen Âge (XIe – XIIe siècle). L’un de ses successeurs offrit en 1223 un fief aux chevaliers du Temple de Nantes. La châtellenie de Saffré comprenait la paroisse entière de ce nom et s’étendait aux paroisses avoisinantes : Nort-sur-Erdre, Joué-sur-Erdre, Puceul. Plusieurs générations de Tournemine ont ensuite occupé les lieux, pendant plus d'un siècle. En 1542, les d’Avaugour, descendants des Ducs de Bretagne leur succédèrent. Cette famille restera aussi longtemps propriétaire du château de Saffré (jusqu'au début du XVIIIe siècle). Dans un aveu de 1679, le château est décrit ainsi : « le château de Saffré avec ses tours, cernoyé de ses douves et pont-levis, avec les bastiments en dehors, fuie, estang, bois, vignes, prés... ».

    Les O'Riordan succédèrent aux d’Avaugour. Leur fille épousa un riche et ambitieux marin, Jacques-Edme Cottin, originaire de Saint-Domingue, qui acheta un titre de noblesse et devint à son tour l'un des propriétaires du château - et le dernier seigneur du lieu.

    XIXe et XXe siècles

    À partir de 1824, Hubert Le Loup de Beaulieu, nouveau propriétaire du domaine (et maire de Saffré 1825 à 1830), fait effectuer de nombreuses modifications, architecturales et paysagères. Il cède la forêt de Saffré, fait creuser un nouveau lit à l’Isac et détruire tout ce qui pouvait donner l’aspect d’une forteresse (douves, pont-levis, vers 1840). Le château de Saffré devient à cette époque une habitation « moderne ». Alexis Ricordeau (maire de 1902 à 1931), avocat au barreau de Nantes et premier président du conseil d’administration de l’hôtel-Dieu de la ville, acheta le château en 1895. Il fit abattre l’aile ouest (à la suite d'un incendie ?) et réaménagea le bâtiment selon les goûts de l’époque. Son fils Maurice en fut le dernier habitant, avant l’occupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale. En 1990, la commune de Saffré a acquis cette propriété, inoccupée depuis lors. C'est sur le site du château que s'est déroulé pendant 10 ans le festival « le Champ du rock ». Le lieu est toujours utilisé pour de nombreuses manifestations associatives (on peut également y visiter un joli potager, des mares), en attendant un usage plus régulier...

    Le Maquis de Saffré

    Monument commémoratif du maquis de Saffré.
    Le général de Gaulle à Saffré.

    La commune est particulièrement célèbre pour avoir été le siège du principal maquis du département au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il a été anéanti par l'occupant allemand dans la nuit du au

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur aux trois croix fleurdelysées d'or, au chef du même.
    Commentaires : D'après un Brevet d'Hozier (1696).

    Politique et administration

    Mairie de Saffré.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
        Jacques-Edme Cottin    
    1825 1830 Hubert Le Loup de Beaulieu    
    1902 1931 Alexis Ricordeau    
    1931 1945 Maurice Ricordeau    
    1945 1960 Pierre Mabit    
    1960 1977 Pierre Ségalen    
    1977 1989 Roger Mary    
    1989 2008 Jean Dupas[Note 7] DVG  
    2008 2020 Jocelyne Poulin[Note 8] DVG enseignante
    2020 En cours Jean-Claude Raux    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Saffré fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Nozay. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[24]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 94 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 6 % dans des zones « très peu denses »[25].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2018, la commune comptait 3 947 habitants[Note 9], en augmentation de 5,37 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2261 4661 6132 6392 8222 9403 0733 2653 385
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 3143 3863 4553 4553 5623 5813 5513 6643 670
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 5053 5043 5263 0022 8602 7602 6312 4382 410
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 3362 3202 2062 4922 6082 6783 2483 3293 680
    2017 2018 - - - - - - -
    3 9073 947-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,7 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[30],[31],[32]. Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,5 % contre 48,4 % au niveau national et 48,7 % au niveau départemental)[30],[31],[32].

    Pyramide des âges à Saffré en 2013 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,5 
    4,6 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,5 
    60 à 74 ans
    11,6 
    18,1 
    45 à 59 ans
    17,8 
    25,2 
    30 à 44 ans
    24,3 
    14,2 
    15 à 29 ans
    14,4 
    26,2 
    0 à 14 ans
    24,4 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques-Edme-Léger Cottin (1754-1823), homme politique français, propriétaire du château de Saffré et maire de la commune, y est décédé.
    • François Fidèle Ripaud de Montaudevert, corsaire français, né le à Saffré.
    • Alcide Leroux (1846-1926), avocat, écrivain, historien, membre de La société Archéologique de Nantes et du département de la Loire-Inférieure, né à Saffré.
    • Jean-Michel Dupas, originaire de la commune, responsable de la programmation à l'Olympic (Nantes) et membre de l'équipe de programmation du Printemps de Bourges.
    • Philippe Tourtelier, député PS d'Ille-et-Vilaine

    Jumelages

    Saffré est jumelée avec:

    Winterton est une petite ville de 5 000 habitants, dans le Lincolnshire. Afin de développer les relations entre les deux communes, le Comité de Jumelage Saffré / Winterton organise chaque année des échanges entre familles, agrémentés de visites et de rencontres variées.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Réélu en 1995 et 2001.
    8. Réélue en 2014.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Nort-sur-Erdre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saffré et Nort-sur-Erdre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Nort-sur-Erdre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saffré et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
    22. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    23. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    24. « Commune de Saffré (44149) », Insee (consulté le ).
    25. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Saffré - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    31. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    32. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
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