Marie Baraton

Ses parents pratiquent la musique et écoutent Brel, Brassens, Piaf ou Barbara. Enfant, elle accompagne sa mère accordéoniste dans une chorale de musiques traditionnelles, qu'elle finit par chanter[1]. Elle découvre ensuite Nougaro, Reggiani[1]...

Elle intègre le conservatoire où elle y apprend les techniques du chant classique en tant que mezzo-alto[1]. Elle découvre les techniques de l’interprétation théâtrale[1]. Elle chante le répertoire d'Édith Piaf dans les rues, mais également les Beatles et Jeanne Cherhal[1].

Elle rencontre le pianiste, guitariste et compositeur Pierre-André Athané lors d'un tour de chant[1], avec qui elle démarre une collaboration, celui-ci écrivant les textes et les mélodies suivant l'inspiration de Marie Baranton[1]. Ils s'inspirent de Piaf, Barbara et Aznavour, Marie chantant ses propres compositions au milieu de reprises de ces chanteurs[1]. La bonne réception de ces compositions par le public la pousse à enregistrer un album[1].

En 2012 paraît le premier album de Marie Baranton, L'Un et l'Autre, salué par la critique : elle est qualifiée de « plaisante et probante découverte[2] », « à la voix vibrante et sincère[1] ». Cet album lui permet d’être demi-finaliste du concours Georges Moustaki en décembre 2014[3].

Elle travaille également avec le guitariste Michel Haumont qui coréalise, avec Pierre-André Athané, le deuxième album Ma folie aime[1] sorti en avril 2016.

Lors de ses concerts, en plus de ses chansons et pour apporter un peu de comique, elle continue à chanter des chansons d'autres artistes, tels que Sanseverino ou Lynda Lemay[1].

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