Puits-la-Vallée

Puits-la-Vallée est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Puits-la-Vallée

Vue générale
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Dominique Gaudefroy
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60518
Démographie
Population
municipale
205 hab. (2018 )
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 59″ nord, 2° 11′ 37″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 183 m
Superficie 4,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Puits-la-Vallée
Géolocalisation sur la carte : Oise
Puits-la-Vallée
Géolocalisation sur la carte : France
Puits-la-Vallée
Géolocalisation sur la carte : France
Puits-la-Vallée

    Géographie

    Localisation

    Paysage du village.

    Puits-la-Vallée est un village rural du plateau picard. Son territoire comprend un plateau coupé de profondes vallées orientées sud-est. Le village est situé dans un creux de vallée.

    Puits-la-Vallée se situe à 3 km de Froissy,11 km de Breteuil , à 20 km de Beauvais et son aéroport de Beauvais-Tillé, à 42 km d'Amiens , à 108 km de Paris.

    Le territoire communal est limité à l'est par l'autoroute A16 (France), dont la sortie la plus proche est à Hardivillers. Il est desservi dans le sens nord-sud par la chaussée Brunehaut (RD 625) et est légèrement à l'écart de la RD 151 (Crèvecœur-le-Grand - Froissy).

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 721 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 14 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Puits-la-Vallée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,2 %), zones urbanisées (10,8 %), forêts (5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le village a été dénommé Puids, Fait, Puit, Puy-la-Vallée, Puis, Puitz, Puys, Puis des Maisons (Puteœ dans les titres ecclésiastiques)[21].

    Histoire

    La gare de Lachaussée-du-Bois-d'Écu - Puits-la-Vallée

    Le village est situé sur la chaussée Brunehaut, ancienne voie romaine reliant Beauvais à Amiens.

    Au début du XIIIe siècle, le village dépendait du prieuré de Wariville, tout comme Courlieu et Paillart[22].

    Louis Graves indique que « L'abbaye de Breteuil avait des domaines étendus dans cette commune comme dans la plupart des autres lieux du canton ; elle y avait même des esclaves au treizième siècle. On apprend par une charte du mois de que Hugues de Fransures, pour le remède de son âme et le soulagement de ses ancêtres, donna en aumône et en toute propriété à ce monastère, un certain Wallérius, de Puits, avec ses héritiers et toutes leurs appartenances, tant en maisons que terres, bestiaux et autres possessions[21] ».

    En 1469, la paroisse relevait de la prévôté de Montdidier[23].

    En 1757, Étienne Lecouteulx, devenu propriétaire de la terre de Puits-la-Vallée, y introduit la culture de la pomme de terre[24].

    La commune s'est formée de la réunion de deux anciens hameaux, Puits sur le plateau, La Vallée au fond du ravin principal[21].

    Au milieu du XIXe siècle, on notait au village une production de bas et de filature de laine, ainsi que deux moulins à vent et une carrière[21],[25].

    Le village était desservi de 1911 à 1953 par une station située entre Lachaussée-du-Bois-d'Écu et Puits-la-Vallée, sur la ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand, une ligne de chemin de fer secondaire à voie étroite du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise.

    Circonscriptions d'Ancien Régime

    Le village dépendant, dans l'ordre religieux, du diocèse de Beauvais, archidiaconé de Bray, doyenné de Montagne[21].

    Pour les administrations civiles et militaitaires, Puits-la-Forêt dépendait de l'élection de Montdidier, généralité d'Amiens

    Politique et administration

    La mairie.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Froissy[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[28], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[29].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[30], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [31].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1802 1803 Nicolas Roisin    
    1807 1808 M. Roisin    
    1812 1813 Pierre Antoine Roisin    
    1820   Pierre Étienne Lecouteulx    
    1846   Paul Étienne Lecouteulx    
    1849   Jacques François Lecouteulx    
    avant 1866   Jean-Baptise Judenne[33]   Propriétaire
    avant 1930   Arthur Dedreux    
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2005[34] M. Dominique Douay   Agriculteur
    Démissionnaire
    juin 2005[35],[36] En cours
    (au 17 juin 2020)
    M. Dominique Gaudefroy DVD[37] Agriculteur retraité
    Réélu pour le mandat 2020-2026,[38]

    Politique de développement durable

    La commune s'est dotée en 2018 d'un réseau d'assainissement collectif et d'une station d'épuration, qui permet de supprimer les dispositifs d'assainissement individuels antérieurs et de protéger la qualité des eaux de la Noye et du captage d'eau potable de Maisoncelle-Tuilerie.

    Cette installation a coûté 1,3 million d'euros, et a bénéficié d'aides du département, de l'Agence de l'eau Artois-Picardie et de la réserve parlementaire de Caroline Cayeux[39].

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

    En 2018, la commune comptait 205 habitants[Note 7], en stagnation par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    341358359304267278251270270
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    275265240235219217204201176
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    169151151129106110115114158
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    143131132125150195199206206
    2018 - - - - - - - -
    205--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune était relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (6,8 %) était en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune était supérieure à la population féminine (52,9 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était, en 2007, la suivante :

    • 52,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 27,5 %, 15 à 29 ans = 22 %, 30 à 44 ans = 27,5 %, 45 à 59 ans = 17,4 %, plus de 60 ans = 5,5 %) ;
    • 47,1 % de femmes (0 à 14 ans = 23,7 %, 15 à 29 ans = 16,5 %, 30 à 44 ans = 27,8 %, 45 à 59 ans = 23,7 %, plus de 60 ans = 8,3 %).
    Pyramide des âges à Puits-la-Vallée en 2007 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    0,9 
    75 à 89 ans
    3,1 
    4,6 
    60 à 74 ans
    5,2 
    17,4 
    45 à 59 ans
    23,7 
    27,5 
    30 à 44 ans
    27,8 
    22,0 
    15 à 29 ans
    16,5 
    27,5 
    0 à 14 ans
    23,7 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Loisirs

    Un terrain de football communal a été créé en 2002. Pour améliorer cet endroit, la commune a installé un tourniquet, un terrain de basket, une table de pique-nique et de petits jeux pour les plus jeunes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Prix[45] : portes de la sacristie peintes avec les portraits d'évêques et d'abbés. L'ensemble des fonts baptismaux en pierre datent du XIIe siècle, avec un décor d’étoiles et, aux angles, de masques humains surmontant des colonnettes, et des statues d'une Vierge à l'Enfant (XIVe siècle) et de saint Jean-Baptiste en bois (XVIe siècle) sont classés monuments historiques[46].
    • Vestiges d'un château-fort, face à l'église[47],[21].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Puits-la-Vallée et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Puits-la-Vallée et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Froissy, arrondissement de Clermont (Oise) : Extrait de l'Annuaire de 1832, 82 p. (lire en ligne), p. 24, 41-42, 78; sur Google Books.
    22. E de Lépinoy, « Recherches historiques et critiques sur l'ancien comté et les comtes de Clermont en Beauvoisis du XIe au XIIIe siècle : Chapitre VI : autres localités du comté comprises dans le rôle de 1306 », Mémoires de la société académique de l'Oise, t. IX, , p. 545 et suivantes, et notamment p. 592 (lire en ligne, consulté le ).
    23. Gaëtan de Witasse, Géographie historique du département de la Somme : état religieux, administratif et féodal des communes et de leurs dépendances, t. II, Abbeville, impr. de Lafosse, coll. « Mémoires de la Société d'émulation d'Abbeville », , 717 p. (lire en ligne), p. 328-332.
    24. H. Baumont, « Le département de l'Oise pendant la Révolution : l'année 1794 (fin) 1701 ̃») », Bulletin de la société d'études historiques & scientifiques de l'Oise, t. VI, no 3, , p. 155-231, et notamment 213 (lire en ligne, consulté le ).
    25. Adolphe Joanne, Dictionnaire géographique, administratif, postal, statistique, archéologique etc de la France, vol. 2, Paris, Librairie Hachette, (lire en ligne), p. 1850.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    28. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    29. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    30. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    31. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    32. « Les maires de Puits-la-Vallée », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    33. « Liste des membres du jury d'expropriation », dans Procès-verbal de la session du conseil général en 1866, Beauvais, Imprimerie de D. Père, (lire en ligne), p. 263.
    34. Philippe Créhange, « Le maire jette l'éponge », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « Il y a quelques semaines, le maire, Dominique Douay, a en effet annoncé en toute discrétion son souhait de vouloir abandonner son mandat de premier magistrat (...) Par ailleurs, Dominique Douay semble avoir de plus en plus de mal à concilier un travail qui lui prend beaucoup de temps - il est agriculteur - et une fonction de maire qui est tout aussi prenante ».
    35. Stéphanie Esparza, « Le maire cherche toujours un successeur », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Les 141 électeurs de la commune ont donc dû élire trois nouveaux conseillers municipaux la semaine dernière.Après deux heures de pourparlers, la séance du conseil municipal a donc été ajournée. Une nouvelle réunion pour désigner un maire pour Puits-la-Vallée se tiendra vendredi prochain à 19 h 30 ».
    36. « Enfin un nouveau maire ! », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « C'est fait ! Dominique Gaudefroy, 55 ans, a été élu maire de Puits-la-Vallée vendredi soir. Il aura fallu deux tours d'une élection complémentaire et deux conseils municipaux pour que la commune de deux cents habitants retrouve un premier magistrat, après la démission de Dominique Douay ».
    37. « Extrait de la fiche de M. Dominique Gaudefroy », sur http://www.lesbiographies.com, (consulté le ).
    38. « Dominique Gaudefroy réélu maire de la commune », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3607, , p. 27.
    39. « Confort accru : 70 % des habitants déjà reliés à la nouvelle station d'épuration : vendredi après-midi, la municipalité a inauguré sa toute nouvelle station plantée de roseaux. Un investissement pour un confort accru et une garantie écologique », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3616, , p. 21.
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. « Évolution et structure de la population à Puits-la-Vallée en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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    45. Dominique Vermand, « Puits-la-Vallée, église Notre-Dame et Saint-Prix », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
    46. Les objets classés de l'église Saint-Prix sur la base Palissy
    47. Daniel Delattre (préf. Jean-François Mancel), L'Oise : Les 693 communes, Grandvilliers, Editions Delattre, , 316 p., p. 232.
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