Lachaussée-du-Bois-d'Écu

Lachaussée-du-Bois-d'Écu est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Lachaussée-du-Bois-d'Écu

La gare.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Beauvaisis
Maire
Mandat
Bruno Gruel
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60336
Démographie
Gentilé Quenchillons, Quenchillonnes
Population
municipale
195 hab. (2018 )
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 33′ 35″ nord, 2° 10′ 27″ est
Altitude Min. 142 m
Max. 172 m
Superficie 5,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Lachaussée-du-Bois-d'Écu
Géolocalisation sur la carte : Oise
Lachaussée-du-Bois-d'Écu
Géolocalisation sur la carte : France
Lachaussée-du-Bois-d'Écu
Géolocalisation sur la carte : France
Lachaussée-du-Bois-d'Écu

    Le nom de la commune est parfois orthographié (à tort) La Chaussée-du-Bois-d'Écu.

    Géographie

    Localisation

    Village rural du plateau picard, situé à proximité de la RN 1 (devenue RD 1001), aisément accessible par les sorties  15 ou  16 de l'autoroute A16.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Lachaussée-du-Bois-d'Écu
    Francastel Puits-la-Vallée Froissy
    Luchy Maulers Noirémont

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 745 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[9] à 10,6 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Lachaussée-du-Bois-d'Écu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), zones urbanisées (5,1 %), forêts (0,4 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Toponymie

    Chaussée, un des premiers sens du mot est une « Levée de terre pour retenir l'eau d'une rivière, ou d'un étang, pouvant servir de chemin de passage »[réf. nécessaire]

    Histoire

    La voie romaine reliant Caesaromagus (Beauvais) à Samarobriva (Amiens) passant à La Chaussée, est sans doute à l'origine du nom du village.

    Les templiers possédaient une maison du Temple dite du Bois-d'Ecu qui est mentionnée en 1255[19] puis en 1278[20] et qui se trouvait légèrement à l'écart au nord-ouest du village[21]. Cette maison devient ensuite la commanderie du Bois-d'Écu après avoir été dévolue aux frères hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem au début du XIVe siècle[22].

    Cette commanderie devient ensuite un élément de la commanderie de Fontaine-sous-Montdidier[23].

    Le château fut détruit en 1592[24].

    Le village fut desservi par le chemin de fer secondaire à voie métrique reliant Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand de 1911 à 1953.

    La gare, au début du XXe siècle. Ligne Saint-Just - Crèvecœur
    Horaire de 1938.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Crèvecœur-le-Grand[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes de Crèvecœur-le-Grand Pays Picard A16 Haute Vallée de la Celle créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[27], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[28].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[29](et malgré les souhaits de la commune, qui aurait souhaité être rattachée à la communauté d'agglomération du Beauvaisis[30]), cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde (CCOP) est créée au [31] et comprend la commune.

    Toutefois, la commune et huit autres issues de l'ex-CCC, qui font partie de l'aire urbaine de Beauvais, protestent contre leur intégration au sein de la CCOP, et demandent leur rattachement à la communauté d'agglomération du Beauvaisis (CAB), en soulignant leur proximité territoriale avec la ville préfecture, et afin de voir leurs administrés profiter des équipements et des projets portés par la CAB[32] tout en évitant une forte augmentation de leur fiscalité locale liée à l'harmonisation des taux de ces impôts entre l'ex-CCC et l'ex-CCVBN[33].

    Au terme de ce processus, la commune intègre le la communauté d'agglomération du Beauvaisis, la portant ainsi à 53 communes[34].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1888 1935 M. Leclerq   Arrière-grand-père de Francis Watripon[35]
    1945 1977 Lucien Watripon   Père de Francis Watripon[35]
    1977 mars 2008 Francis Watripon    
    mars 2008[36] En cours
    (au 29 janvier 2020)
    Bruno Gruel   Réélu pour le mandat 2014-2020[37],[38]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

    En 2018, la commune comptait 195 habitants[Note 6], en diminution de 8,88 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    466447513446425406381384375
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    351342314313268260236244232
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    225224202178187152207207173
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    167157148139144166192196199
    2013 2018 - - - - - - -
    214195-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (23,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,3 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 21 %, 15 à 29 ans = 14 %, 30 à 44 ans = 28 %, 45 à 59 ans = 14 %, plus de 60 ans = 23 %) ;
    • 49,7 % de femmes (0 à 14 ans = 21,2 %, 15 à 29 ans = 11,1 %, 30 à 44 ans = 26,3 %, 45 à 59 ans = 17,2 %, plus de 60 ans = 24,2 %).
    Pyramide des âges à Lachaussée-du-Bois-d'Écu en 2007 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    2,0 
    13,0 
    75 à 89 ans
    8,1 
    10,0 
    60 à 74 ans
    14,1 
    14,0 
    45 à 59 ans
    17,2 
    28,0 
    30 à 44 ans
    26,3 
    14,0 
    15 à 29 ans
    11,1 
    21,0 
    0 à 14 ans
    21,2 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) qui regroupe Maulers, Lachaussée-du-Bois-d'Écu, Puits-la-Vallée, Oursel-Maison et Muidorge[44].

    Sécurité

    La commune conserve en 2017 son centre de première intervention (CPI) de sapeurs pompiers[45].

    Culture locale et patrimoine

    Défaite de Corréus, Tableau de Diogène Maillart, XIXe siècle.

    Lieux et monuments

    • Église Sainte-Restitute, reconstruite en 1829 après un incendie, en conservant les fenêtres du XVIe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    • Diogène Maillart, peintre né le à Lachaussée-du-Bois-d'Écu, premier grand Prix de Rome en 1864, décédé en 1926, élève de Léon Cogniet, Cornu et Laemlein. Il a peint deux plafonds du musée Condé à Chantilly[46].Il a peint aussi la Défaite de Corréus, événement lié à l'histoire locale.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Lachaussée-du-Bois-d'Écu et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Victor Leblond éd., Cartulaire de la maladrerie de Saint-Lazare de Beauvais comprenant 406 chartes conservées aux Archives hospitalières de cette ville, Paris, coll. « Publications de la Société académique de l'Oise. Documents, 7 », (présentation en ligne), xliv
      L'auteur indique que frère Gui de Basenville, connu comme commandeur des maisons du Temple en France entre 1249 et 1255 est alors commandeur du Bois-d'Ecu (1255) mais cela parait peu plausible. Il est vraisemblablement toujours maître de cette province à moins qu'il s'agisse d'un homonyme.
      .
    20. Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, (lire en ligne), p. 599.
    21. 49° 33′ 45″ N, 2° 09′ 56″ E , cf. carte de Cassini
    22. Valérie Bessey, Les commanderies de l'hôpital en Picardie au temps des chevaliers de Rhodes: 1309-1522, , 409 p. (présentation en ligne), p. 204-206 ; Mannier 1872, p. 599-601.
    23. Mannier 1872, p. 592-....
    24. « Lachaussée sur le Quid »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) (consulté le ).
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    27. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    28. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    29. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    30. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17 « Rappelons que plusieurs communes de l’ex-canton de Crèvecoeur, dont le chef- lieu, Francastel, Rotangy, Luchy, Maulers ou Muidorge ne souhaitaient pas rallier l’Oise picarde mais se rapprocher de la communauté d’agglo du Beauvaisis ».
    31. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    32. « La CAB voit plus grand », Beauvaisis notre territoire, no 33, , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    33. « Compte rendu du conseil municipal du 5 avril 2017 : Retrait de la communauté de communes de l'Oise Picarde et adhésion à la communauté d'agglomération du Beauvaisis », Crèvecœur Écoute - Bulletin municipal de Crèvecœur-le-Grand, , p. 7 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    34. Vincent Gautronneau, « L’agglo du Beauvaisis accueille en ce 1er janvier 6 000 nouveaux habitants : Crèvecœur-le-Grand et huit autres communes rejoignent, ce lundi, l’agglomération du Beauvaisis. Avec des changements notables dans le quotidien des habitants », Le Parisien, édition de l'Oise, (www.leparisien.fr/oise-60/l-agglo-du-beauvaisis-accueille-en-ce-1er-janvier-6-000-nouveaux-habitants-01-01-2018-7478919.php, consulté le ).
    35. « La Chaussée du Bois - Hommage : l'émotion de l'ancien maire », Le Bonhomme picard - édition de Grandvilliers, (ISSN 1144-5092).
    36. Le bonhomme picard du 26 mars 2008
    37. « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 15 (ISSN 1144-5092).
    38. « Brunoi Gruel brigue un nouveau mandat », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3587, , p. 20.
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. « Évolution et structure de la population à Lachaussée-du-Bois-d'Écu en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    43. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    44. « Une nouvelle école pour janvier 2018 : Maulers : les travaux de l'école ont commencé fin mai sur un terrain communal proche de la salle des fêtes », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3463, , p. 14.
    45. « Nouveau drapeau et jardin du souvenir : La commune a maintenu son centre de première intervention en équipant ses sapeurs-pompiers », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3447, , p. 14.
    46. Daniel Delattre, L'Oise : les 693 communes, Ed. Delattre, .
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