La Possonnière

La Possonnière est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

La Possonnière

Le port.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Loire Layon Aubance
Maire
Mandat
Jacques Genevois
2020-2026
Code postal 49170
Code commune 49247
Démographie
Gentilé Possonnéen
Population
municipale
2 445 hab. (2018 )
Densité 133 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 22′ 34″ nord, 0° 41′ 06″ ouest
Altitude 24 m
Min. 12 m
Max. 67 m
Superficie 18,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chalonnes-sur-Loire
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
La Possonnière
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
La Possonnière
Géolocalisation sur la carte : France
La Possonnière
Géolocalisation sur la carte : France
La Possonnière

    Géographie

    Commune angevine implantée sur la rive nord de la Loire, La Possonnière se trouve à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest d’Angers, dans le Val de Loire.

    Située à l'extrémité orientale du Massif armoricain et à proximité du bassin sédimentaire de la Loire, elle fait face aux coteaux du Layon.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 635 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaulieu-S-Lay », sur la commune de Beaulieu-sur-Layon, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 609,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 74 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Possonnière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,8 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), terres arables (17 %), zones urbanisées (8,5 %), eaux continentales[Note 6] (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), forêts (1,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1851 1851 Félix De Romain    
    1853 1874 Pierre Richard    
    1874 1878 Prosper Richard    
    1878 1908 Gabriel Billard    
    1908 1929 René De Romain    
    1929 1935 Pierre Menard    
    1935 1951 René Rabineau    
    1951 1956 Maurice Courant    
    1956 1959 Raymond Fortin    
    1959 1965 Antoine Doussard    
    1965 1974 Yvon De Romain    
    1974 1977 Jean Gaudin    
    mars 1977 juin 1995 Jean Fouliard    
    juin 1995 mars 2014 Célestin Suhard DVG  
    mars 2014 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Jacques Genevois[21],[22] DVG Enseignant
    Vice-président de la CC Loire Layon Aubance
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes Loire-Layon-Aubance. Jusqu'en 2016 elle était intégrée à l'intercommunalité Loire-Layon qui regroupait 10 communes[23] et qui faisait partie de la structure administrative d'aménagement du territoire Pays de Loire en Layon[24].

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, La Possonnière fait partie du canton de Saint-Georges-sur-Loire et de l'arrondissement d'Angers[25]. Ce canton compte alors dix communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Chalonnes-sur-Loire, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[26].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1851. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 2 445 habitants[Note 7], en augmentation de 1,2 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    1 4681 4781 3781 5661 4281 4061 4071 5441 447
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    1 5291 4071 5181 4601 7231 4311 3491 4041 495
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
    1 5711 5101 5161 5191 8441 9622 1282 2892 310
    2008 2013 2018 - - - - - -
    2 3322 4162 445------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,9 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,9 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

    • 47,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,1 %, 15 à 29 ans = 15,3 %, 30 à 44 ans = 21,3 %, 45 à 59 ans = 22,5 %, plus de 60 ans = 19,9 %) ;
    • 52,3 % de femmes (0 à 14 ans = 20,3 %, 15 à 29 ans = 12,7 %, 30 à 44 ans = 21,2 %, 45 à 59 ans = 20,2 %, plus de 60 ans = 25,7 %).
    Pyramide des âges à La Possonnière en 2008 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    2,2 
    6,5 
    75 à 89 ans
    10,2 
    12,9 
    60 à 74 ans
    13,3 
    22,5 
    45 à 59 ans
    20,2 
    21,3 
    30 à 44 ans
    21,2 
    15,3 
    15 à 29 ans
    12,7 
    21,1 
    0 à 14 ans
    20,3 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[32].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,1 
    6,3 
    75 à 89 ans
    9,5 
    12,1 
    60 à 74 ans
    13,1 
    20,0 
    45 à 59 ans
    19,4 
    20,3 
    30 à 44 ans
    19,3 
    20,2 
    15 à 29 ans
    18,9 
    20,7 
    0 à 14 ans
    18,7 

    Économie

    Sur 129 établissements présents sur la commune à fin 2010, 16 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 11 % du secteur de la construction, 49 % de celui du commerce et des services et 18 % du secteur de l'administration et de la santé[33]. Fin 2015, sur les 177 établissements actifs, 10 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 54 % de celui du commerce et des services et 17 % du secteur de l'administration et de la santé[34].

    Lieux et monuments

    • La commune se trouve dans le Val de Loire tel qu'inscrit en 2000 sur la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO. L'inscription concerne le périmètre situé entre Sully-sur-Loire et Chalonnes-sur-Loire, sur une longueur de 280 km[35].
    • La Loire à vélo, véloroute française de 800 km et l'Eurovéloroute des fleuves entre la Mer Noire et l'Atlantique (3 653 km).
    • L'église Saint-Jacques (XIXe siècle).
    • La Taverne du Prieuré dont la fondation, place du Pilori, remonte au début du XIVe siècle est le plus vieil édifice de la commune. Au cours des années, elle a successivement porté les noms d'« Auberge du Croissant Couronnée » en mémoire du roi René, « Au Grand Louis » en souvenir de Louis XIV et « Auberge de l'Ancre de la Marine » sous la Révolution[36].
    • La gare SNCF, à la bifurcation des lignes Angers-Nantes et Angers-Cholet. Elle fut, jusqu'à sa disparition en 1948, une halte sur le réseau ferroviaire du Petit Anjou.
    • Le port sur la Loire[37] avec les bateaux traditionnels, futreaux, toues, et gabares.
    • Le Pont de l'Alleud et ses 17 arches.
    • Le moulin de la Roche, moulin à vent construit dans le seconde moitié du XVIIe siècle, agrandi en 1860 et en service jusqu'en 1914[38]. Classé monument historique en 1977, il a été restauré et remis en vent pour le tourisme en 1980[39].
    • Le parc animalier Le jardin des kangourous et le mini-golf géant de l'Arche ouvert en 2017.

    Personnalités liées à la commune

    • René d'Angers, saint légendaire à ne pas confondre avec René d'Anjou, roi de Naples (1409-1480). Fils de Bononie, une noble matrone, il serait né au château de la Possonnière et serait mort en bas âge avant même d'être baptisé. Il aurait été miraculeusement ressuscité (re-né) par Saint Maurille d'Angers, évêque auquel il aurait succédé vers 437. On le fête le 12 novembre.[réf. nécessaire]
    • Jean-Baptiste du Chilleau (1735-1824), aumônier des reines Marie Leszczynska et Marie-Antoinette d'Autriche. Son cœur repose dans la chapelle Saint-René du château de la famille de Romain à La Possonnière.[réf. nécessaire]
    • Adolphe Tabarant (1863-1950), journaliste et écrivain, est né à La Possonnière.
    • Jorj Morin (1909-1995), artiste peintre, graveur et dessinateur publicitaire, a passé les dernières années de sa vie à La Possonnière où il est inhumé.
    • Odette Rousseau-Balesi (1927-2012), parachutiste, recordwoman du monde de chute libre en 1955, est inhumée dans le cimetière de La Possonnière[40].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Beaulieu-S-Lay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Possonnière et Beaulieu-sur-Layon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Beaulieu-S-Lay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Possonnière et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Ouest-France, Le nouveau visage du conseil municipal, article du 2 avril 2014.
    22. « La Possonnière. Jacques Genevoix entame son deuxième mandat de maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    23. Insee, Composition de l'EPCI de Loire Layon (244900833), consulté le 4 août 2013.
    24. Insee, Observation sociale du territoire du Pays de Loire en Layon, février 2007.
    25. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de La Possonnière, consultée le 15 février 2015.
    26. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Évolution et structure de la population à La Possonnière en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    32. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    33. Insee, Statistiques locales du territoire de La Possonnière (49), consultées le 5 mai 2013.
    34. « Dossier complet - Commune de La Possonnière (49247) », sur Insee, (consulté le ).
    35. « Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes », sur UNESCO Centre du patrimoine mondial, 2000-2017 (consulté le ).
    36. « Histoire de la Possonnière », sur Mairie de La Possonnière (www.la-possonniere.fr) (consulté le ).
    37. « Découvrir votre commune - Tourisme », sur Mairie de La Possonnière (consulté le ).
    38. « Moulin à vent dit Moulin de la Roche », sur Patrimoine de France (consulté le ).
    39. « Moulin a vent dit Moulin de la Roche ou de la Franchaie », notice no PA00109232, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Une rue et une exposition pour Odette Rousseau-Balesi », sur Ouest-France, .
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