Le Coudray-sur-Thelle
Le Coudray-sur-Thelle est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Le Coudray-sur-Thelle | |||||
![]() La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Thelloise | ||||
Maire Mandat |
Ludovic Gorine 2020-2026 |
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Code postal | 60430 | ||||
Code commune | 60165 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
539 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 143 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 18′ 24″ nord, 2° 07′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 165 m Max. 229 m |
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Superficie | 3,76 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chaumont-en-Vexin | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.lecoudraysurthelle.fr | ||||
Géographie
Le Coudray-sur-Thelle est située sur le plateau du Thelle, à son extrémité nord. De l'extrémité de ce plateau, on aperçoit le vaste panorama au nord vers le Beauvaisis.
La ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers, qui sort de l'extrémité nord du tunnel du Coudray, contourne les « buttes de Caumont » pour se diriger vers la gare de Saint-Sulpice - Auteuil.
Communes limitrophes
Hydrographie
À la sortie nord du tunnel ferroviaire, un écoulement d'eau assez abondant sort du tunnel le long de la voie ferrée : en effet, le plateau du Thelle recueille l'eau de pluie qui s’infiltre et ressort par le tunnel. Autrefois, cette eau constituait une des sources principales du Sillet, petit ruisseau qui traverse Silly-Tillard. Cette source a été détournée lors de travaux SNCF de survoûtage du tunnel fragilisé par les creusements et travaux souterrains des Allemands en 1942 pour y stocker des trains de munitions ou de carburant de missiles V1.
Aujourd'hui ces infiltrations d'eau n'alimentent plus le Sillet, mais courent le long de la voie ferrée, en suivant la pente naturelle (pont de Caumont) pour aller vers Saint-Sulpice.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944[9] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Le Coudray-sur-Thelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,5 %), forêts (24,1 %), zones urbanisées (10,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Durant la Révolution, la commune, alors nommée Le Coudray-Belle-Gueule, porte le nom de Le Coudray-la-Montagne[21]. Le nom de « Belle-Gueule » vient des profonds ravins au nord de la commune, appelés goulées ou grandes goulées qui ravinent depuis le bord du plateau du Thelle, versant nord face à la plaine du Beauvaisis[22].
En , la commune change de dénomination et devient Le Coudray-sur-Thelle[23]. Le nom de Coudray vient de coudrier qui désigne la variété sauvage du noisetier. Toutes les pancartes des noms des rues représentent d'ailleurs cet arbuste, symbole du lieu.
Histoire
La commune du Coudray-sur-Thelle a vu le creusement d'un tunnel ferroviaire vers 1880, afin de relier Méru à Beauvais en passant sous le haut plateau de Thelle. Ce tunnel est assez long et mesure 1 452 m. L'entrée sud, vers Parfondeval, est située sur la commune du Coudray, en bas de la rue du tunnel. La sortie nord, vers Beauvais, est isolée dans un cadre assez sauvage, face aux buttes de Caumont.
Vers 1900, le village comptait deux cafés, et plusieurs tabletiers y habitaient[22].
Lors de la Seconde Guerre mondiale, un camp militaire allemand a été édifié (camp « Robinson 1 »). À ce jour, des vestiges de ces constructions sont encore visibles dans les bois, dont le blockhaus qui abritait Hermann Goering lorsqu'il venait au Coudray.
Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Noailles[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Chaumont-en-Vexin.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, créée en 1996.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[24], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[25],[26].
La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [27].
Liste des maires
Population et société
Démographie
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2018, la commune comptait 539 habitants[Note 6], en augmentation de 2,67 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
- Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (8,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,2 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 52,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,5 %, 15 à 29 ans = 23,7 %, 30 à 44 ans = 23,3 %, 45 à 59 ans = 26 %, plus de 60 ans = 7,6 %) ;
- 47,8 % de femmes (0 à 14 ans = 25,8 %, 15 à 29 ans = 19,2 %, 30 à 44 ans = 20,8 %, 45 à 59 ans = 24,6 %, plus de 60 ans = 9,6 %).
Économie
En 2016, il n'existe plus de commerces de proximité au village, qui compte néanmoins plusieurs artisans[22].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments

Le Coudray-sur-Thelle ne compte aucun monument historique classé ou inscrit sur son territoire.
On peut noter néanmoins l'église Saint-Mathurin : c'est un petit édifice d'une extrême simplicité, se composant d'un vaisseau unique non voûté, avec un chevet à pans coupés et un petit clocher en charpente assis sur l'extrémité occidentale du toit. Les murs sont en brique, assemblées pour former des motifs décoratifs simples, ce qui permet de situer la construction au XVIe ou XVIIe siècle.
La charpente en carène renversée de la nef est le seul élément remarquable de l'église. Contemporaine de sa construction, elle présente des monstres avalant les entraits, et les sablières sont décorées de rinceaux, masques et animaux fantastiques[35].
Personnalités liées à la commune
Hermann Göring a séjourné au Coudray-en-Thelle à plusieurs reprises, à compter du , après la Bataille de France de la Seconde Guerre mondiale, dans un blockhaus situé dans un endroit reculé du village.
Il y avait établi son quartier général durant la bataille d'Angleterre. Son chef d'état major, Hans Jeschonneck, le secondait. Les Allemands avaient édifié dès 1940 un camp appelé « Robinson 1 » dirigé par le Hauptmann Hans Glismann. Il s'agissait d'un camp destiné aux commandements de la Luftwaffe et aux communications. De nombreux ouvrages édifiés dans les bois, et d'autres souterrains (notamment dans la zone interdite située à droite de la rue du Puits) ont été creusés.
De nombreux souterrains existeraient encore dans cette zone, avec certains risques d'effondrement. Un abri souterrain profond de vingt mètres abritait un standard téléphonique performant. Quant à Goering, lors de ses venues, il logeait dans son luxueux train Asia dans le tunnel de la ligne de Beauvais au Tréport, dont l'extrémité à La Neuville-d'Aumont avait été bloquée. Les Allemands réquisitionnaient les fermes et le café-tabac du Coudray, ainsi que le presbytère de La Neuville-d'Aumont, village voisin du Coudray[36].
Voir aussi
Bibliographie
- Jean Vicogne, Le Coudray-sur-Thelle : Quartier général de Goering 1940-1944, Mairie du Coudray-en-Thelle, , 95 p. Disponible en mairie.
Articles connexes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Communes limitrophes du Coudray-sur-Thelle » sur Géoportail..
- « Communes limitrophes du Coudray-sur-Thelle » sur Géoportail..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le Coudray-sur-Thelle et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction duParis », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Philippe Delattre, « Un sommet du Thelle – Tout savoir sur le village de Le Coudray-sur-Thelle : Vingt-et-unième opus de notre série sur les villages de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la Ruraloise qui vont fusionner », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3420, , p. 8.
- « Décret du 12 janvier 1922 autorisant la commune du Coudray-Belle-Gueulle (Oise) à porter à l'avenir le nom du « Coudray-sur-Thelle », Bulletin des lois de la République française, Paris, Imprimerie nationale, nS, vol. 14, no 313, , p. 129 (lire en ligne) sur Gallica.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
- « Coudray-sur-Thelle », Cartes de France (consulté le ).
- https://www.francetvinfo.fr/elections/resultats/oise_60/le-coudray-sur-thelle_60790
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Le Coudray-sur-Thelle en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Canton de Noailles, Pays de Bray, Pays de Thelle et Vallée de Thérain, Beauvais, s.d., 32 p., p. 15.
- Jean Viocogne, ouvrage cité en bibliographie
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