Nihon-buyō

Le nihon-buyō (日本舞踊)[n 1] est une appellation globale de danse traditionnelle japonaise.

Pour les articles homonymes, voir Buyo.

Nakamura Shikan VII en dans la pièce de kabuki-buyô Kagami-Jishi.

Le terme buyō, quant à lui, est le mot inventé par Tsubouchi Shōyō (1859-1935) dans Shingakugekiron (1904) pour traduire le mot anglais dance[1].

Définition

Nihon-buyō au sens large

Au sens large, le nihon-buyō désigne les danses kabuki-buyô (ja), kamigata-mai (ja) et shin-buyô (ja)[1].

  • kamigata-mai (上方舞) ou jiuta-mai (地唄舞) – Danse née et développée dans la région de Kyoto et d'Osaka (Kamigata). Elle se développe durant l'ère Edo, à l'occasion de soirées privées, sur une petite surface (la surface d'un tatamis). Ses mouvements sont lents et doux. Elle peut être accompagnée de musique nommée jiuta, composée pour un soliste au shamisen. Elle est également nommée zashiki-mai (座敷舞), nom de la salle où elle est pratiquée.
  • shin-buyō (新舞踊) ou sôsaku-buyô (創作舞踊) – Le nihon-buyō connaît des influences européennes et américaines au XXe siècle. L'écrivain Tsubouchi Shōyō, inspiré par les arts occidentaux, propose des changements dans le théâtre kabuki, ce que certains acteurs acceptent. La danse ainsi créée se nomme shin-buyō « nouvelle danse » sous l'ère Taishō, pratiquée par des artistes voulant expérimenter une nouvelle forme de l’expression.

Nihon-buyō au sens strict

Au sens étroit, le nihon buyō (日本舞踊) signifie kabuki-buyō (歌舞伎舞踊, danse kabuki)[1].

Cette appellation date de l'ère Meiji. Jusque-là, le kabuki-buyō était désigné par diverses appellations comme le shosagoto (所作事), le keigoto (景事), le furigoto (振事) ou plus simplement le odori (, soit danse)[2].

Les chorégraphes de shosagoto, dont la première apparition remonte vers 1673[3], ont fondé des écoles pour enseigner cette danse aux amateurs[4]. Le kabuki-buyō, inscrit au patrimoine culturel immatériel important depuis 1955, est interprété à la fois par un acteur du kabuki et par un danseur/danseuse du nihon-buyō.

Styles et éléments de danse

À la différence des théâtres nō, kyōgen, kabuki et bunraku, qui sont des milieux masculins, le nihon-buyō est également pratiqué par des femmes. Il existe deux styles de danse différents (onnagata : rôle féminin ; tachiyaku (en) : rôle masculin) que tout le monde apprend[5]. Ainsi, une femme peut incarner un rôle masculin, et un homme un rôle féminin.

Le nihon-buyō compte trois principaux éléments : mai, odori et furi[6].

Le mai est un mouvement statique, épuré et abstrait mis en accent sur l’aspect rituel, qui est souvent présent dans les séquences d’adaptation du théâtre nō[7] ; l'odori est un mouvement dynamique et rythmique issue du nenbutsu-odori (ja), une danse inventée par un moine bouddhiste vers le Xe siècle[6] ; le furi comprend une gestuelle théâtrale, dramatique et figurative (comme écrire une lettre, boire le saké etc.) indissociable de la vie quotidienne de l'époque d'Edo[8].

Influences

Kabuki

Les écoles du nihon-buyō ont été fondées par des chorégraphes, qui étaient à l’origine des musiciens ou acteurs du kabuki, ou par des acteurs. Ces deux milieux, nihon-buyō et kabuki, nouent un lien inséparable encore aujourd’hui en partageant le même répertoire de danse, alors qu’ils sont deux milieux distincts[9].

Il y a de nombreuses pièces du nihon-buyō qui sont inspirées de pièces du théâtre nō : non seulement les trois grandes séries du répertoire de cette danse, sanbasō-mono, dōjōji-mono, shakkyō-mono, qui sont adaptées de pièces nō, Okina, Dōjōji, Shakkyō[10], mais aussi la série de répertoire matsubame-mono, adapté du nô à l’ère Meiji avec la tendance de l’approchement du kabuki vers le nō[11]. Pour ces pièces provenues du nō, la danse du nō (mai) est intégrée dans la chorégraphie[12].

Kyôgen

Même avant l’ère Meiji, il y avait déjà des pièces de danse kabuki basées sur le kyōgen, mais, de même que le nō, le kyôgen a été beaucoup adapté après Meiji (matsubame-mono), et ce répertoire a été apprécié par des acteurs du kabuki de cette période[13].

Bunraku

Les pièces de nihon-buyō Ochiudo, Hachidanme, Yoshinoyama, qui sont des actes dans les pièces du kabuki adaptées du bunraku, Kanadehon chûshingura, Yoshitsune senbonzakura[14].

Par ailleurs, lors des climax de pièces du nihon-buyō adaptées du bunraku, Yagura no oshichi, Hidakagawa, le ningyō-buri (jeu imitant les mouvements des marionnettes) est utilisé : le personnage est soutenu par des marionnettistes se tenant derrière lui et bouge comme s’il était une marionnette[15].

Répertoire

Le répertoire du nihon-buyô consiste principalement en pièces de danse de kabuki (shosagoto) créées à l’époque d'Edo, comme Kyôganoko-musume-dôjôji (en), Fuji Musume (en). Par ailleurs, il y a un répertoire chorégraphié avec la technique de danse kabuki[16]. Les thèmes du répertoire sont vastes : légendes, littérature classique, personnages historiques, faits divers, la vie et les coutumes de l’époque d'Edo. Il y a aussi des adaptations des théâtres nô, kyôgen, et bunraku.

Les pièces dansées par une seule personne occupent environ 60 % du répertoire, et les pièces dansées par plus de deux personnes constituent le reste du répertoire. Environ 60 % du répertoire consiste en pièces de danse pure sans drame (pièce de métamorphose, pièce de mœurs de l’époque Edo, pièce de festivité), contre environ 40 % de pièces dramatiques[17].

L’ensemble des pièces ne peut pas être classifié parfaitement, mais peut être groupé approximativement selon les catégories suivantes[18] :

Sanbasô-mono (三番叟物, adaptation de la pièce du nô Okina)

Dans le nô Okina, la pièce la plus sacrée mêlant danse et rituel de prière pour une récolte abondante et la prospérité, 3 personnages, Okina, Senzai et Sanbasô, apparaissent. La danse dynamique de ce dernier a donné une série de répertoire sanbasô-mono dans le kabuki : la pièce Kotobuki-shiki-sanbasô est la plus rituelle, et le reste du répertoire développe les aspects divertissants du kabuki : Ayatsuri-sanbasô, Ninin-sanbasô, Shitadashi-sanbasô, Hisazuru-sanbasô, Shiki-sanbasô, Kuruwa-sanbasô, etc[19].

Dôjôji-mono (道成寺物, adaptation de la pièce du nô Dôjôji)

Nakamura Utaemon VI en 1951 dans la pièce Kyôganoko-musume-dôjôji.

La pièce de nô Dôjôji, inspirée par le mythe du temple Dôjôji, a été adaptée dans la danse de kabuki comme un chef d’œuvre Kyôganoko-musume-dôjôji, qui a donné ensuite la grande série du répertoire : Ninin-dôjôji, Meoto-dôjôji, Kane-no-misaki, Otsue-dôjôji, Futaomote-dôjôji, Yakko-dôjôji, etc[20].

Shakkyô-mono (石橋物, adaptation de la pièce du nô Shakkyô)

La pièce du nô Shakkyô, dans laquelle le moine bouddhiste voit des lions mythiques jouer avec des pivoines au Mt Seiryo en Chine, a été adaptée comme danse d’onnagata (acteur d’un rôle féminin) dans la première période de kabuki : Aioi-jishi, Shûjaku-jishi, Makura-jishi. C’est vers l’ère Meiji que l’adaptation s’est rapprochée du nô : la danse majestueuse du lion est interprétée par tachiyaku (acteur d’un rôle masculin) : Kagami-jishi, Renjishi[21].

Onryô-mono (怨霊物, pièces de fantôme)

  • Asama-mono (浅間物)

Un homme, qui vient de se fiancer, a brûlé la lettre de serment d’amour faite avec une courtisane. Dans la fumée, l’esprit vivant de cette courtisane apparaît et tient des propos pleins de rancœur : voici la pièce Keisei-asamadake, qui a, ensuite, donné des variantes telles que Takao-zange (confession de keisei Takao)[21].

  • Futaomote-mono (双面物)

Deux personnages sous des apparences totalement identiques dansent ensemble, et l’un révèle sa vraie nature de fantôme : ce style, dont l’origine remonte à une pièce du nô Futari Shizuka (les deux Shizuka), est devenu en vogue avec de nombreuses pièces comme Futago-sumidagawa de Chikamatsu Monzaemon. Les pièces les plus connues sont Futaomote (dernier acte de la pièce de kabuki Hôkaibô) et Futaomote-dôjôji. Dans ces pièces, le personnage principal est un fantôme avec deux esprits à l’intérieur, c’est-à-dire, une double possession. Les âmes de deux amants qui se sont tués peuvent se réunir dans un esprit vengeur maléfique mi-homme mi-femme[22].

Kyôran-mono (狂乱物, pièces de folie)

Fukusuke Nakamura VI dans la pièce Onatsu-kyôran.

Inspiré par la catégorie de pièces ‘la folie’ du nô, ce thème a été développé dans les pièces de danse dès la première période de kabuki[23]. À part la folie amoureuse, il y a la folie en raison de la perte d’un enfant : au moyen âge, il arrivait qu’un enfant soit enlevé pour être vendu à des troupes de cirque. Une mère, à qui on a volé son enfant ainsi, a perdu la tête et abandonné sa vie. Elle est devenue une artiste itinérante qui recherche son enfant, en s’adonnant au chant et à la danse. Dans le nô, ce thème est traité dans les pièces, Sumida-gawa, Sakura-gawa et Miidera.

  • Folie chez des hommes : Ninin-wankyû, Yasuna
  • Folie chez des femmes : Onatsu-kyôran, Kurama-jishi, Sumida-gawa, Shizuhata-obi[23].

Michiyuki-mono (道行物, pièces de voyage lyrique)

  • Description du paysage

Depuis longtemps, dans les arts japonais, il y a un style appelé michiyuki qui décrit le parcours jusqu’à la destination[24]. Le voyage plaisait beaucoup aussi au peuple de l’époque Edo, parce qu’il semble que la joie de la liberté en cours de route était particulière, faute de liberté de se déplacer d’une région à l’autre sous le contrôle strict du gouvernement shôgunal. Mais le sentiment réjouissant ressenti au cours du voyage incitait d’autant plus à la mélancolie que le voyageur souffrait d’un péché, d’un attachement, d’un destin. La beauté de michiyuki est chargée de la tristesse de l’errance[25] : Hachidanme (VIIIe acte de la pièce du kabuki Kanadehon chûshingura), Yoshinoyama (IVe acte de la pièce du kabuki Yoshitsune senbonzakura), Michiyuki-koi-no-odamaki (IVe acte de la pièce du kabuki Imoseyama on.na teikin)[22].

  • Double suicide amoureux

Depuis la pièce Sonezaki-shinjû (double suicide à Sonezaki) de Chikamatsu Monzaemon, le michiyuki est associé au double suicide : un couple envisage de se donner la mort ensemble au terme de leur voyage. Là, la psychologie de personnage est mise en avant, et la description du paysage devient un arrière-plan[24]. Plus tard, un nouveau style devient en vogue : un colporteur ou un artiste de rue interviennent au cours du voyage du couple, en lui faisant des remontrances parce qu’ils commettront un double suicide : Ochiudo (IVe acte de la pièce du kabuki Kanadehon Chûshingura), Umegawa, Osome[26].

Henge-mono (変化物, pièces de métamorphose)

Une danseuse de nihon-buyō dans la pièce Kamuro.

Dans le henge-mono, le même acteur se métamorphose avec un changement rapide du costume, et interprète l’un après l’autre des personnages différents, de 3 à 12 (généralement 7) – homme et femme de tous âges, de périodes différentes et de toutes les couches sociales, animaux, apparition, dieux[27]. Le henge-mono a connu une grande vogue au début du XIXe siècle notamment avec les deux grands acteurs Bandô Mitsugorô IIIe et Nakamura Utaemon IIIe, qui ont rivalisé pour développer ce genre[28]. Aujourd’hui, la pièce du henge-mono est décomposée en plusieurs morceaux, un pour chaque personnage, qui sont interprétés indépendamment, comme la pièce célèbre Fuji-musume, qui était à l’origine la 1ère partie de 5 métamorphoses : la fille se métamorphose en zatô (aveugle), tenjin (divinité céleste), yakko (serviteur du samurai) et batelier. De nos jours, les pièces de métamorphose ne subsistent plus intégralement, à une exception près : Rokkasen (six grands poètes), pièce de métamorphose en 5 poètes, pour laquelle toutes les 5 métamorphoses restent encore.

Les pièces de henge-mono les plus connues sont Sagi-musume, Shiokumi, Asazuma-bune, Ame no Gorô, Ukare-bôzu, Mitsumen-komori, Tomo-yakko ou encore Kamuro etc[27].

Fûzoku-mono (風俗物, pièces de mœurs de l’époque d'Edo)

Un danseur de nihon-buyō dans la pièce Katsuo-uri.
  • Fête traditionnelle (matsuri) : L’agrément de la vie populaire était sans doute le matsuri et de nombreuses pièces sur ce thème montrent la passion du peuple pour cette fête : Omatsuri, Sanja-matsuri, Kanda-matsuri, Kioi-jishi etc[29].
  • Évènements annuels : Musume-nanakusa, Genroku-hanami-odori, Ryûsei etc[29].
  • Colporteur : La variété de métier chez les citoyens d’Edo était surprenante, y compris un colporteur ou un artiste de rue, qui animaient la ville d’Edo. Un colporteur n’était pas un simple vendeur, mais s’accompagnait de diverses performances ou de chants, parfois comiques pour attirer des enfants, et, dans certains cas, avec un costume extravagant : Dango-uri, Yoshiwara-suzume, Tamaya, Awamochi, Oharame, Katsuo-uri etc[30].
  • Artiste de rue : Echigo-jishi, Kairaishi, Dontsuku, Kappore etc[31].

Matsubame-mono (松羽目物, adaptation du nô et du kyôgen après Meiji)

Matsumoto Kōshirō VII dans la pièce de kabuki-buyô Kanjinchō.
  •  : À l’époque d'Edo, où le nô appartenant à la classe guerrière se distinguait du kabuki qui était un divertissement des classes populaires, l’adaptation du nô dans la danse kabuki avait tendance à s’éloigner de la pièce originelle en changeant complètement le contexte, des personnages, et la mise en scène. Pourtant, à l’ère Meiji, où le kabuki a tenté de renouveler l’image populaire en introduisant le nô d’une haute tenue, l’adaptation de ce théâtre moyen-âge a été faite en s’approchant de ce goût noble, tout en gardant le contenu et le style de la pièce originelle : Kanjinchô, Funabenkei, Momijigari, Hagoromo, Hashi-benkei, Mochizuki, Shôjô etc[11].
  • Kyôgen : De même que le nô, le kyôgen a été adapté dans la danse kabuki après l’ère Meiji : Migawari-zazen, Bôshibari, Chatsubo etc. Pourtant, même avant cette période, il y avait déjà une adaptation du kyôgen, comme des pièces Tsuri-gitsune, Utsubozaru, Sue-hirogari etc., mais elle a été transformée en style kabuki[13].

Goshûgi-mono (御祝儀物, pièces de festivité)

Le genre goshûgi-mono, qui existait déjà à l’époque d'Edo dans le domaine de la musique, consiste en pièces créées pour célébrer la fondation d’une nouvelle école, l’héritage d’un nom ou l’inauguration d’un établissement etc. Par ailleurs, vers le début de l’ère Meiji, les musiciens se sont détachés du milieu du kabuki, et les chefs d’écoles ont présenté de nouvelles pièces chaque nouvel an. Ces pièces festives, célébrant la prospérité et le bon augure, ont reçu des chorégraphies, souvent dans le style de danse du nô : ce genre est appelé goshûgi-mono présenté en général dans le style appelé su odori (danse avec le kimono ou le hakama, sans costume) : Oimatsu, Hokushû, Shima no senzai, Ume no sakae, Matsu no midori, Tsurukame[32].

Enseignement

Le Japon compte environ deux cent écoles de nihon-buyō, parmi lesquelles « cinq grandes écoles » :

  • Hanayagi-ryu (花柳流), fondée en 1849 par Hanayagi Jusuke Ier, qui fut un disciple de Nishikawa Senzô IV[33]. Il s’agit de l’école comptant le plus de disciples.
  • Fujima-ryu (藤間流) fondée par Fujima Kanbei Ier pendant l'ère Hōei (1704-1711)[34].
  • Wakayanagi-ryu (若柳流) fondée en 1893 par Wakayagi Judô Ier, qui fut un disciple de Hanayagi Jusuke[35].
  • Nishikawa-ryu (西川流) fondée par Nishikawa Senzô Ier pendant l'ère Genroku (1688-1704). À l'origine de nombreuses écoles, il s'agit de la plus ancienne école de nihon-buyô[36].
  • Bando-ryu (坂東流) fondée par Bandô Mitsugorô III, acteur de kabuki représentant de la période Kasei (1804-1830)[37].

Notes et références

Notes

  1. parfois écrit simplement nihon buyō

Références

  1. (ja) Shinmura Izuru, Kōjien, Iwanami Shoten, (ISBN 978-4-00-710425-1, lire en ligne)
  2. Nihon Hōsō Kyōkai 1999, p. 58.
  3. Fujita 1976, p. 34.
  4. Nihon Hōsō Kyōkai 1999, p. 57.
  5. Nishikata 1988, p. 146.
  6. Nishikata 1988, p. 76.
  7. Nishikata 1988, p. 78.
  8. Nishikata 1988, p. 80.
  9. Hayashi 2001, p. 5-6.
  10. Kenkyūkai 1970, p. 42.
  11. Hayashi 2001, p. 165.
  12. Nishikata 1980, p. 79.
  13. Nishikata 1988, p. 130.
  14. Fujita 1976, p. 126-127.
  15. Nishikata 1988, p. 170.
  16. Nihon Hōsō Kyōkai 1999, p. 59.
  17. Nishikata 1980, p. 38.
  18. Hayashi 2001, p. 160.
  19. Hayashi 2001, p. 160-161.
  20. Hayashi 2001, p. 161.
  21. Hayashi 2001, p. 162.
  22. Hayashi 2001, p. 163.
  23. Nishikata 1988, p. 108.
  24. Nishikata 1988, p. 112.
  25. Fujita 1976, p. 14.
  26. Nishikata 1988, p. 114.
  27. Nishikata 1988, p. 122.
  28. Hayashi 2001, p. 164.
  29. Nishikata 1988, p. 124.
  30. Nishikata 1988, p. 126.
  31. Hayashi 2001, p. 166.
  32. Nihon Hōsō Kyōkai 1999, p. 60.
  33. Fujita 1976, p. 36.
  34. Fujita 1976, p. 38.
  35. Fujita 1976, p. 42, 43.
  36. Fujita 1976, p. 45.
  37. Fujita 1976, p. 47.

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

Bibliographie

 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • (ja) Hiroshi Fujita, Nihon-buyō nyūmon [« 日本舞踊入門 »], Bunken shuppan, , 382 p. (lire en ligne). 
  • (ja) Yukio Hayashi, Buyō meisaku jiten [« 舞踊名作事典 »], Engeki shuppansha, , 191 p. (ISBN 4900256137, lire en ligne). 
  • (ja) Geinōshi Kenkyūkai, Nihon no kotengeinô buyô : kinsei no uta to odori [« 日本の古典芸能 舞踊 »], Engeki shuppansha, coll. « Nihon no koten geinō » (no 6), , 346 p. (ISBN 4900256137, lire en ligne). 
  • (ja) Nihon Hōsō Kyōkai, NHK nihon no dentō geinō : Nō kyōgen nihon buyō kabuki bunraku kanshō nyūmon [« NHK 日本の伝統芸能 能 狂言 日本舞踊 歌舞伎 文楽 »], Nihon Hōsō Kyōkai, , 174 p. (ISBN 414910350X, lire en ligne). 
  • (ja) Setsuko Nishikata, Nihon buyō no kenkyū [« 日本舞踊の研究 »], Nansōsha, , 370 p. (ISBN 4-8165-0222-X). 
  • (ja) Setsuko Nishikata, Nihon-buyō no sekai [« 日本舞踊の世界 »], Kōdansha, , 253 p. (ISBN 4062018985, lire en ligne). 
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