Larnage

Larnage est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Larnage

La mairie.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Arche Agglo
Maire
Mandat
Gérard Roberton
2020-2026
Code postal 26600
Code commune 26156
Démographie
Gentilé Larnageois, Larnageoises
Population
municipale
1 067 hab. (2018 )
Densité 118 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 52″ nord, 4° 51′ 52″ est
Altitude Min. 135 m
Max. 360 m
Superficie 9,08 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tain-l'Hermitage
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Larnage
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Larnage
Géolocalisation sur la carte : France
Larnage
Géolocalisation sur la carte : France
Larnage

    Ses habitants sont dénommés les Larnageois et Larnageoises.

    Géographie

    Localisation

    Larnage est situé à 20 km au nord de Valence et à km au nord de Tain-l'Hermitage.

    Relief et géologie

    Sites particuliers :

    Géologie

    La composition des sols est diversifiée. La commune se situe sur deux zones présentant des caractéristiques distinctes : une terre granitique à l'ouest, une terre argilo-calcaire à l'est[1].

    L'histoire de la composition des sols est marquée par un phénomène qui se produisit durant l'Éocène. Les eaux salées et chaudes de la mer, qui occupait la vallée du Rhône à cette époque, provoquèrent des transformations souterraines. Le feldspath, composante du granite se transforma peu à peu en argile blanche. Le kaolin, ou « terre blanche », se forma[1].

    Hydrographie

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :

    • Ravin de la Bouzande[2] ;
    • Ravin de Roche Pierre[2] ;
    • Ravin des Chaux[2] ;
    • Ruisseau de Crozes-Hermitage[2] ;
    (le Ruisseau de Crozes (autrefois appelé Ruisseau d'Humilian) : il s'écoule en direction de Crozes-Hermitage avant de se jeter lui aussi dans le Rhône[1]) ;
    • Ruisseau de la Bouterne[2] ;
    (il est le plus important et sépare les communes de Larnage et de Mercurol-Veaunes sur plus d’un kilomètre. Sa rive droite fait partie de la commune. L’activité de pêche à la truite à longtemps été pratiquée sur ce ruisseau[1]) ;
    • Ruisseau de Torras[2] ;
    (il prend sa source au nord de la commune, la traverse sur toute sa longueur puis se jette dans le Rhône au niveau de la commune de Tain-l'Hermitage).

    Climat

    Pour un article plus général, voir Climat de la Drôme.

    Voies de communication et transports

    L'autoroute A7 / E15 passe sur la commune. Le péage le plus proche est situé sur la commune voisine de Mercurol[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Larnage est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,1 %), forêts (30,4 %), cultures permanentes (12,9 %), zones urbanisées (6,6 %), prairies (5,9 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site Géoportail (carte IGN)[2] :

    • Champ Clevet
    • Charret
    • Chautin
    • Chirouze
    • Côte de Meyer
    • Creux du Renard
    • Fournier
    • les Bonnassons
    • la Bouvatte et les Rennes
    • la Croix
    • Lebris
    • le Pérou
    • les Billaudes
    • les Brouas
    • les Chaux (nord)
    • les Chaux (sud)
    • les Chorets
    • les Condamines
    • les Coulaires
    • les Creux
    • les Fournaches
    • les Garennes
    • les Grand Bois
    • les Massonnières
    • les Méjans
    • les Mionets
    • les Plots
    • les Pouillards
    • les Sautons
    • les Trompas
    • Massurel
    • Merjurol
    • Roche Brune
    • Roche Pierre
    • Simat
    • Tarel
    • Torras

    Logement

    En 2017, on compte 448 résidences dont 408 principales, 14 secondaires et 26 logements vacants[10].

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] :

    • 1100 : de Larnaggio (cartulaire de Romans, 154).
    • 1192 : Larnatge (cartulaire de Léoncel, 25).
    • 1201 : mention de la paroisse : capella de Larnataco (cartulaire de Saint-André-le-Bas, 142).
    • 1285 : la paroisse est quelquefois appelée parrochia de Humiliano (archive de la Drôme, E 600) (voir Humilian).
    • 1336 : castrum de Larnaje (inventaire des dauphins, 90).
    • 1380 : Larnagium (choix de documents, 196).
    • 1386 : castrum de Larnajo (choix de documents, 205).
    • 1891 : Larnage, commune du canton de Tain.

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de la Drôme.

    Du Moyen Âge à la Révolution

    La seigneurie[11] :

    • Au point de vue féodal, Larnage était un arrière-fief de la baronnie de Clérieux.
    • Possession des Bressieux.
    • 1191 : possession des Clérieux.
    • Recouvrée par les Bressieux.
    • 1329 : passe (par mariage) aux Claveyson.
    • 1336 : la terre est inféodée par les dauphins aux Poitiers-Saint-Vallier.
    • Vers 1400 : elle passe aux Brunier.
    • 1710 : passe aux Soubeyran de Montgiraud.
    • 1768 : vendue aux Mure, derniers seigneurs.

    Démographie[11] :

    • 1688 : 30 familles.
    • 1789 : 130 familles.

    Avant 1790, Larnage était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et du bailliage de Saint-Marcellin.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Vienne, appelée quelquefois paroisse d'Humilian parce qu'elle dépendait du prieuré de ce nom. Son titulaire avait droit à la dîme et présentait à la cure.
    Son église, qui était peut-être celle du prieuré d'Humilian, était dédiée à saint André[11].

    Le prieuré d'Humilian

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :

    • 1120 : ecclesia Sancti Andree de Humiliano (cartulaire de Saint-André-le-Bas, 197).
    • 1285 : mention de la paroisse : parrochia de Humiliano (archives de la Drôme, E 600).
    • 1344 : prioratus de Humilhano (cartulaire Clayriaci [Clérieux], 65).
    • XIVe siècle : prioratus de Humiliano (pouillé de Vienne).
    • 1521 : prioratus Humilliani (pouillé de Vienne).

    Ce prieuré dépendait de l'abbaye de Saint-André-le-Bas (Vienne) dont le titulaire était collateur et décimateur dans la paroisse de Larnage. Ses biens étaient tenus en arrière-fief des barons de Clérieux.
    Il existait encore au XVIe siècle mais son emplacement précis, sur la commune de Larnage, était inconnu en 1891[12].

    De la Révolution à nos jours

    En 1790, la commune fait partie du canton de Tain[11].

    Politique et administration

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1790 1871  ?    
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1874  ?    
    1874 1878  ?    
    1878 1884  ?    
    1884 1888  ?    
    1888 1892  ?    
    1892 1896  ?    
    1896 1900  ?    
    1900 1904  ?    
    1904 1908  ?    
    1908 1912  ?    
    1912 1919  ?    
    1919 1925  ?    
    1925 1929  ?    
    1929 1935  ?    
    1935 1945  ?    
    1945 1947  ?    
    1947 1953  ?    
    1953 1959  ?    
    1959 1965  ?    
    1965 1971  ?    
    1971 1977  ?    
    1977 1983  ?    
    1983 1989  ?    
    1989 1995  ?    
    1995 2001 Max Osternaud DVD retraité (fonction publique)
    2001 2008 Max Osternaud   maire sortant
    2008 2014 Max Osternaud   maire sortant
    2014 2020 Max Osternaud   maire sortant
    2020 En cours
    (au 21 décembre 2020)
    Gérard Roberton[13][source insuffisante]    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[15].

    En 2018, la commune comptait 1 067 habitants[Note 3], en augmentation de 2,69 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    384521489537645675721741728
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    731737748767771705670706763
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    689703670592602562541542550
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    5145265666316637709409931 071
    2018 - - - - - - - -
    1 067--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Services et équipements

    La commune dispose d'une bibliothèque. Elle propose environ 700 livres pour les enfants et plus de 1000 pour les adultes. Des livres sont également prêtés par la médiathèque de Saint-Vallier[18].

    Enseignement

    La commune dispose d'une école allant de la petite section au CP[19].

    Aide sociale

    Le centre communal d'aide social (C.C.A.S.) informe et conseille. Il mène une action générale de prévention et de développement social en lien avec les institutions publiques[20].

    L'association Rephuge, crée en 2016, a pour objectif de faciliter l'accueil de la famille Almareï, des réfugiés syriens. Cette association compte une centaine d'adhérents[21].

    Manifestations culturelles et festivités

    Fête : le deuxième dimanche de septembre[22].

    Loisirs

    L'association Larnage Loisir propose des activités. En 2020, un atelier « découverte du travail du bois » a été organisé[23].

    L'ACCA est une association regroupant les chasseurs de la commune[24].

    Sports

    • L'association F.C.L.S (Football Club Larnage Serves) a été fondée en 1962 par la fusion entre L'AS Larnage et le FC Serves. L'équipe première des séniors participe au championnat de promotion d'excellence Drôme-Ardèche[25].
    • L'association des Rustines (fondée le 23 Janvier 2015) propose chaque année des activités de rando-cyclo de plusieurs kilomètres[26].

    Économie

    Agriculture

    Jusqu'au XXe siècle, les cultures étaient variées et nombreuses. Les habitants possédaient souvent des parcelles pour cultiver la vigne ou s'approvisionner en bois[1].

    En 1992 : vignes (vin AOC Crozes-Hermitage et Côtes-du-Rhône), vergers (abricots, cerises), apiculture (miel)[22].

    • Marché aux fruits (juin à août : abricots)[22].
    Viticulture

    La vigne est cultivée sur la commune depuis longtemps. Les coteaux de Crozes-Hermitage et de Côtes-du-Rhône ont obtenu la certification AOC en 1992
    . L'exposition lumineuse est favorable à l'exploitation viticole. Cet atout est renforcé par les graviers de feldspath qui augmentent la réverbération des rayons lumineux[1].

    Fruits

    La culture de l'abricot, sur environ 250 hectares, permet à la commune d'être l'une des plus productives de la Drôme[1].
    Des années 1950 à celles 1970, il y avait un marché aux abricots[1].
    Aujourd'hui, la production s'est intensifiée et s'organise autour des coopératives de Tain-l'Hermitage (le GIE) et de Tournon (la SCAF), où les producteurs livrent eux-mêmes leurs récoltes[réf. nécessaire].

    Industrie

    Exploitation des terres blanches

    Sur le territoire de la commune, il y a des carrières de terre réfractaire[22]. La Carrière de Terre Blanche de Larnage est une caractéristique de la commune.

    Depuis plusieurs siècles, les terres blanches de Larnage ont marqué l'économie locale.
    L'utilisation de la terre de Larnage est attesté en 1552 avec le potier Jehan Delome.
    Des tessons de poteries, remontant au milieu du XVIIe siècle, ont été découverts lors de fouilles archéologiques à Lyon et à Vienne[1]. Ils permettent de confirmer le travail de l'argile sur la commune de Larnage.
    Au XIXe siècle, l'artisanat fut remplacée par une production industrielle. Trois usines s'installent à Larnage. Elles utilisent une importante main d'œuvre et entrainent une forte exploitation des carrières.
    « Jusqu'à la dernière guerre, les carrières de Larnage fournissaient près de la moitié de la France en produits réfractaires, destinés essentiellement à la fabrication de fours à pain. »
    Le déclin de l'activité provoque, à la fin du XXe siècle, la fermeture des usines présentes à Larnage. Cependant l'exploitation des carrières et la production de kaolin n'ont jamais cessé[1].

    Aujourd'hui, l'entreprise Fayol (situé à Tain-l'Hermitage) exploite la carrière et continue de transformer le kaolin en différents produits réfractaires tel que des fours à bois commercialisés sous la marque Le Panyol à destination des particuliers et des professionnels des métiers de bouche[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Ruines du château médiéval[22] : enceinte quadrangulaire à tours circulaires aux angles du XVIe siècle[réf. nécessaire].
    Le château aurait été bâti au XIIe siècle par le seigneur de Larnaggio. Au XVe siècle, la riche famille Brunier modifie le château : trois tours sont construites, reliées par un rempart percé d'embrasures de tirs.
    En 1567, pendant les guerres de Religion, le château est ruiné par les huguenots.
    L'association Larnaggio, les amis du patrimoine a été créée pour protéger le site[27][source insuffisante].
    • Fontaine Sainte-Marguerite et son eau dite miraculeuse[réf. nécessaire].
    • Église du XIXe siècle[22].

    Patrimoine culturel

    Personnalités liées à la commune

    • Madame de Larnage, objet de la tendresse de J.-J. Rousseau[22].

    Héraldique, logotype et devise

    Larnage possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Yves Dumaine et Raymond Ponson, Histoire & histoires de Larnage.
    2. https://www.geoportail.gouv.fr/
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. « Dossier complet − Commune de Larnage (26156). Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    11. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 189 (Larnage).
    12. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 178 (Humilian).
    13. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    18. « La bibliothèque », sur www.larnage.fr (consulté le ).
    19. « Ecole de Larnage », sur www.larnage.fr (consulté le ).
    20. « C.C.A.S. », sur www.larnage.fr (consulté le ).
    21. « Rephuge », sur www.larnage.fr (consulté le ).
    22. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), p. Larnage.
    23. Gérard Roberton, Larnage le lien 2021, Larnage, La mairie de Larnage, , 39 p., p. 30.
    24. « ACCA », sur www.larnage.fr (consulté le ).
    25. « F.C.L.S. », sur www.larnage.fr (consulté le ).
    26. « Les rustines », sur www.larnage.fr (consulté le ).
    27. « Les amis du patrimoine », sur www.larnage.fr (consulté le ).
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