Leonardo Ciampa

Ciampa est née à East Boston de parents italo-américains d'origine avellinoise et sicilienne. Dès son plus jeune âge, il a étudié au Conservatoire de musique de la Nouvelle-Angleterre, étudiant le piano avec Ronald Tardanico, Wha Kyung Byun et Jacob Maxin et l'orgue avec Yuko Hayashi. Il est compositeur-en-résidence de Mechanics Hall à Worcester (Massachusetts) [1], depuis 2019 directeur musical de l'église luthérienne Emanuel (également à Worcester) et depuis 2015 maître de chapelle honoraire de la Basilica di Sant'Ubaldo de Gubbio [2]^,[3]. Il a été directeur artistique des concerts d'orgue au Massachusetts Institute of Technology (MIT) [4]^,[5] (2009-2016) et fondateur-directeur d'Arts MetroWest (2012-2019) [6]^,[7]. Comme organiste de concert, Ciampa s'est produit en Autriche, en Allemagne, en Suisse et surtout en Italie, où il a joué dans de nombreux festivals internationaux (dont le Festival Perosiano[8], Festival Organistico Lauretano[9]^,[10], Festival Biellese[11], Organi Storici della Valsesia[12], Le Voci della Città[13] e il Reate Festival[14]). Il a joué dans les dans les cathédrales de Vienne, New York, Boston, Altenberg, Brandebourg-sur-la-Havel, Tortona et Biella ; et les basiliques de Rome, Turin, Lorette, Rieti et Gubbio. Il a composé Carusiana (pour le centenaire de la mort de Enrico Caruso, jouée au Mechanics Hall [15]), la “Kresge Organ Symphony,” commandée par le MIT et jouée au Kresge Auditorium [16]; “Missa Pamphyliana,” jouée à la basilique de Sant'Ubaldo à Gubbio [17]^,[18]; “L'Annonciation”, cantate pour choeur, solistes et cordes ; Suite sicilienne (op. 145) pour deux violons, piano et orchestre de chambre [19]; varie Sinfonie d'Organo; un concerto per pianoforte ed organo; et beaucoup de musique d'orgue.

En tant que pianiste de concert, Ciampa se distingue particulièrement par ses interprétations de Chopin [20]. Il a commémoré son bicentenaire à Boston avec six concerts à la First Church [21].

Ses publications incluent Gigli [22], The Twilight of Belcanto ("Le crépuscule du belcanto")[23], con un'intervista al soprano Virginia Zeani, e Don Lorenzo Perosi.

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