Péaule

Péaule [peol] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne. La commune de Péaule fait partie du canton de Questembert et dépend de l'arrondissement de Vannes.

Péaule

Entrée du doyenné.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité Communauté de communes Arc Sud Bretagne
Maire
Mandat
Jean-François Bréger
2020-2026
Code postal 56130
Code commune 56153
Démographie
Gentilé Péaulais, Péaulaise
Population
municipale
2 708 hab. (2018 )
Densité 69 hab./km2
Population
agglomération
14 875 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 34′ 57″ nord, 2° 21′ 18″ ouest
Altitude 80 m
Min. 0 m
Max. 92 m
Superficie 39,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Muzillac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Péaule
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Péaule
Géolocalisation sur la carte : France
Péaule
Géolocalisation sur la carte : France
Péaule

    Géographie

    Localisation

    Limerzel Caden
    Le Guerno N Béganne
    O    Péaule    E
    S
    Marzan Nivillac

    Péaule est une petite commune de 2 516 habitants qui se situe au sud-est du Morbihan (Bretagne). Son territoire est bordé en grande partie à l'est par le cours de la Vilaine. Au XIVe siècle, les seigneurs de Rochefort tentent d'établir un passage entre le village de Port-er-Gerbes en Nivillac et Peaule mais ils se heurtent à l'opposition des moines de l'abbaye de Prières qui craignent la concurrence pour leurs propres péages[1]. C'est à proximité de ce passage que le ruisseau de Trévelo se jette dans la Vilaine, il limite le territoire communal avec sa vallée en auge où il divague, bordé d'un escarpement qui crée des paysages pittoresques.

    Communes les plus proches :

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 859 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Arzal », sur la commune d'Arzal, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 837,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 29 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[12] à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Péaule est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,5 %), zones agricoles hétérogènes (30,4 %), forêts (20,3 %), prairies (13,3 %), zones urbanisées (3,4 %), eaux continentales[Note 5] (1,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Les sources écrites mentionnent les formes anciennes suivantes : « Plebe que dicitur Gablah » ; Plebs Gablah ; Plebs Gavele dans la charte CCLX du cartulaire de Redon 876 et 1008 ; Pleaule dans un acte du Chapitre de Vannes en 1387 ; Plœaule ou Plaule dans le procès de canonisation de saint Vincent Ferrier en 1454[21] ; Plegauele, Pléausle en 1481 ; Ploeaulle en 1427 et en 1464 ; Peaulle en 1477 ; Pliaulle en 1536.

    Pour Ernest Nègre, qui ne connaissait pas le breton, ce toponyme serait issu du vieux breton Ploiv-, Ploev- « église paroissiale » > toponymes en Pleu- / Plou- / Plé- / Plo-, etc. et du breton, gablau « fourche », Ce qui pourrait signifier « église paroissiale de la bifurcation »[22].

    Histoire

    Plusieurs découvertes témoignent d'une occupation à l'époque laténienne et gallo-romaine. Un oppidum gaulois[23], près du village du Château, était relié au bourg actuel par une voie, passant à proximité de Kervidais, où ont été retrouvées des meules, et par Kermoué où les vestiges sont nombreux. Un peu au nord de cet axe, les fondations d'une construction avec hypocauste existaient au XIXe siècle[24]. Une autre voie traversait le bourg et reliait Limerzel au château de l'Isle en Marzan.

    Cette ancienne paroisse primitive englobait, semble-t-il, le territoire de Limerzel. Jusqu'en 1790, elle a été le siège de l'un des neuf doyennés de l'évêché de Vannes qui regroupait quinze paroisses, puis seize avec le rattachement de Molac au XVIe siècle. Jusqu'au XVIIe siècle, au moins, elle abrite aussi une léproserie, appelée la Corderie, lieu d'habitation des lépreux, placé directement sous la dépendance de l'évêque de Vannes[25].

    Depuis le XIIIe siècle, Péaule appartient à la seigneurie de Rochefort. Cependant, y sont enclavés plusieurs fiefs importants qui relèvent directement du duc de Bretagne, puis du roi[26]. Péaule dépend, en 1677, du fief de René Eustache de Lys. De 1790 à 1801, Péaule devient chef-lieu de canton avec Noyal, Marzan et Le Guerno comme dépendances. Après le débarquement manqué d'émigrés à Quiberon en , 22 chouans originaires de la paroisse de Péaule sont exécutés.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? mars 1983 Henri Deux   Réélu en 1977
    mars 1983 mars 1999[27]
    (décès)
    Joseph Deux
    (frère du précédent)
    SE Retraité de la Marine
    Réélu en 1989 et 1995
    mai 1999 mars 2001 Martine Jéhanno    
    mars 2001 mars 2008 Gilbert Magrez    
    mars 2008
    Réélu en 2014
    27 mai 2020 Christian Droual DVG Enseignant retraité
    27 mai 2020 En cours Jean-François Bréger[28] DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

    En 2018, la commune comptait 2 708 habitants[Note 6], en augmentation de 5,58 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2404 0002 3302 2872 2772 3292 2422 4532 463
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3332 3002 4002 4882 4852 4882 4832 4532 480
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 4472 4752 4572 3002 3252 2572 2472 2462 092
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 0341 9431 9172 1382 1882 2062 4262 4582 503
    2017 2018 - - - - - - -
    2 6822 708-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Carrière de pierre Men Arvor.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Gaudence ou Saint-Gaudens (XVIe siècle puis XIXe au XXe siècles), reconstruite par l'architecte Joseph Caubert en 1905 et consacrée par l’évêque de Vannes Alcime-Armand-Pierre-Henri Gouraud en 1906. Le clocher, commencé avant la Première Guerre mondiale, est achevé en 1919.
    • La chapelle Saint-Cornély (1872), réédifiée par l'abbé Briand.
    • La chapelle Saint-André, reconstruite au début du XIXe siècle près du pont de l'Etier.
    • La chapelle Saint-Michel (1860)
    • L'ancienne chapelle Saint-Leufroy.
    • L'ancienne chapelle Saint-Jean-Baptiste, édifiée au XVe siècle
    • La croix de Bellon (XVIe siècle)
    • La croix située au lieu-dit le Temple.
    • Le calvaire (XXe siècle) situé au carrefour des routes de Marzan et de Villeneuve.
    • Le château de Fescal (1760). L'abbé Berto y installa un orphelinat de 1939 jusqu'à la fin des années 1950 avant de pouvoir acheter la propriété de Pont-Callec en Cornouaille morbihannaise. Cette œuvre a donné naissance aux Dominicaines du Saint-Esprit.
    • Le Vieux Doyenné (XVe au XVIe siècles). Cet édifice sert de presbytère jusqu’en 1912. La cheminée, avec inscription de 1534, est inscrite aux monuments historiques par arrêté du . Les façades et toitures de l'ensemble des bâtiments, y compris la porte Nord de l'enceinte et le colombier sont inscrites par arrêté du [33] (propriété privée, ne se visite pas).
    • Le manoir de la Salle, situé dans un parc boisé sur la rive droite du Trévelo, près du lieu-dit le Poteau. Propriété du vicomte Guy de Mentque.
    • Le manoir de la Cour de Couéguel, situé route de Questembert.
    • Le manoir de Bellon (XVIe-XVIIe siècle), propriété de la famille Commelin (au XVIe siècle).
    • La fontaine Saint-André, dédiée à sainte Barbe.
    • La tombe de Carapibo (XVIIe siècle).
    • La maison de prêtre de Kerubeau (1623). Sur le linteau de la "bouline" on lit : "fait faire par Yves Martin prêtre". À l'étage riche lucarne sculptéee Renaissance aux deux chérubins.
    • Les moulins à eau de Coëtguel, de Tilhouet, de Lescuit et le moulin à vent de Poulhos.

    À signaler aussi :

    • Le camp romain situé au village du Château.
    • Le four à pain de Belon (1902).
    • La forge de Poulho.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. J. André et P. Thomas Lacroix, Les grands itinéraires de la Bretagne méridionale
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Arzal - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Péaule et Arzal », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Arzal - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Péaule et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Abbé Luco, Péaule, Bulletin de la Société polymathique du Morbihan, p. 96, 1879.
    22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, 1996, vol. 2, p. 1042.
    23. Yann Dufay-Garel, Sébastien Daré, Thibaut Peres et Alain Triste, « Recherches sur deux habitats groupés de la cité des Vénètes à la fin de l’âge du Fer (iie-ier siècle av. J.-C.) : les sites de Kerf », Revue archéologique de l'Ouest, no 35, , p. 173–198 (ISSN 0767-709X et 1775-3732, DOI 10.4000/rao.5314, lire en ligne, consulté le )
    24. Louis Marsille, Répertoire archéologique du Morbihan gallo-romain, p. 30.
    25. ibid., p. 159;
    26. Louis Arthur Le Moyne de la Borderie, 1855, Mélanges d'histoire et d'archéologie bretonnes, p. 99.
    27. « Nécrologie. Mort de Joseph Deux, 63 ans, maire de Péaule », Ouest-France, .
    28. « Peaule. Jean-François Bréger élu maire », sur Les Infos du pays gallo, (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Notice no PA00091471, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Liens externes

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