Plestan

Plestan [pletɑ̃] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Plestan

Mairie de Plestan.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Lamballe Terre et Mer
Maire
Mandat
Claudine Aillet
2020-2026
Code postal 22640
Code commune 22193
Démographie
Population
municipale
1 610 hab. (2018 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 28″ nord, 2° 26′ 44″ ouest
Altitude Min. 55 m
Max. 142 m
Superficie 32,81 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Plénée-Jugon
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Plestan
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Plestan
Géolocalisation sur la carte : France
Plestan
Géolocalisation sur la carte : France
Plestan
Liens
Site web https://www.plestan.bzh/

    La commune fait partie du canton de Plénée-Jugon regroupant six communes : Jugon-les-Lacs, Plénée-Jugon, Dolo, Plédéliac, Tramain et Plestan.

    Les habitants de la commune sont appelés Plestanais.

    Géographie

    La commune de Plestan, également connue sous le nom Plestan-sur-Gast (du nom d’une rivière), se situe dans les anciennes terres des seigneurs du Penthièvre. La situation géographique de cette commune est de loin son atout essentiel.

    Cette commune est traversée par le Gouessant. Elle se trouve à proximité des grandes villes des Côtes-d'Armor (Lamballe (10 km), Saint-Brieuc (30 km), Dinan (35 km), Moncontour (25 km), Loudéac (70 km), Guingamp (65 km), Lannion (95 km), Rostrenen (85 km)) mais aussi des villes bretonnes (Rennes (70 km), Brest (170 km), ou encore Vannes (130 km)).

    Sa proximité avec la Nationale 12 (Rennes-Brest) joue en sa faveur quant à un peuplement en hausse depuis ces dernières années. Le nombre de services offerts a également augmenté.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 11,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 734 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Quintenic », sur la commune de Quintenic, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 743,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Plestan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), forêts (8,5 %), prairies (5,3 %), zones urbanisées (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Plestan en 1198 et en 1230, Plesten en 1231, Pleten en 1232, Parochia de Plesten en 1255, Ecclesia de Plostan vers 1330, Plestan en 1427[21].

    Plestan vient du breton plou (paroisse) et de Justan (saint nommé Lestan)[21].

    Histoire

    Antiquité

    Au XIXe siècle, une tête de statue antique ainsi que des monnaies du Bas-Empire sont découvertes près du village de Chauchix, ce qui tend à prouver que le site était occupé dès l’Antiquité. D’ailleurs le bourg était situé le long de la voie pavée romaine qui reliait Caulnes à la baie de Saint-Brieuc.

    Temps modernes

    Église de Plestan.

    Les monuments les plus anciens sont l’église Saint-Pierre ou le manoir de Gardisseul remontant au XVIe siècle. Les XVIIe et XVIIIe siècles marquent une période de grande prospérité propice à la construction de nombreux manoirs sur cette commune proche de Lamballe.

    Les guerres du XXe siècle

    Le monument aux Morts porte les noms de 134 soldats morts pour la Patrie[22] :

    • 115 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
    • 16 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
    • 1 est mort durant la Guerre d'Algérie.
    • 1 est mort durant la Guerre d'Indochine.
    • 1 est mort hors conflit.

    La Deuxième Guerre mondiale : les Martyrs du Bois de Boudan

    Le , 31 otages[23] sont arrêtés par les SS et la Milice de Vichy puis fusillés par l'armée allemande dans le bois de Boudan[24]. Ils furent enterrés sur place, le charnier fut découvert par la suite. Des clichés (retirages photographiques) de ce charnier sont visibles dans l'exposition permanente du musée de Bretagne à Rennes dans la partie « L'entaille des deux guerres mondiales ». La plupart étaient des résistants des régions de Duault, Callac et Saint-Nicolas-du-Pélem[25].

    Sous le titre Les trente et un assassinats du Bois de Boudan, Éric Rondel fait le récit détaillé, dans son livre Crimes nazis en Bretagne, de ces exécutions[26].

    Le le général De Gaulle vint à Plestan se recueillir devant les tombes des résistants et saluer leurs familles[27].

    Légendes populaires

    Il existe une légende selon laquelle un tonneau rempli d’or (ou un chariot minier) serait enfoui dans un champ (ou dans le Bois de Boudan) et ressortirait tous les aux alentours de minuit. Avis aux chasseurs de trésor...

    Une autre légende évoque l’histoire des « moines rouges » dits aussi « moines sanglants ». Leur monastère serait dans les hauteurs du lieu-dit Le Chauchix, plus précisément dans les Landes. Un bénitier datant du XIVe siècle y a été retrouvé. Mais le peu de recherches effectuées sont la cause du manque d’informations dont nous disposons actuellement.

    À noter qu’en breton, moine rouge (manac'h ruz) désigne un templier.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ???  ??? Guillaume GORVEL SE  
    1971 1977 Henri Badouard SE  
    1977 2001 Eugène Besnard (fils) SE  
    2001 2014 Daniel Moisan DVD Chef d'entreprise
    2014 23 mai 2020 Jean-Pierre Carlo DVD[28] Agriculteur
    23 mai 2020 En cours Claudine Aillet[29]   Employée agroalimentaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2018, la commune comptait 1 610 habitants[Note 6], en augmentation de 4,75 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,42 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7341 7101 7402 1341 9351 9171 7182 1182 151
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1172 0402 0471 9512 0032 0232 0451 9801 944
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8521 8761 8641 6281 5701 5601 5051 5061 380
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 3801 3171 2331 2451 3061 3961 5081 5241 540
    2013 2018 - - - - - - -
    1 5371 610-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux, monuments, patrimoine architectural

    Croix du Coudraix.
    • Croix de chemin du Coudraix (l’une des 3 croix de chemin) que compte Plestan. On peut y voir dessus un blason représentant des armes non identifiées à ce jour (mi partie fleur de lis et 4 fasces). Il s’agit d’une croix monolithe sur socle.
    • Monument aux Morts sur la place du bourg de Plestan.
    • Parc éolien ouvert au début de 2007.
    Château du Val.
    • Château du Val : château mentionné au XVe siècle, construit au XVIIe siècle, partiellement conservé (tour d’escalier), reconstruit au XVIIIe siècle. La chapelle date du XVIIe siècle. Le colombier est détruit.
    • Cimetière des Martyrs : Cimetière militaire, contenant 31 tombes de résistants morts le . Le cimetière contient un monument en granite exécuté par Charpentier de Lamballe (signature). Inscription : « L'an 1944 le 13 juin ici sont tombés 31 patriotes victimes de la barbarie nazie. ».
    • Manoir des Salles : Date du XVIIe siècle
    Manoir du Grand Gardisseul.
    • Manoir du Grand Gardisseul : Manoir mentionné en 1423 à la famille Hingant, construit vers 1500 pour les Hingant ou pour Roland James, propriétaire vers 1500. Le manoir porte la marque de plusieurs étapes de construction (changement d’appareil, baies murées). L’escalier, de type à retours sans jour, date des années 1500. Remaniement au cours de la deuxième moitié du XVIe siècle dont une cheminée de l’étage de style Renaissance, pour les Forsanz. En 1554, Gaillard de Forsanz est autorisé à construire une chapelle en son manoir. Les parties agricoles datent du XVIIe siècle. Déclassé en ferme, le manoir est délaissé au début du XVIIIe siècle et passe entre plusieurs mains dont les La Moussaye de Carcouët. En mauvais état au cours du XXe siècle. Réhabilitation en cours en 1998 (partie droite du logis).
    Cimetière des martyrs.
    • Église Saint-Pierre : l’église (du XVe siècle), restaurée aux XVIIIe, XIXe et XXe siècles.
    L'église Saint-Pierre.
    • Château du Carcouët.
    Manoir de la Moussaye.
    • Manoir (ou villa) de la Moussaye : château en forme de maison bourgeoise construit au début du XXe siècle pour le colonel Polloc'k Gore, neveu et héritier de la femme d’Alexandre de La Moussaye, sur l’emplacement des jardins de l’ancien château de Carcouët en ruine. Remploi au portail de la demeure de blasons provenant du château de Carcouët (alliance La Moussaye-Rolland et Saint-Denoual). Les La Moussaye de Carcouët sont liés aux La Moussaye de Plénée-Jugon.
    Croix.
    • On peut citer aussi le manoir de la Touche-aux-Provost, le manoir du Créhu ainsi que celui de la Chèze.
    • La Croix au pied de l’église, du XVe siècle, est classée monument historique. Elle est ornée de sculptures et le socle évoque les symboles des Evangélistes.

    Événements culturels

    Plan d'eau d'Hillion.
    • La fête de Plestan se déroule tous les ans le et rassemble tous ses habitants et ceux des communes alentour en masse[réf. nécessaire] : spectacles, musiques, danses et feux d'artifice sont au programme ! Elle se déroule au plan d'eau de Hillion.
    • La cérémonie d’hommage aux 31 martyrs du Bois de Boudan, chaque année le dimanche environnant le . La cérémonie est ponctuée de discours d’anciens combattants, d’un dépôt de gerbe et d’un chant de la part des enfants de la commune.
    • Les randonnées de septembre (deuxième dimanche) : piétonnes, équestres et quads, au départ du plan d'eau communal (dit d'Hillion) et suivies d'un repas.
    • Les courses cyclistes empruntent un circuit qui parcourt la commune, ses routes et ses villages.
    • Les deux écoles organisent chacune leur kermesse, mêlant jeux pour les enfants et danses de la part de ces écoliers.
    • La « Randonnée du Muguet » anciennement appelée « Randonnée Jeannine » (on pense que c'est une Jeannine qui en est l'instigatrice) est une balade à vélo et à pieds dans les rues de Plestan même et dans sa campagne. Derrière une voiture guide, le 1er mai de chaque année, la population, après s'être réunie au terrain des sports de la commune, part sillonner le pays plestanais. Tout cela est suivi d'un pot de l'amitié.

    Vie associative

    • Football Club US Hunaudaye (l'équipe 1 évolue en D2, la 2 en D3, le club a évolué en PH (niveau ligue) durant 2 ans à la fin des années 2000)
    • Club des jeunes
    • Club de la 3e Jeunesse
    • Activités au sein du canton durant les vacances scolaires, pour les jeunes
    • Concours de boules
    • Pêche au plan d'eau communal d'Hillion sous l'égide de "La Gaule Lamballaise"

    Galerie

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Quintenic - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Plestan et Quintenic », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Quintenic - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Plestan et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de plestan ».
    22. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    23. Memorialgenweb.org - Plestan : Champ des Martyrs du bois de Boudan
    24. Julian Jackson, La France sous l’Occupation, 1940-1944, Paris, Flammarion, 2004, (1re édition : 2001), (ISBN 978-2-0813-0809-1), p. 674.
    25. http://fr.topic-topos.com/cimetiere-des-martyrs-plestan
    26. Éric Rondel, "Crimes nazis en Bretagne (septembre 1941-août 1944)", éditions Astoure, 2012, (ISBN 978-2-36428-032-8).
    27. Philippe Camby," La Libération de la Bretagne", éditions Ouest-France, 1980.
    28. « Résultats municipales 2020 à Plestan », sur lemonde.fr (consulté le ).
    29. « Municipales à Plestan. Claudine Aillet est devenue l’édile de la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

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