Laboratoire NT2

Support numérique offrant des données organisées systématiquement (ordre alphabétique, chronologique, etc.) autour d’un domaine précis. Un répertoire est orienté vers la recherche et la consultation[1].

Le répertoire du NT2 a débuté en 2006 et accepte toujours de nouvelles références. Il propose une recension des œuvres littéraires hypertextuelles et hypermédiatiques, ainsi que des œuvres d’art hypermédiatiques. En plus des éléments bibliographiques, les fiches contiennent une description de l’œuvre ou du site; une classification en fonction de la nature du site ou de l’œuvre, des formes d’interactivité et du format; et, dans certains cas, des notes de recherche ou techniques et des captures de navigation[2]. Il fait partie du projet CELL, qui aspire à unifier les taxonomies des divers répertoires d'œuvres littéraires numériques[3].

Ce partenariat regroupe divers acteur.ices de la chaîne du livre : auteurs·trices, éditeurs·trices, chercheurs·es, lecteurs·trices et organismes dédiés à la promotion de la littérature québécoise. Il vise leur mise en relation pour réfléchir sur l'évolution des pratiques d'écriture et de lecture[4]. Il vise à comprendre et documenter les pratiques contemporaines.

Ce projet de recherche donne lieu à 13 chantiers.

La coordination du pôle Montréal est assurée par Benoit Bordeleau et Sarah Grenier-Millette. La coordination du pôle Québec est assurée par Mélodie Simard-Houde.

Ce projet vise à accompagner des revues québécoises et canadiennes (scientifiques et culturelles) dans leur présence numérique par la création de sites web adaptés, notamment via Drupal[5]. Il leur assure l'interopérabilité avec la plateforme Erudit grâce à l'utilisation d'un module OAI-PMH (Open Archives Initiative - Protocol for Metadata Harvesting)[6]. L'objectif affiché est de permettre à l'utilisateur de rentrer facilement ses données via un CMS adapté, permettant leur export pour le site web et sous forme d'XMLErudit[7].

Le projet pilotes comportait quatre revues : Captures, Voix et Images, Estuaire et Lettres québécoises.

Ce projet questionne les tentatives d'épuisement du quotidien. Dans le contexte numérique, cet épuisement devient impossible[8].

Il a donné lieu à un carnet de recherche et un répertoire d'œuvres dédiées à cette question.

Il est dirigé par Bertrand Gervais (Chaire ALN, Laboratoire NT2), Joanne Lalonde (Laboratoire NT2), Alexandra Saemmer (LabEX H2H).

Ces expositions sont commissariées par un ou plusieurs membres du laboratoire, et mettent en avant des œuvres et des textes hypermédiatiques.

L'exposition s'intéresse à l'omniprésence du numérique dans les pratiques artistiques et de recherche[9]. Elle est évolutive depuis 2006[10].

Liée au colloque ELO2018 (organisé par l'Electronic Literature Organisation, ayant eu lieu à Montréal), cette exposition annonce comme thématiques : Remixes, Chroniques, Intersections et Traductions[11].

Cette exposition est commissariée par Gina Cortopassi. Les interfaces ont été développées par Sylvain Aubé et Robin Varenas.

L'exposition en ligne Uchronia|What if? a été élaborée à la suite de l'invitation du commissaire Philippe Riss-Schmidt lors de la 57^e édition de la Biennale d'art contemporain de Venise en 2017. Elle met en avant des artistes travaillant avec le web[12].

Cette exposition s'intéresse au rapport à l'espace à travers des outils numériques. Elle présente des oeuvres web interactives et hypermédiatiques[13]. Elle vise à donner un aperçu numérique de la ville de Montréal.

Elle se répartit entre trois volets :

• le lieu : poésie du territoire et intérêt pour la cartographie ;
• les voix : les lieux sont habités, ce volet d'intéresse à leur aspect social ;
• la mémoire : conserver l'histoire des lieux est une problématique de leur évolution, c'est ce qui est questionné dans cette dernière thématique.