Monthoiron

Monthoiron est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Monthoiron
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Patrice Azile
2020-2026
Code postal 86210
Code commune 86164
Démographie
Population
municipale
664 hab. (2018 )
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 03″ nord, 0° 37′ 16″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 141 m
Superficie 16,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chauvigny
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Monthoiron
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Monthoiron
Géolocalisation sur la carte : France
Monthoiron
Géolocalisation sur la carte : France
Monthoiron

    Géographie

    Géologie et relief

    La région de Monthoiron présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[1] :

    • sur les collines calcaires d'aubues ou de champagne (ce sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires) pour 30 % ;
    • sur les plateaux du seuil du Poitou :
      • de Terres fortes pour 28 %,
      • de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) pour 30 % ;
    • sur les collines et les dépressions sableuses des bordures du bassin parisien, de calcaire sableux pour 5 % ;
    • dans les vallées et les terrasses alluviales, de calcaire pour 7 %.

    En 2006, 59,5 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 38,5 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 2 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides… constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est traversée par 6,8 km de cours d'eau dont les principaux sont L'Ozon sur une longueur de 5,4 km et L'Ozon de Chenevelles sur une longueur de 1,4 km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 697 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Benassay_sapc », sur la commune de Bellefonds, mise en service en 1993[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 780,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 30 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Monthoiron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,7 %), terres arables (24,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,4 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom du village a plusieurs origines possibles. Il pourrait provenir du latin Mons Dodranni qui signifie La colline de Dodrannus, Dodrannus étant un anthroponyme d'origine germanique. L'ancien nom du bourg était au XIe siècle, Monte Oram qui signifierait également La Colline d'Oran, du nom du seigneur local[22].

    Histoire

    Nous trouvons la trace d'un oppidum à Monte Aurea dès le XIe siècle. La seigneurie de Monthoiron prend une dimension régionale importante lorsque les Turpin de Crissé en prenne une première possession avec Gui V Turpin de Crissé pendant la guerre de cent ans Jacques Turpin de Crissé complète la possession de Monthoiron grâce à son mariage avec Louise de Blanchefort le qui apporte Monthoiron-Lezay.

    C'est Jacques II Turpin de Crissé, le chevalier de Marignan, qui va revenir d'Italie et initier la construction de la tour-forteresse de Monthoiron à côté du logis seigneurial, sur un concept que Léonard de Vinci lui aurait présenté.

    Le , les troupes nazis stationnent avec le 33e régiment au château de Monthoiron. Trois graffitis de soldat dans la tour-forteresse confirment cette présence. La Kommandatur s'y installe.

    En 1944, pour fêter la Libération et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté sur la place de l’église (un if), qui est toujours en bonne santé en 1988[23].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 réélu en 2008[24] Alain Guimard    

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

    En 2018, la commune comptait 664 habitants[Note 7], en diminution de 2,35 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    271258229686712811784776727
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    695657663568606564571541542
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    529537487435459454440426427
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    452393366564609588598679664
    2018 - - - - - - - -
    664--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 39 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[29], il n'y a plus que 7 exploitations agricoles en 2010 contre 12 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont très légèrement diminué et sont passées de 373 hectares en 2000 à 370 hectares en 2010. 39 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement pour 80 % de la surface céréalière mais aussi de l'orge), 20 % pour le fourrage et 23 % reste en herbes. En 2000 comme en 2010, un hectare est consacré à la vigne[29].

    Trois exploitations en 2010 (contre quatre en 2000) abritent un élevage de bovins (286 têtes en 2010 contre 197 têtes en 2000)[29].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Ambroise appartenait au prieuré Saint-Fulgent, fondé au XIIe siècle par les bénédictins de l'abbaye de Saint-Savin. Ruiné pendant la guerre de Cent Ans, puis lors des guerres de Religion, il a été déserté par ses moines au XVIe siècle, puis a perdu sa nef et ses dépendances. Le chœur, prévu de grande dimension pour accueillir une importante communauté de moines, fait désormais office de nef, et l'entrée actuelle se fait par la croisée du transept, après des travaux de restauration au XIXe siècle qui ont porté sur un nouveau portail, surmonté d'une tribune.

    Patrimoine civil

    • La tour-forteresse du XVIe siècle - qui semble n'avoir jamais été rattachée au logis du château - est classée comme monument historique dès le après sa découverte par l'historien et professeur d'université Nicolas Faucherre. Le , une cinquantaine d'experts internationaux de Léonard de Vinci signent l'appel de Romorantin, stipulant que la Tour-Forteresse « correspond à un concept du maître, et peut constituer une œuvre inédite de Léonard de Vinci » et appelant à sa sauvegarde et à sa mise en valeur.
    • Le domaine du château dont une tour du XVIe siècle accolée au logis seigneurial est simplement inscrite comme monument historique le .
    • Le moulin de Monthoiron est construit le long de l’Ozon. Le chapitre de Saint-Hilaire de Poitiers le mentionne en 1475. L’ancien moulin à farine, a subi comme tous les moulins du Poitou une transformation pour devenir un moulin à huile.

    Patrimoine naturel

    La commune abrite deux sites qui sont classés comme zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[30]. Elles couvrent 16 % de la surface communale. Il s'agit des lieux dénommés :

    • Les Meulieres ;
    • Les bois de la Foye.

    De plus, Les Meulieres et les Brandes de la Dispute bénéficient d'une protection par maîtrise foncière et sont protégés au titre des espaces naturels sensibles (ENS). Ces espaces couvrent 16 % de la surface communale.

    Arbres remarquables

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[31], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un sapin d'Espagne situé au lieudit le Clos du Prieuré.

    Le bois de la Foye et les brandes de la Dispute

    Le bois de la Foye et les brandes de la Dispute se situent au sein des bois de Chitré qui constituent un vaste massif boisé s’étendant sur un plateau de la rive droite de la Vienne, au cœur du seuil du Poitou, entre Châtellerault et Chauvigny. C’est un site classé zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) [30].

    Les sols dominant sur les plateaux sont des bornais, c’est-à-dire des sols acides, plus ou moins imperméables et hydromorphes. Par contraste, sur les pentes et dans le vallon de l’Hordin, les sols argilo-calcaires dominent. Ce contexte explique la grande diversité d’habitats rencontrés sur le site et l’originalité de certains d’entre eux : chênaie calcifuge atlantique et landes sur le plateau, chênaie-charmaie sur les pentes et, surtout, la tourbière alcaline de la Fontaine aux Vaches qui occupe près d’un hectare.

    La flore et la faune y sont donc très diversifiées, parmi lesquelles les oiseaux, les amphibiens et les plantes à fleurs représentent les éléments les plus intéressants.

    Sur le plan botanique, la zone la plus intéressante est la tourbière de la Fontaine aux Vaches, un type de milieu rare et très localisé au sein de la région Poitou-Charentes. On y trouve des plantes rares comme l’orchis élevé et l’épipactis des marais, la gentiane peumonanthe (représentante isolée dans ces plaines atlantiques d’un genre emblématique des pelouses alpines), des laîches typiques de ces milieux asphyxiants (comme la laîche puce). On pourra aussi découvrir :

    Les amphibiens sont biens représentés :le sonneur à ventre jaune qui est petit crapaud que l’on trouve dans les ornières forestières (en forte régression partout en Europe de l’Ouest et on connait, en 2008, moins de 10 stations dans le département de la Vienne),la grenouille de Lesson,le triton marbré, le crapaud calamite et la rainette verte. Ces espèces sont protégées en France.

    Quant à l’avifaune, elle se singularise par la présence d’un riche cortège d’oiseaux nicheurs propres au biotope constitué par les landes et les boisements ouverts, tels que l’engoulevent d’Europe, la fauvette pitchou, le busard Saint-Martin, busard cendré, faucon hobereau la bécasse des bois.

    Personnalités liées à la commune

    Jacques II Turpin de Crissé : c'est lui qui initie la construction de la tour-forteresse de Monthoiron en 1517 qui se finalise dix ans plus tard.

    Nicolas de Pérusse des Cars : à la fin du XVIIIe siècle il accueille (rémunéré par le roi ) sur ses terres des réfugiés acadiens dont beaucoup repartiront pour la Louisiane.

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Benassay_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Monthoiron et Bellefonds », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Benassay_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Monthoiron et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    23. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 223.
    24. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    30. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes , 2011
    31. Poitou-Charentes Nature, 2000
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