Le Mesnil-Théribus

Le Mesnil-Théribus est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Mesnil.

Le Mesnil-Théribus

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Carole Delande
2020-2026
Code postal 60240
Code commune 60401
Démographie
Population
municipale
789 hab. (2018 )
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 18′ 06″ nord, 1° 59′ 16″ est
Altitude Min. 119 m
Max. 198 m
Superficie 6,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Le Mesnil-Théribus
Géolocalisation sur la carte : Oise
Le Mesnil-Théribus
Géolocalisation sur la carte : France
Le Mesnil-Théribus
Géolocalisation sur la carte : France
Le Mesnil-Théribus

    Géographie

    Communes limitrophes de Le Mesnil-Théribus
    Jouy-sous-Thelle Beaumont-les-Nonains
    Bachivillers Fresneaux-Montchevreuil

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 743 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 20 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Mesnil-Théribus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,6 %), forêts (14,9 %), zones urbanisées (11,6 %), prairies (5 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Mesnelieum vers 1180, Le Mesnile Tarebus en 1459, Le Mesnil sur Taranbus en 1575, Meniteribus vers 1650 sur un plan du diocèse de Beauvais.

    Histoire

    Activités passées : travail de la nacre (fabrication de boutons).

    Politique et administration

    La communauté de communes du Vexin Thelle dans le département de l'Oise.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Auneuil[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du Chaumont-en-Vexin.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Vexin Thelle.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      septembre 2005[22]> Lucien Triquet   Président du SI d'assainissement de la vallée du ru du Mesnil[23]
    Démissionnaire
    novembre 2005 janvier 2017[24],[25] Jean-Pierre Chaineaud   Retraité de l’industrie pharmaceutique
    Décédé en fonction
    mars 2017[26] En cours
    (au 17 mars 2017)
    Carole Delande DVD Assistante maternelle

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2018, la commune comptait 789 habitants[Note 7], en diminution de 3,07 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    415405416381374369365388366
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    374382359407393381420418430
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    452452422400461433440443477
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    383441429491601678752825800
    2018 - - - - - - - -
    789--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (12,1 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,6 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 51,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 25,8 %, 15 à 29 ans = 15,7 %, 30 à 44 ans = 24 %, 45 à 59 ans = 22,7 %, plus de 60 ans = 11,9 %) ;
    • 48,4 % de femmes (0 à 14 ans = 23,9 %, 15 à 29 ans = 15,4 %, 30 à 44 ans = 28 %, 45 à 59 ans = 20,3 %, plus de 60 ans = 12,3 %).
    Pyramide des âges à Le Mesnil-Théribus en 2007 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,0 
    4,9 
    75 à 89 ans
    2,7 
    6,7 
    60 à 74 ans
    9,6 
    22,7 
    45 à 59 ans
    20,3 
    24,0 
    30 à 44 ans
    28,0 
    15,7 
    15 à 29 ans
    15,4 
    25,8 
    0 à 14 ans
    23,9 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    Depuis la rentrée 2016, la commune est en regroupement pédagogique intercommunal avec Fresneaux-Montchevreuil : l'école de cette dernière regroupe alors deux classes de maternelle et une classe de CP et celle du Mesnil trois classes de primaire, à partir du CE1, avec environ 130 élèves, ainsi que la cantine scolaire des deux écoles[32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Léger
    L'église.

    Il est difficile d'établir son histoire. Construite semble-t-il, en lien avec l'abbaye de Marcheroux de l'ordre des prémontrés et dont dépendait aussi l'église de Beaumont-les-Nonains. On sait qu'elle a été construite en pierre et en brique en 1777. Gravé sur la robe de la cloche, nous apprenons qu'en « l'an 1759 elle a été bénite par Mre Louis Charles Le Febvre, prêtre, curé de cette paroisse et nommée Nicolle Élisabeth par Mre Nicolas Divery, écuyer, seigneur de cette paroisse du Mesnil-Théribus et de Coincore, Grimesnil, Marivaux, Besthiencour, Guisencourt autres lieux, et par dame Charlotte Élisabeth Testard Dulys, sa femme, mes Parain et Maraine. »

    En 1807, le maire M. Famin, réclame au préfet de l'Oise des réparations de première nécessité, point de plafond, ses murs sont nus, point de chaire ni de fonts baptismaux. En 1876, réparations des lambris du chœur et du palier de l'autel. En 1883, reconstruction du proche avec les matériaux provenant de sa démolition ; travaux réalisés par M. Collard. En 1890, la toiture de l'église détériorée par l'ouragan du 1er juillet dernier est refaite. Puis réparation du clocher. En 1916, on répare le côté est et le faîtage de la toiture. En 1923, c'est le tour de l'horloge avant son électrification. Aujourd'hui, c'est une petite église très simple dédiée à saint Léger. Elle comporte une nef non voûtée, un chœur à chevet plat et un clocher latéral sud dont le beffroi et la flèche sont en charpente et ardoise. Il est à remarquer les vitraux de la nef datant de 1875 réalisés par Roussel peintre-verrier qui illustre les sept sacrements. Dans le chœur, un vitrail avec six médaillons, un don du conseil de fabrique du Mesnil-Théribus ; C. Lévêque en est le peintre-verrier. Puis un vitrail de saint Léger, don lui aussi de la fabrique du Mesnil-Théribus. De nouveaux travaux de rénovation ont été engagés dans les années 1990.

    Château de Beaufresne
    Le château de Beaufresne.

    De la fin du XVIIIe siècle. Propriété de 20 ha, traversée par un petit cours d'eau avec des pelouses, des prés et des bois de 51 ha. Ayant appartenu à la famille de l'amiral de Grasse puis fut la demeure de la peintre américaine Mary Cassatt de 1896 à 1926. Il accueille aujourd'hui des adolescent(e)s en formation d'horticulture au sein de l'association « Le Moulin Vert ».

    Château Théribus
    Le château Théribus.

    Le château Théribus est construit au tout début du règne de Louis XIII, dans les premières années du XVIIe siècle, pour un cadet de la famille de Mornay, laquelle possédait aussi les châteaux de Fresneaux-Montchevreuil, Villarceaux et Ambleville, il a été agrandi de ses pavillons été modifié l'accès au domaine et mise en place la grande grille au chiffre M, initiale de la propriétaire de l'époque. Le pigeonnier a toujours ses boulins (nids en argile sur les parois) et une échelle tournante pour ramasser les œufs. Le parc, derrière le château, était jusqu'en 1826 dessiné  à la française , avec charmilles et buis. Il a été alors, comme beaucoup d'autres à la même époque, remodelé à l'anglaise , avec sa vaste pelouse et ses arbres d'agrément dont un splendide cèdre. Quant au bois qui lui fait suite, il présente la quasi-totalité des allées perpendiculaires et circulaires dessinées il y a quatre cents ans.

    L'ensemble des bâtiments anciens, y compris la plus grande de l'intérieur du château, le parc et le bois attenant ont été récemment inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. Ce domaine, qui a vu se succéder les membres de la bonne aristocratie locale (Mornay alliés aux du Croq et aux Montmorency, seigneurs de Fosseuse) puis, après la ruine de cette dernière à la fin du XVIIe siècle, ceux de la grande bourgeoisie beauvaisienne (Foy de Morcourt, de Lamotte, Michel, Serpe et leurs descendants, les Ticquet et Jourdain d'Héricourt) souvent négociants textiles, élus de la ville ou magistrats au tribunal, est en effet caractéristique du cadre de vie des classes aisées de notre région de 1610 à 1870. Il est ensuite devenu la propriété de familles établies à Paris (Mercadé, Gaffinel, Latour, Courtière et enfin Choppin de Janvry).

    Quelques faits saillants :

    • Charles de Mornay, qui avait perdu une jambe à Rocroi, n'eut eut pas moins six filles qui faute de dot, furent toutes nonnes et six fils, tous militaires sauf l'un d'eux qui devint évêque de Québec, au Canada par protection de son oncle le marquis de Mornay-Montchevreuil qui était proche du roi par sa femme liée à Madame de Maintenon, la deuxième épouse de Louis XIV. Comme monseigneur de Mornay avait le mal de mer, il se contenta de rester en France et administra de loin son diocèse avant de mourir écrasé par un carrosse.
    • La famille Serpe hébergea, pendant la Révolution française, quelques membres en fuite du clergé dans les caves du château.
    • La propriété a été occupée par les troupes américaines à la fin de la Seconde Guerre mondiale et les troupes campaient dans les bois. Elle fut rendue en très mauvais état à M. Latour et son successeur dans les lieux, M. Courtière dut procéder à d'importants travaux.

    Personnalités liées à la commune

    Mary Cassatt, Petite fille dans un fauteuil bleu, 1878, National Gallery of Art, Washington.
    • Mary Cassatt (1843-1926), peintre impressionniste américaine, s'installe à Paris en 1873 et habita le château de Beaufresne, situé dans le bas du village. Elle s'intéressait à l'ésotérisme, l'architecture, la politique. Elle va établir une étroite collaboration artistique avec Edgar Degas et s'inspire de ses conceptions artistiques[33].
    • Léon Droussent, né le au Mesnil-Théribus, mort le à Coucy-le-Château-Auffrique (Aisne). Il fut instituteur, militant syndicaliste ; militant socialiste SFIO ; maire de Coucy-le-Château (1944-1970) ; conseiller général de Coucy-le-Château-Auffrique (1945-1970), et conseiller de la République de l'Aisne (1955-1959).
    • Jean Ganiage (1923-2012), historien et universitaire, y est né.
    • Bernard Halpern, immunologiste et allergologue (né à Tarnoruda - Ukraine) en 1904 et mort en 1978). Une rue porte son nom au sein du village, et sa famille est toujours propriétaire de la demeure qu'il a acquise.

    Héraldique

    Blason
    D'argent, à la bande ondée d'azur, accompagnée à dextre et en pointe d'une palette de peintre de gueules contenant en son centre 3 pinceaux d'artistes peintres du même, emmanchés de sable ; et à senestre et en chef d'un bouton sable, cerclé d'azur et ajouré de 4 trous du champ ainsi que d'une épée d'académicien de sinople, posée en pal, pointe en bas, celle-ci entrelacée de deux serpents se regardant.
    Ornements extérieurs
    L'Ecu est surmonté d'une couronne murale à 3 tours d'or, crénelées, ouvertes et maçonnées de sable et il est entouré à dextre d'une branche de chêne et à senestre d'une branche de charme, le tout au naturel. Il est soutenu d'un listel portant l'inscription "Le Mesnil-Théribus" en lettres de gueules.
    Détails
    Symbolisme des Armoiries :
    • La bande d'azur (bleu) correspond au ru du Mesnil qui prend sa source dans le Bas-Mesnil.
    • Le bouton rappelle l'usine de boutons installée avant la guerre de 1939-1945 qui employait une centaine de personnes.
    • La palette de peinture symbolise la femme peintre Mary Casatt qui vécut au château de Beaufresne de 1883 jusqu'au 14 juin 1926, date de son décès.
    • L'épée d'académicien rappelle le professeur B. Halpern, allergologue mondialement connu, nommé académicien des Sciences en 1964. Il résidait souvent au Mesnil-Théribus.
    • La couronne murale à 3 merlons représente le château de Théribus, situé dans la bas Mesnil sur une route qui mène aux Lande.
    • Les branches de chêne et de charme figurent les arbres de la forêt qui entourent la commune.
      Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Mesnil-Théribus et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Mesnil-Théribus et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duParis », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. « Le Carnet », Courrier d’État, Préfecture de l'Oise, no 5, , p. 4 (ISSN 1776-2685, lire en ligne [PDF]).
    23. Patrick Caffin, « Les projets d'assainissement sont-ils abandonnés ? », le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    24. « Mesnil-Théribus : Jean-Pierre Chaineaud, maire de la commune, est décédé », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « Jean-Pierre Chaineaud, maire du Mesnil-Théribus, est décédé ce mardi à l’âge de 74 ans. Réélu en 2008 pour son second mandat, le retraité de l’industrie pharmaceutique avait consacré « vingt années de sa vie à sa commune », comme le rappelle son épouse. Cela faisait quarante ans qu’il habitait au Mesnil, en 2008, il avait succédé à la tête de la mairie à Serge Gueulle ».
    25. « Jean-Pierre Chaineaud s'est éteint : Le maire du Mesnil-Théribus , Jean-Pierre Chaineaud, est décédé à l'âge de 74 ans des suites d'un accident cardiaque. Tous saluent l'homme de grande valeur », L'Observateur de Beauvais, no 981, , p. 28.
    26. « Carole Delande est élue maire : Carole Delande est maire du Mesnil-Théribus depuis le 8 mars. Elle succède à Jean-Pierre Chaineaud, brutalement décédé en janvier dernier. Le nouveau maire revient sur les circonstances de son élection », L'Observateur de Beauvais, , p. 23.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Évolution et structure de la population à Le Mesnil-Théribus en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    31. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    32. « Le regroupement scolaire, la solution qui a sauvé la classe du Mesnil-Théribus », L'Observateur de Beauvais, no 954, , p. 23.
    33. J. M., « Un baptême de la rose Mary Cassatt à l’occasion des 90 ans de sa mort », L'Observateur de Beauvais, no 951, , p. 23.
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