Rue Édouard-Colonne
La rue Édouard-Colonne est une voie située dans le quartier Saint-Germain-l'Auxerrois du 1er arrondissement de Paris, en France.
 1er arrt Rue Édouard-Colonne
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 Rue Édouard-Colonne vue depuis le quai de la Mégisserie. | |||
| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Arrondissement | 1er | ||
| Quartier | Saint-Germain-l’Auxerrois | ||
| Début | 2 ter, quai de la Mégisserie | ||
| Fin | 1, rue Saint-Germain-l'Auxerrois et 25, avenue Victoria | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 35 m | ||
| Largeur | 15 m | ||
| Historique | |||
| Création | Vers 1854 | ||
| Dénomination | |||
| Ancien nom | Partie de la rue des Lavandières-Sainte-Opportune | ||
| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 3164 | ||
| DGI | 3140 | ||
| Géolocalisation sur la carte : 1er arrondissement de Paris
Géolocalisation sur la carte : Paris
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Situation et accès
Grossièrement orientée nord-sud, longue de 35 mètres, elle commence au 2 ter, quai de la Mégisserie et se termine au 1, rue Saint-Germain-l’Auxerrois et au 25, avenue Victoria.
La station de métro la plus proche est celle de Châtelet, où circulent les trains des lignes 
. Les bus RATP des lignes 38 58 70 72 74 81 N21 N24 desservent le quartier.
Origine du nom
Cette rue porte le nom du compositeur Édouard Colonne (1838-1910), le fondateur des célèbres Concerts Colonne, en raison de sa proximité avec le théâtre du Châtelet dans lequel le compositeur s'installa en résidence avec son orchestre[1].
Historique
Cette rue est percée lors de la construction du théâtre du Châtelet qui entraine la disparition de la rue de l'Arche-Pépin située légèrement plus à l'est[2],[3]. Elle prend le nom de la rue des Lavandières-Sainte-Opportune qu'elle prolonge. Par un arrêté du , le tronçon de cette rue compris entre le quai de la Mégisserie et l’avenue Victoria reçoit son nom actuel.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- L'arrière du théâtre du Châtelet.
Notes et références
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de Minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol. [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117), p. 468.
- Analyse diachronique de l'espace urbain parisien : approche géomatique (ALPAGE).
- Pascal Payen-Appenzeller, Hoffbauer, Illustrations de Paris à travers les âges, volume 1, planche VII [lire en ligne].
