Oysonville

Oysonville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, région Centre-Val de Loire. Oysonville appartient au canton d'Auneau et à l'arrondissement de Chartres. Ses habitants sont appelés les Oysonvillois ; au dernier recensement de 2018, ils étaient 524.

Oysonville

L'église Saint-Pierre et Saint-Paul d'Oysonville.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Beauce
Maire
Mandat
Florence Héron
2020-2026
Code postal 28700
Code commune 28294
Démographie
Gentilé Oysonvillois
Population
municipale
524 hab. (2018 */)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 40″ nord, 1° 57′ 17″ est
Altitude Min. 143 m
Max. 154 m
Superficie 9,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auneau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Oysonville
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
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Oysonville
Liens
Site web mairie-oysonville.over-blog.com

    Géographie

    Situation

    Oysonville est une commune appartenant à la plaine de la Beauce. La superficie est de 9,6 km2. Oysonville porte le code Insee 28294 et est associée au code postal 28700. Elle se situe géographiquement à une altitude de 150 mètres environ.

    Communes et département limitrophes

    Communes limitrophes d’Oysonville
    Sainville Saint-Escobille (Essonne) Mérobert (Essonne)
    Vierville Congerville-Thionville (Essonne)
    Orlu Gommerville Congerville-Thionville (Essonne)

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 645 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Congerville-Th. », sur la commune de Congerville-Thionville, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 634,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Oysonville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,7 %), zones urbanisées (3,7 %), forêts (2,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Osenvilla au XIIe siècle[21].

    Histoire

    Des outils d'hommes préhistoriques (silex) et des objets gallo-romains (morceaux d'amphores, de tuiles et des monnaies) ont été retrouvés sur les terres avoisinant le village. Château fort avec sa basse cour et son donjon. Certainement construit sur une motte féodale.

    Baudoin, fils de Baudoin de Beauvais, est seigneur d'un fief à Oysonville du chef de sa femme Aveline d’Étampes, vers 1138[22]. Au XIIIe siècle, l’héritage revient à Péronnelle de Corbeil, fille de Baudoin VIII et de Marguerite de Vienne.

    La terre d'Oysonville entre dans la famille d'Allonville par le premier mariage de Charles d'Allonville, maître d'hôtel du roi Louis XI, avec la petite-fille d'Adam de Crosnes, seigneur d'Oysonville en 1386, Marguerite de Crosnes[23].

    La baronnie d'Oysonville appartient à Paul Le Prevost (1606-1679), capitaine de la compagnie des chevau-légers de Richelieu et ambassadeur en Saxe. Louis XIV lui érige cette terre en marquisat, par lettres-patentes données à saint-Germain-en-Laye en [24], pour le remercier des services rendus à lui-même et à son père Louis XIII. François-Bernard Briçonnet (†1688), lieutenant des chasses de Saint-Germain et de Versailles, marié à Françoise (†1702), fille et héritière de Paul Le Prevost, devient marquis d'Oysonville[25]. Leur petite-fille Geneviève-Claude Briçonnet (†1793), marquise d'Oysonville en 1773, avait épousé André-René du Pont d'Aubevoye (1707-1755)), marquis de la Roussiere, famille où la terre restera jusqu'à ce qu'elle passe par alliance dans la famille Odart de Rilly[26].

    Le château actuel

    Au XVe siècle, François d'Allonville, débute la reconstruction du château, préalablement brûlé par les Anglais. Au début du règne d'Henri IV, il est achevé par son fils François d'Allonville, avec quelques modifications.

    Au XVIIIe siècle, le seigneur des lieux, le marquis Paul-Guy Briçonnet, mort à la bataille de Parme en 1734, y fait de nombreux travaux.

    Ce n'est que vers 1835, que Théodore du Pont d'Aubevoye (1784-1862), commandant du vaisseau Superbe en 1833, l'adapte à la vie moderne par de gros travaux[26]. Acquis par les Nouvelles Messageries de la Presse Parisienne, il abritera à partir de 1949-1950 jusque dans les années 1980 un des centres de colonie de vacances pour les enfants des employés de cette société et abritera à ce moment plusieurs fois des formations dispensées par des associations d'Education Populaire (CEMEA, FRANCA, UFCV).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Jacques Callens    
    Mars 2008 Juillet 2020 René Dauvilliers SE Agriculteur retraité
    Juillet 2020 En cours Florence Héron    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2018, la commune comptait 524 habitants[Note 7], en augmentation de 2,75 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,22 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    530547528548554521475502464
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    462465431405410417423437432
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    412384433362324380335338325
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    362318325441485471491498519
    2018 - - - - - - - -
    524--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Oysonville a une évolution démographique générale positive. 274 habitants en 1962, les Oysonvillois sont 501 en 2010. Après une forte croissance entre le milieu des années 1970 et le milieu des années 1980, coïncidant avec l'installation de couples issus de la génération du baby-boom, la population s'est quelque peu stabilisée au cours des années 1990 et au début des années 2000.

    Manifestations culturelles et festivités

    L'association Oysonvilloise « l'Atelier des Fleurs du Calvaire » anime le village et la région par un spectacle historique « son et lumière de nuit » avec comme fil conducteur des personnages ayant marqué la Beauce. Henry IV, un village à l'heure allemande, etc. Elle a joué Beau François le célèbre chef de la bande d'0rgères dans une ferme à Pussay (Essonne) en et 2011.

    En 2011 :

    • elle participe aux journées du patrimoine en offrant un après-midi à thème intitulé « visite en blason », suivi d'un repas campagnard ;
    • elle a visité la Picardie « sur les traces de Vincent de Paul » et regardé le son et lumière d'Ailly-sur-Noye ;
    • en 2012, elle préparait un nouveau spectacle la Ferme de la Pierre Levée (des Histoires en Pays d’Étampes).

    Économie

    Les Gargouilles

    En 2011, quatre turbines Enercon E82/2300, d'une puissance de 2,3 MW chacune, sont mises en service par Futuren, développant une puissance nominale totale de 9,2 MW[31].

    Les Vingt Setiers

    Cinq autres turbines identiques sont mises en service, en juin et , sur les communes d'Oysonville (4 turbines) et de Gommerville (1 turbine) par Futuren, totalisant une puissance de 11,5 MW[31].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Pierre et Saint-Paul est jouxtée par le château et son parc. Elle recèle des trésors du patrimoine (lambris de revêtement du XVIIIe siècle, retable de l'autel Saint-André du XVIIe siècle, plusieurs dalles funéraires dont celle d'Adam d'Écrosnes et d'Agnès le Morhier datant du XVe siècle).

    On compte trois croix des chemins, ayant pour vocation de symboliser l'acte de foi de la communauté, de guider le voyageur, de le protéger de l'inconnu et des mauvaises rencontres. Une mariette dite « la Bonne Vierge » se situe à quelques centaines de mètres de l'entrée du village sur les bords de la route départementale en direction de Congerville.

    Le parc communal du Calvaire, du nom de la colline (aussi appelée Golgotha) à l'extérieur de Jérusalem sur laquelle Jésus de Nazareth fut crucifié, est un ancien lieu de culte voué à la Vierge, à la suite du vœu de Louis XIII consacrant la France à la Vierge Marie le , après la grossesse de son épouse Anne d'Autriche. Il comporte une butte de terre sur laquelle domine un monticule de pierres fixant Jésus sur une croix de bois. L'enceinte du parc est ornée de différentes plaques figurant les diverses étapes du chemin de croix effectué par le Christ.

    Après avoir longtemps été la demeure du prêtre, du curé de l'église paroissiale, le presbytère n'a aujourd'hui plus sa vocation religieuse.

    Le village, comme tant d'autres à travers la France, possède un monument aux morts, dédié aux combattants oysonvillois de la Première (1914-1918) et de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945). Celui-ci est érigé sur un ancien cimetière du XVIe siècle.

    La mairie-école date de l'époque de Jules Ferry, ministre de l'Instruction publique dans les années 1880 sous la IIIe République. Elle comporte un logement de fonction, autrefois réservé aux instituteurs du village.

    La commune comporte également un terrain de loisirs (boulodrome, courts de tennis, panier de basket, pelouse pour ballon rond), baptisé en 2007 « Stade Marie-Paule Pommeret », en hommage à une ancienne maire ou mairesse de Oysonville, ainsi qu'une salle polyvalente servant aux diverses fêtes et manifestations organisées par la commune ou par des associations.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi : 2 écus : 1) d’or à la croix de gueules chargée de cinq coquilles d’argent et 2) de gueules aux trois fleurs de lys d’argent.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Congerville-Th. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Oysonville et Congerville-Thionville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Congerville-Th. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Oysonville et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Marcel Baudot, Etudes d'onomastique et d'histoire normande : choisies parmi les travaux publiés ou inédits de Marcel Baudot, Société parisienne d'histoire et d'archéologie normandes, , p. 122.
    22. Armorial chartrain, 1909, Tome 1, p. 364.
    23. François-Alexandre de La Chenaye-Aubert, Dictionnaire de la noblesse, [lire en ligne], vol. 1, 2e éd., 1770, p. 196.
    24. Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliare universel de France, [lire en ligne], vol. 7, 1807, p. 98.
    25. Édouard Rott, Histoire de la représentation diplomatique de la France auprès des cantons suisses, [lire en ligne], Imprimerie A. Benteli et Company, 1917, p. 964.
    26. Archives du diocèse de Chartres, Châteaux en Eure-et-Loir, [lire en ligne], vol. 1, 1902, p. 44-46.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Parcs éoliens en France, zone 28 », sur https://www.thewindpower.net, .
    32. (en) Deux ans après sur l’Internet Movie Database.
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