La Pellerine (Maine-et-Loire)
La Pellerine est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Pour les articles homonymes, voir La Pellerine.
La Pellerine | |||||
L'abside de l'église Saint-Aubin. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Baugeois Vallée | ||||
Maire Mandat |
Christian Boitteau 2020-2026 |
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Code postal | 49490 | ||||
Code commune | 49237 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pellerinois | ||||
Population municipale |
135 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 27′ 42″ nord, 0° 07′ 26″ est | ||||
Altitude | 98 m Min. 54 m Max. 97 m |
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Superficie | 5,3 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Beaufort-en-Anjou | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, au sud de Méon et au nord de Courléon, enclavée au sein de Noyant-Villages.
Géographie
Localisation
Ce village angevin de l’ouest de la France se situe dans l'Est du Baugeois, au sud de Noyant, sur la routeD 142 qui va de Méon (au nord) à Parçay-les-Pins (au sud). Baugé se trouve à 19 km et Saumur à 27 km[1],[2].
Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Elle est délimitée au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[3].
Aux alentours
Les communes les plus proches sont Breil (3 km), Linières-Bouton (4 km), Méon (4 km), Parçay-les-Pins (4 km), Noyant (6 km), Meigné-le-Vicomte (7 km), Dénezé-sous-le-Lude (8 km), Mouliherne (8 km), Courléon (8 km) et Auverse (8 km)[2].
Géologie et relief
L'altitude de la commune varie de 54 à 97 mètres[4]. Son sous-sol se compose de grès tertiaire et calcaire d'eau douce. On trouve aussi quelques alluvions anciennes au Sud[5].
Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[6], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.
Son territoire s'étend sur plus de 5 km2 (530 hectares)[4]. Une enclave de la commune se situe sur le territoire de Parçay-les-Pins.
La Pellerine se situe sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[7]. Une partie de la commune est classée en zone Natura 2000, pour le lac de Rillé et les forêts avoisinantes, et en zone naturelle d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour les zones des massifs forestiers de la Breille, de Pont Ménard, de la Graine de sapin et zones de transition[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Channay/lathan », sur la commune de Channay-sur-Lathan, mise en service en 1992[15] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 710,4 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le département d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et à 47 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[19], à 11,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[21].
Urbanisme
Typologie
La Pellerine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[22],[23],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].
Morphologie urbaine : Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.
En 2009 on trouvait 94 logements sur la commune de La Pellerine, dont 71 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 76 % des ménages en étaient propriétaires[27]. En 2013, on y trouvait 95 logements, dont 73 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 79 % des ménages en étaient propriétaires[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,6 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), prairies (10 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (6,9 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].
Enclave de la Pellerine
Une partie de son territoire était quasi enclavée dans la commune voisine de Parçay-les-Pins jusqu'en 2017. Depuis le , à la suite de la fusion des quatorze communes de la communauté de communes du canton de Noyant entourant La Pellerine, c'est l'intégralité de la commune qui s'est vue enclavée dans la commune nouvelle de Noyant-Villages.
Toponymie
Formes anciennes du nom : Ecclesia in page Andegavo cum villula (...) en 974, Obedientia Preregrina en 1060, La Pelerine vers 1200, La Pellerine aux XVIe et XVIIIe siècles[5].
Origine du nom : La Pellerine était à l'origine un lieu d'étape pour les voyageurs, sans qu'ils effectuent pour autant un pèlerinage[31].
Une autre commune porte le nom de « La Pellerine » : La Pellerine (Mayenne).
Nom des habitants : les Pellerins ou les Pellerinois[31].
Histoire
Moyen Âge
Dès le Xe siècle, La Pellerine est un petit centre (villula), avec des moulins sur le ruisseau, une église et un marché[5].
Ancien Régime
Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé, de son grenier à sel, et sur le plan religieux du diocèse d'Angers et du doyenné de Bourgueil[5].
Époque contemporaine
Avec la réorganisation administrative sous la Révolution, La Pellerine devient en 1790 une commune du département de Maine-et-Loire. Elle est rattachée successivement au canton de Parçay, puis à celui de Mouliherne en 1791, et enfin à celui de Noyant en 1801[5]. Ce dernier est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[32]
Politique et administration
Administration municipale
La commune est érigée en municipalité en 1790[32]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[33].
Jumelages
La commune ne comporte pas de jumelage[36].
Intercommunalité
La Pellerine fait partie, de 2001 à 2016, de la communauté de communes du canton de Noyant. Cette structure intercommunale regroupait les quinze communes du canton, dont Breil, Linières-Bouton, Méon, Noyant et Parçay-les-Pins[37],[38]. La communauté de communes était membre du Pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire, comprenant six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué et Portes-de-l'Anjou.
La commune fait, à cette époque, également partie du SICTOD Nord Est Anjou, membre du SIVERT, syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l'Est Anjou qui se trouve à Lasse[39], et du SIVU AEP de la région de Noyant pour le traitement de l'eau potable[37].
Le , La Pellerine devient membre de la nouvelle communauté de communes, Baugeois Vallée.
Autres circonscriptions
Jusqu'en 2014, La Pellerine fait partie du canton de Noyant et de l'arrondissement de Saumur[40]. Ce canton compte alors les quinze mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[41].
La commune fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons, dont Baugé et Longué-Jumelles. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].
En 2018, la commune comptait 135 habitants[Note 5], en diminution de 14,56 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (29,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,9 % contre 48,4 % au niveau national et 48,6 % au niveau départemental).
Vie locale
Hormis la mairie, il n'existe pas de services publics sur la commune. Il faut se rendre à la commune voisine de Breil ou bien à Noyant[37].
L’hôpital local le plus proche se trouve à Baugé (95 places) ainsi que plusieurs maisons de retraite[47].
La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du Canton de Noyant[39].
Économie
Tissu économique
Commune principalement agricole, en 2009, sur les 15 établissements présents sur la commune, 40 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 18 % sur le département)[48]. L'année suivante, en 2010, sur 15 établissements présents sur la commune, 40 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, aucun du secteur de la construction, 40 % de celui du commerce et des services et 13 % du secteur de l'administration et de la santé[27].
Sur 17 établissements présents sur la commune à fin 2013, 24 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 53 % de celui du commerce et des services et 12 % du secteur de l'administration et de la santé[28].
Agriculture
Liste des appellations présentes sur le territoire[49] :
- IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine,
- IGP Rillettes de Tours, IGP Œufs de Loué,
- IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Bâtiment inscrit aux monuments historiques[50] :
- Église paroissiale Saint-Aubin, des Xe XVe XVIIIe et XIXe siècles, Monument historique classé par arrêté du (PA49000063) en totalité[51].
Autres ouvrages inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[50] :
- Plusieurs maisons et fermes, des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ;
- Plusieurs moulins, des XVIIIe et XIXe siècles ;
- Presbytère du XVIIIe siècle.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail La Pellerine (49), consulté le 3 juin 2012.
- Lion1906, Distances orthodromiques à partir de La Pellerine (49), consulté le 3 juin 2012 - Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- P.Wagret J.Boussard J.Levron S. Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Horizons de France, 1951, p. 10.
- IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 - Données consultables sur WikiAnjou.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, 1874-1878, Édition révisée de 1989 par André Sarazin et Pascal Tellier, t. 3, p. 124 et suivantes.
- Comité météorologique départemental, Les régions naturelles, le climat, consulté le 24 mai 2011.
- Département de Maine et Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine et Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Le Polygraphe Éditeur, 2003, p. 58 à 71 - Données consultables sur WikiAnjou.
- DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 3 juin 2012.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
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- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- Insee, Statistiques locales du territoire de La Pellerine (49), consultées le 23 juiuillet 2016.
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- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Cheminements, 2005, p. 126.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
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- SIVERT Est Anjou, SICTOD Nord Est Anjou, consulté le 6 février 2011 - Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères et des déchets de la région Nord-Est d'Anjou regroupant dix-huit communes.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de La Pellerine (49), consultée le 21 février 2015.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Fédération Hospitalière de France, Hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (Baugé), consulté le 9 novembre 2011.
- Insee, Statistiques 2009 du territoire de La Pellerine, consultées le 3 juin 2012.
- INAO, Fiche de La Pellerine (49), consultée le 3 juin 2012 - AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
- Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée consultée le 10 février 2011.
- « Église Saint-Aubin », notice no PA49000063, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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