Prix Goya du premier roman

Le prix Goya du premier roman est un prix littéraire français décerné par les élèves de la cité scolaire Borde-Basse à Castres. Il a été créé en 1990 avec l'appui de Claude Rossignol, professeur de lettres et de français au lycée de La Borde-Basse de Castres[1].

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Le nom a été choisi par référence au musée Goya de la ville de Castres.

Les élèves du lycée général et technologique et ceux du lycée professionnel déterminent eux-mêmes leur sélection (premiers romans parus dans l’année), désignent librement leur lauréat par un vote après de multiples débats. Ils organisent eux-mêmes la cérémonie de remise du prix. En cela, ils sont aidés par une équipe d’animation formée de professeurs, de documentalistes, de conseillers d’éducation et de libraires de Castres, qui se mettent à leur service pour faciliter les contacts et les démarches.

L'objectif principal de ce prix est de (re)donner le goût de la lecture aux jeunes.

Le prix est censuré en 1999 pour le livre de Karin Bernfeld, Apologie de la passivité[2]; les élèves ont protesté : Touche pas à mon prix Goya[3] et avec succes : Karin Bernfeld a obtenu son prix.


Claude Rossignol, l'initiateur du prix, a écrit un livre sur ce prix: Longue vie au Prix Goya., Ed. la Brochure, 2008.

Lauréats du prix Goya du premier roman

Lauréats du prix Goya Découverte

Depuis 1996 a été créé le prix Goya découverte, décerné par des élèves de CM1 et CM2.

Notes et références

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