Plaisance (Dordogne)

Plaisance est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Plaisance.

Plaisance

Vignes et bourg d'Eyrenville, à Plaisance.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Sud Périgord
Maire
Mandat
Christine Chapotard
2020-2026
Code postal 24560
Code commune 24168
Démographie
Gentilé Plaisanciers
Population
municipale
432 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 42′ 21″ nord, 0° 33′ 48″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 157 m
Superficie 24,75 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Bergeracois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Plaisance
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Plaisance
Géolocalisation sur la carte : France
Plaisance
Géolocalisation sur la carte : France
Plaisance
Liens
Site web plaisance24.com

    Elle a été créée en 1973 par la fusion des trois communes de Falgueyrat, Mandacou et Eyrenville, cette dernière devenant le chef-lieu de Plaisance.

    Géographie

    En provenance de Villeneuve-sur-Lot ou d'Agen, Plaisance est la première commune de Dordogne que l'on traverse lorsqu'on se dirige vers Bergerac par la route nationale 21.

    Au sud de la commune, le Dropt fait la limite avec le département voisin de Lot-et-Garonne.

    Communes limitrophes

    Plaisance est limitrophe de neuf communes dont trois dans le département de Lot-et-Garonne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 825 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douzains », sur la commune de Douzains, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 757,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 17 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Plaisance est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), zones agricoles hétérogènes (23,1 %), forêts (6,3 %), prairies (4,7 %), mines, décharges et chantiers (1,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2015 pour le Dropt  qui borde la commune au sud  à Plaisance, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant dépasser 650 mètres à l'ouest du lieu-dit le Parc[20],[21].

    Toponymie

    Le nom de Plaisance n'est attesté qu'au XIXe siècle pour un hameau de la commune[22]. C'est ce nom qui est repris en 1973 pour désigner la nouvelle commune issue de la fusion de trois autres. Il peut correspondre à une demeure agréable ou à un lieu bien situé[22].

    En occitan, la commune porte le nom de Plasença[23].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Le nom de Plaisance n'est que celui d'un hameau, sur la route nationale 21, où est implantée la mairie de la commune.

    Les toponymes communaux sont ceux des trois anciennes communes  : Eyrenville, Falgueyrat et Mandacou.

    Histoire

    Par arrêté préfectoral du , les communes de Falgueyrat, Eyrenville et Mandacou s'associent au en fusion-association sous le nom de Plaisance. Le chef-lieu de commune est alors fixé à Eyrenville[24].

    La fusion-association, sorte d'intercommunalité avant l'heure, est un régime juridique qui permet théoriquement à chaque commune associée :

    • de conserver une section électorale distincte ;
    • de conserver un maire-délégué par commune ;
    • de conserver une mairie annexe ;
    • de tenir son propre registre d'état-civil ;
    • de fixer son propre taux pour les quatre taxes de base (taxe foncière, taxe foncier non bâti, taxe d'habitation, taxe professionnelle) ;
    • de créer une commission consultative par commune (composée des membres de la commune élus au conseil municipal et d’habitants désignés et/ou volontaires).

    Le conseil municipal issu des élections du a considéré que cette fusion-association, bien ancrée dans le quotidien des trois communes associées, avait évolué dans les faits vers le régime juridique de la fusion simple :

    • une seule mairie, sise au lieu-dit Plaisance ; aucune mairie annexe ;
    • un seul registre d’état-civil ;
    • le taux de chacune des quatre taxes unifié sur l’ensemble des trois communes associées ;
    • aucune commission consultative.

    Ne subsistait alors que le sectionnement électoral et la pittoresque tradition des trois urnes dans le bureau de vote.

    Ce constat étant fait, l'équipe municipale a engagé une démarche de fusion simple auprès des autorités préfectorales. Les habitants de Falgueyrat et de Mandacou ont été consultés par référendum le , tandis que ceux d'Eyrenville, déjà chef-lieu de la fusion-association, n'ont pas voté[25].

    Avec 32 votes favorables sur 37 exprimés à Falgueyrat et 76 sur 84 à Mandacou, la fusion simple est entérinée et prend effet le [26].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1989 mars 2008 Jean Pitou    
    mars 2008 mars 2014 Huguette Thomassin SE[29] Retraitée agricole
    mars 2014
    (réélue en mai 2020)
    En cours Christine Chapotard[30]    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Plaisance relève[31] :

    Démographie

    Jusqu'en 1972, les trois communes d'Eyrenville, Falgueyrat et Mandacou étaient indépendantes. Leur regroupement a donné naissance à la commune de Plaisance au .

    Les habitants de Plaisance se nomment les Plaisanciers[32].

    Après la fusion-association des communes

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

    En 2018, la commune comptait 432 habitants[Note 6], en diminution de 1,37 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    421406392410469444426432
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[37], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 198 personnes, soit 46,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (31) a augmenté par rapport à 2010 (22) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-quatre établissements[38], dont trente au niveau des commerces, transports ou services, seize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, neuf dans la construction, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Ernest Esclangon (1876-1954), astronome et mathématicien français, inventeur de l'horloge parlante, a fini sa vie à Eyrenville (Plaisance).

    Michel Jeury, écrivain né en 1934, y a écrit son roman phare, Le Temps incertain (Grand prix de la science-fiction 1974), commencé à Florensac (Falgueyrat) et terminé à la Grèze (Eyrenville).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Douzains - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Plaisance et Douzains », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Douzains - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Plaisance et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. PPR inondation - 24DDT20130001 - Dropt, DREAL Aquitaine, consulté le 15 avril 2019.
    21. [PDF] Rivière le Dropt - Plaisance - Plan de prévention du risque inondation, p. 2, DREAL Aquitaine, consulté le 15 avril 2019.
    22. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 269-270.
    23. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 25 février 2014.
    24. Code officiel géographique de Plaisance sur le site de l'Insee, consulté le 8 février 2013.
    25. Jacky Beney, L'heure de s'exprimer sur la fusion simple, journal Sud Ouest édition Périgueux du 16 décembre 2009
    26. Arrêté préfectoral n° 100316 (page 14). Consulté le 7 mars 2010.
    27. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.
    28. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.
    29. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 10.
    30. Jacky Beney, De nouveaux élus, Sud Ouest édition Périgueux du 31 mars 2014, p. 30.
    31. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    32. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 26 novembre 2016.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Dossier complet - Commune de Plaisance (24168) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 10 octobre 2018.
    38. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    39. Dossier complet - Commune de Plaisance (24168) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 10 octobre 2018.
    40. Site du château de la Grèze
    41. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 175-176.
    42. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 395-396.
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