Lucrèce Borgia (film, 1953)

Lucrèce Borgia est un film franco-italien réalisé par Christian-Jaque, sorti en 1953.

Pour les articles homonymes, voir Lucrèce Borgia (homonymie).

Lucrèce Borgia
Réalisation Christian-Jaque
Scénario Christian-Jaque
Jacques Sigurd
Cécil Saint-Laurent
Acteurs principaux
Sociétés de production Les Films Ariane
Filmsonor
Rizzoli Films
Pays d’origine France
Italie
Genre Drame
Durée 93 minutes
Sortie 1953


Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

Dans la Rome pontificale de la fin du XVe siècle, César Borgia use et abuse de son ascendant sur sa sœur Lucrèce, voluptueuse créature. Au gré de sa politique, il combine les mariages de Lucrèce. Sforza éliminé, elle doit épouser Alphonse d'Aragon. Elle se soumet et reconnaît avec joie dans son futur époux l'inconnu qu'elle a comblé de ses faveurs un soir de carnaval. Le dégoût du duc d'Aragon le cède bientôt à l'amour. Hélas, César rêve d'une nouvelle alliance. Il fait assassiner Alphonse. Résignée, douloureusement passive, Lucrèce devra épouser le duc d'Este.

Anecdote

La censure retire en 1953 une scèns du film, les seins de Martine Carol[1]. Dès 1947, dans Caroline chérie elle avait successivement dénudé son sein droit, son sein gauche, puis toute sa poitrine, en contre-jour [2].

Fiche technique

  • Réalisation : Christian-Jaque, assisté de Raymond Vilette, Romano Dandi, Roland-Bernard, André Smagghe
  • Scénario, adaptation : Christian-Jaque, Jacques Sigurd, Cécil Saint-Laurent
  • Dialogues : Jacques Sigurd
  • Décors : René Gys, assisté de Jacques Chalvet et Pierre Duquesne
  • Costumes : Marcel Escoffier, assisté de Monique Plotin et Jean Zay
  • Photographie : Christian Matras
  • Opérateur : Raymond Darouinou
  • Son : Lucien Lacharmoise, Jacques Carrère, assistés de Guy Villette
  • Montage : Jacques Desagneaux, assisté de Claude Durand
  • Musique : Maurice Thiriet, orchestre des concerts Colonne, Chorale de l'université de Paris dirigée par Pierre-Michel Le Conte
  • Effets spéciaux : Nicolas Wilke
  • Maître d'armes : André Gardère
  • Régisseur général : Maurice Hartwig
  • Régisseur extérieur : Georges Kougoucheff
  • Coiffures : Jean Lalaurette
  • Éclairagiste : René Touillaud Lucien Hamot
  • Ensemblier : Pierre Charron
  • Script-girl : Simone Boudarias
  • Photographe de plateau : Sam Levin
  • Maquillage : Carmen Brel, assistée de Lina Gallet
  • Accessoiriste : Marcel Protat, Pierre Barbet
  • Production : Les Films Ariane, Filmsonor (Paris) - Rizzoli Films (Rome)
  • Directeur de production : Francis Cosne
  • Producteurs délégués : Alexandre Mnouchkine, Georges Danciger
  • Distribution : Cinédis
  • Tournage dans les studios Pathé Studio Cinéma, du au
  • Pays : France
  • Format : couleur par Technicolor (assistant technicolor : Yan Graic) - 1,37:1 - 35 mm - Son mono (Système sonore Western Electric)
  • Conseiller technicolor : Yvan Bridge
  • Genre : Drame
  • Durée : 93 min
  • Date de sortie :

Distribution

Notes et références

  1. " Et Dieu… créa la femme (1956) de Roger Vadim et La Vérité (1960)d’Henri-Georges Clouzot. Scandalescinématographiques et débats dans lasociété française" par  Paul Bacharach, sous la direction d’Evelyne, de l'Université de Lyon 
  2. France Archives

Liens externes

  • Portail du cinéma français
  • Portail du cinéma italien
  • Portail des années 1950
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.