Rue des Bas-Rogers

Plaque de la rue des Bas-Rogers.

À fort dénivelé, elle suit le tracé de la route départementale 104.

Cette voie tient son nom du lieu-dit appelé le Bois Roger qui était une propriété boisée appartenant, en 1552, à l'une des plus vieilles familles de Suresnes.

Cette voie, qui était utilisée par les pèlerins pour rejoindre l'ermitage du mont Valérien, séparait le domaine de Saint-Germain-des-Prés de celui de Saint-Denis. Elle figurait déjà sur le plan cadastral de 1669[3].

En 1634, l'ermitage du mont Valérien était devenu un lieu de pèlerinage, qui durera sans interruption de 1634 à 1830, même pendant la Révolution. En 1831, le dernier ermite fut découvert mourant dans les ruines du monastère[4], quelques années avant la construction du fort.

• Au numéro 28 de cette rue, Léon Levavasseur et Jules Gastambide créérent la Société des moteurs Antoinette.
• Cimetière ancien de Puteaux (à droite).
• Cimetière Voltaire de Suresnes, autrefois appelé nouveau cimetière des Bas-Rogers (à gauche).
• À l'angle de la rue Voltaire, le viaduc des Bas-Rogers ou pont des Cinq Arches, construit en 1886, et sur lequel passe la ligne des Moulineaux.

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  Plaque au n^o 28.
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  Le viaduc des Bas-Rogers.
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  Le viaduc des Bas-Rogers, carte postale colorisée.
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  Un restaurant, rue des Bas-Rogers, sur une ancienne photographie.
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  Maison, 7 rue des Bas-Rogers.

• Liste des voies de Puteaux

• Octave Seron, Suresnes d'autrefois et d'aujourd'hui, Le Livre d'histoire (rééd. 2000), 1926.
• René Sordes, Histoire de Suresnes : Des origines à 1945, Société historique de Suresnes, 1965.
• Michel Hebert et Guy Noël, Suresnes. Mémoire en images, t. 1, Éditions Alan Sutton, 1995.
• Michel Hebert et Guy Noël, Suresnes. Mémoire en images, t. 2, Éditions Alan Sutton, 1996.

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