Katia Canciani
Katia Canciani ( à Montréal au Canada-) est une écrivaine et une aviatrice canadienne.
Biographie
Sa jeunesse
Née en 1971 d’une mère bretonne émigrée au Canada à l’âge de six ans et d’un père gascon venu visiter l’Expo 67, Katia Canciani a vécu toute sa jeunesse à Blainville, en banlieue de Montréal. Petite, elle se passionne pour mille choses, dont la lecture, le dessin et l’écriture. Elle gagne un premier concours d’écriture à l’âge de 8 ans, dans le journal La Terre de Chez Nous, puis un autre à l’âge de 9 ans, à l’école Plateau Saint-Louis. Elle y reçoit alors en récompense le roman Plumeneige, de l’auteure jeunesse québécoise Cécile Gagnon, qu’elle conservera toujours, tout comme son premier exemplaire du Petit Prince, qu’elle découvre la même année par le biais d’une saynète montée en classe par son enseignante et où la jeune élève est désignée narratrice. Sa facilité dans les matières scolaires lui permet de compléter deux années en une à l’école primaire. Ses parents l’inscrivent ensuite dans un collège privé à Montréal, le Collège Français. Elle y obtiendra son diplôme d’études secondaires en 1987.
Adolescente, dévoreuse de livres, elle se voit zoologiste et se perd dans des savanes imaginaires, mais à la fois inspirée par Saint-Exupéry et les voyages familiaux en France, c’est une autre passion qui la tenaille à 14 ans : l’aviation. Alors qu’elle travaille comme cueilleuse de fraises afin d’amasser de l’argent pour devenir pilote, un jeune garçon lui apprend que le mouvement des Cadets de l'aviation royale du Canada offre justement des bourses en ce sens. Katia Canciani devient ainsi membre de l’escadron 806 Sainte-Thérèse. Elle s’épanouit dans cet environnement où l’aviation, le leadership et l’amitié prennent toute la place. Elle créera la devise de l’escadron « Toujours plus haut, toujours plus loin » et son premier blason orné d’un castor. Elle accumule les récompenses : Recrue féminine de l’année en 1986, Cadette de l’année en 1987, Trophée de Pilotage en 1988, Instructeur de l’année en 1988 et 1989. Grâce à son engagement et son étude acharnée, elle y décroche son permis de pilote de planeur à l’âge de seize ans, puis sa licence de pilote privé sur avion à l’âge de dix-sept ans.
Les années de collège
Ne voulant déplaire à ses parents qui souhaitent qu’elle poursuive une formation universitaire, Katia entreprend des études en Sciences pures et appliquées au Cégep Lionel-Groulx dans l’intention de devenir ingénieur aéronautique. Mais son désir de voler est si grand qu’elle fait finalement une demande d’admission dans les Forces armées canadiennes et au collège d’aviation de Chicoutimi afin de poursuivre son rêve de devenir pilote professionnelle.
Elle est admise en 1988 au très contingenté programme de pilotage d’aéronef offert au Centre québécois de formation aéronautique (CQFA) du Cégep de Chicoutimi, puis, quelques mois plus tard, comme pilote dans les Forces armées canadiennes. Elle fera cependant le choix de demeurer au collège d’aviation afin de devenir pilote de brousse, une spécialisation jusque-là réservée aux étudiants masculins. Mais l’obtention par Katia Canciani de la très médiatisée Bourse d’études Défi en 1990 (un concours organisé par l’AFÉAS et Bell qui récompense les jeunes femmes de la relève professionnelle osant sortir des sentiers battus) devient l’outil qui lui permet de consolider son choix aux yeux de tous et lui ouvre les portes du programme tant désiré. Au cours de ses études, Katia reçoit la Bourse Roméo-Vachon, décernée au meilleur étudiant de 2e année, et la Bourse de l’association étudiante. Elle est aussi présidente du bureau voyage du Cégep et travaillera à l'été 1989 comme fille de quai pour Delco Aviation, à Laval-des-Rapides. Un accident d’hydravion en solo, le 6 septembre 1990, secouera la jeune pilote, mais n’affectera pas sa détermination à atteindre son but.
En 1991, Katia Canciani trace la voie en devenant la première femme diplômée en pilotage de brousse dans l’histoire du Cégep de Chicoutimi. Dans les années qui suivent, d’autres jeunes femmes obtiennent ce diplôme spécialisé leur permettant d’œuvrer dans un métier occupé traditionnellement par des hommes.
La pilote professionnelle
Après l’obtention de son diplôme d’études collégiales, Katia Canciani met les voiles pour l’Ouest canadien, où elle œuvre d’abord comme monitrice de français à l’école Prince-Charles, à Portage-la-Prairie au Manitoba. Elle en profite pour perfectionner sa connaissance de l’anglais. Puis, à la suite d'un contrat de traduction des manuels de l’école de pilotage des Forces canadiennes, elle intègre l’équipe du Canadian Aviation Training Center (une division de la compagnie aéronautique Bombardier), d’abord comme instructrice au sol et coordonnatrice de l’entraînement des francophones, puis comme instructrice de vol et de voltige où elle est chargée de la formation initiale des pilotes militaires canadiens sur des avions de type Slingsby T-67 Firefly.
Katia Canciani revient au Québec en 1995. Elle œuvre quelques mois au Regional Jet Training Center de Bombardier, à Montréal, en tant que coordinatrice de l’entraînement des pilotes, puis à la suite de la naissance de son premier enfant, elle redevient instructrice de vol chez Aéro-Taxi à l’aéroport de Saint-Hubert, en 1997. Katia Canciani décide alors de suspendre sa carrière de pilote professionnelle afin de se consacrer à sa petite famille, à laquelle deux autres deux autres enfants viendront s’ajouter.
En 2011, Katia Canciani revalide sa licence de pilote professionnelle et son annotation d’instructrice de vol. Elle travaille ensuite tantôt comme instructrice au sol, instructrice de vol et directrice adjointe des opérations chez Gatineau Aviation, Découvairte Aviation et Lachute Aviation avant de cofonder sa propre école de pilote, École de pilotage Évolution à Gatineau en 2015, qu’elle cède au copriétaire en 2016. Elle complète son cours de Spécialiste de l’information de vol (FSS) chez Nav Canada, sans obtenir sa qualification, en 2017. Elle fait ensuite le saut chez Transports Canada dans la division des Plans d’urgence et de contingence de l’Aviation civile, d’abord en tant qu’officier puis rapidement comme gestionnaire intérimaire. C’est dans ce rôle qu’elle est amenée à représenter de le Canada au Comité du Groupe de Transport – Aviation civile, de l’OTAN. Elle est élue Présidente de ce comité en juin 2019, pour une période de 3 ans. En 2020, à la suite de la tragédie du vol PS-752, Katia Canciani est invitée à mettre sur pied le nouveau Bureau d’information sur les zones de conflits chez Transport Canada, dont le mandat inclut le développement et la mise en œuvre de l’Initiative pour des ciels plus sûrs du Canada (Safer Skies Initiative). Elle met sur pied et préside un comité international, le Safer Skies Consultative Committee, et organise le premier forum international entièrement consacré à l’atténuation des risques liés aux opérations à proximité des zones de conflit, le Safer Skies Forum, en décembre 2020.
La Fondation Aérovision Québec l'ajoute à sa prestigieuse liste de pionnières québécoises[1] en mai 2020.
L'écrivaine
Au cours des années 2000, Katia Canciani vit en Ontario, puis en Nouvelle-Écosse. À cette époque (de 2000 à 2003), elle complète un baccalauréat en communication[2] avec la TÉLUQ, collabore au journal de son université en y tenant une chronique de voyage[3]et cofonde un regroupement culturel francophone, Le Franco-Phare. Elle reçoit le prix du Lieutenant-gouverneur général du Québec, de même qu’une bourse de l’association étudiante, au terme de ses études universitaires.
Littérature générale
Afin de célébrer cet accomplissement, en octobre 2003, elle se rend en Espagne en solitaire. Lors de sa visite à l’Alhambra, elle se trouve tout à coup envahie par une idée de roman. De retour au bercail, elle tente de se convaincre de l’absurdité du projet, mais il lui est désormais impossible de trouver le sommeil… Elle cède enfin à son impérieux besoin d’écrire.
En 2006, Katia Canciani publie un premier roman, Un jardin en Espagne. Retour au Généralife[4]aux Éditions David. Cette première œuvre, encensée par la critique[5], est finaliste au Prix des lecteurs Radio-Canada[6](2007) et au Prix Éloizes[7](2007).
En 2009, Katia Canciani publie son deuxième roman de littérature générale, 178 secondes[8], toujours aux Éditions David. Cette œuvre reçoit le Prix littéraire des enseignants AQPF-ANEL dans la catégorie « Roman 15 ans et plus »[9],[10] en 2010 et est finaliste au Prix Antonine-Maillet[11]Acadie Vie en 2010. Dans cette œuvre, l’écrivaine donne une vie de papier à son premier neveu, Nicola Canciani, décédé tragiquement à l’âge de 3 mois en 1991. Dans son premier roman déjà, l’écrivaine soulèvera le thème de la mort d’un enfant, sans toutefois se sentir la force de le mener de front. 178 secondes se verra ainsi une façon de faire le deuil, avec plus d’une décennie de retard, sur cet évènement l’ayant profondément marquée. Le roman, qui reçoit un accueil senti des lecteurs en fin d’adolescence, est intégré au programme de lecture de plusieurs écoles à travers le Canada.
En 2009, Katia Canciani publie également un récit épistolaire, Lettre à Saint-Exupéry[12] chez Fides, où elle raconte son parcours d’écrivaine, de pilote et de mère sous forme d’une discussion fictive avec son héros de jeunesse[13]. Elle illustrera ce texte intimiste, qui n'avait pas été écrit avec l'intention d'être publié, de ses propres aquarelles.
Littérature jeunesse
En cours d’écriture de son premier roman, pour faire plaisir à ses enfants qui lui réclament des histoires Katia Canciani se met à écrire pour la jeunesse, un genre qui convient particulièrement à son imagination débordante et à son amour de l’illustration.[réf. nécessaire]
L’auteure publie sa première œuvre destinée aux jeunes lecteurs, La princesse Pop Corn, dans le magazine J’aime lire en 2006. Plus d’une quarantaine d’autres publications destinées à la jeunesse verront le jour au cours des années suivantes, allant de l’album au roman, dont les séries Crinière au vent [14](édité chez Hurtubise HMH, réédité chez Hachette France en 2019[15]), Mon meilleur ami [16](Bayard Canada, ill. Christine Battuz; dont le titre Samuel la tornade reçoit le Prix Communications et société en 2010[17]) et Sam Chicotte (chez Bayard Canada). Elle publie un deuxième titre dans le J’aime lire, Pilote en détresse, une histoire inspirée par la pilote de brousse québécoise Elza Laroche, la jeune femme ayant complété son cours l’année suivant Katia Canciani. Son amour pour l’aviation se retrouve aussi dans le magnifique album L’envolée d’Antoine[18] (Éditions de l’Isatis, ill. Félix Girard), qui raconte la réalisation d’un rêve par un enfant malade. La scène du vol à proximité d’un aigle est d’ailleurs inspirée d’un fait réel vécu par l’auteure lors d’un vol en planeur. Son album Pique la lune[19] (Éditions de l’Isatis, ill. Félix Girard) est une petite biographie d’Antoine de Saint-Exupéry pour les enfants. À l’instar de toute biographie qui se respecte, tous les éléments de l’histoire sont le fruit d’une recherche rigoureuse et inspirés de faits réels. Avec cet album, Katia Canciani tient à présenter aux enfants l’exemple de courage, de détermination et d’amitié légué par Antoine de Saint-Exupéry. Cet album est finaliste au Prix Tamarac Express[20] en 2009. En hommage à son grand-père paternel, Katia Canciani écrit le magnifique album Sofia et le marchand ambulant [21](Les 400 coups, ill. Antoine Déprez). L’album reçoit le Prix Saint-Exupéry – Sélection Francophonie[22] en 2020. Il est aussi finaliste au Prix Tatoulu 2021[23], au Prix Chronos 2021[24] et au Prix Peuplier 2021[25]. Son album Pet et Répète : la véritable histoire[26], (Fonfon, ill. Guillaume Perreault) reçoit un accueil populaire marqué au Québec lors de sa parution en 2019[27]. Il est finaliste au Prix Mélèze[28] (2021). Certains des titres de Katia Canciani sont traduits en coréen, mandarin, espagnol et turc. Son premier titre traduit en anglais est La cabane[29] (Bouton d’or Acadie, ill. Christian Quesnel), publié chez Breakwater Books[30] sous le titre The Ice Shack en 2021. La sensibilité, les valeurs humanistes et l’humour caractérisent l’écriture de cette auteure qui aime cultiver chez les jeunes la passion des mots, l’estime de soi et la persévérance.[réf. nécessaire]
Vie littéraire et autres œuvres
Au fil des ans, Katia a participé à de nombreux salons du livre en tant qu’auteure invitée, rencontré des lecteurs d’un bout à l’autre du Canada, offert des ateliers d’écriture et été membre de plusieurs jurys littéraires. Elle a aussi été conviée à participer au recueil célébrant les 20 ans de la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur[31]; de même qu’à la 13e édition de Livres comme l’air d’Amnesty International, alors qu’elle était jumelée à l’écrivain philippin emprisonné Ericson Acosta[31]. En 2010, l’écrivaine signe le texte d’une œuvre de verre de l’artiste multidisciplinaire québécoise Guylaine Renière, donnant ainsi naissance à un livre d’artistes unique, La Musette[32],[33],[34]. Elle écrit le scénario d'un court-métrage d'animation de même que tous les dialogues des bornes interactives des personnages de l'univers Benjo, à Québec, en collaboration avec le studio Squeeze.
Outre ses œuvres publiées, Katia Canciani a aussi été pigiste pour le journal Le courrier de la Nouvelle-Écosse, a écrit des articles dans des magazines et fait paraître quelques nouvelles. Katia Canciani a travaillé comme responsable des communications du Salon du livre de l’Outaouais en 2016.
Bibliographie
Récit épistolaire
Lettre à Saint-Exupéry, avec illustrations de l'auteure, Éditions Fides (2009)
Romans
178 secondes, Éditions David (2009) [Réédition en format poche 2012]
- Prix littéraire des enseignants AQPF-ANEL « Roman 15 ans + » (2010)
- Finaliste au Prix littéraire Antonine-Maillet-Acadie Vie (2010)
- Finaliste au Prix Frye Académie (2012)
Un jardin en Espagne. Retour au Généralife, Éditions David (2006) [Réédition en format poche 2012]
- Finaliste au Prix des lecteurs Radio-Canada (2007)
- Finaliste aux Prix Éloizes « Artiste de l’année en littérature » (2007)
Littérature jeunesse
Sonia d’Or, 2. Un camp mystère, court roman, réédition aux Éditions Hachette France (2020)
Pet et Répète : la véritable histoire, album, illustrations de Guillaume Perreault, Éditions Fonfon (2019)
- Finaliste au prix littéraire Mélèze (2021)
Sofia et le marchand ambulant, album, illustrations de Antoine Desprez, Éditions Les 400 coups (2019)
- Récipiendaire du Prix Saint-Exupéry – Volet Jeunesse – Francoponie (2020)
- Finaliste au prix littéraire Chronos (2021)
- Finaliste au prix littéraire Peuplier (2021)
- Finaliste au prix littéraire Tatoulu (2021)
Sonia d’Or, 1. Si j’avais un poney…, court roman, réédition aux Éditions Hachette France (2019)
La cabane, album, illustrations de Christian Quesnel, Éditions Bouton d’or Acadie (2019)
- Traduction en anglais The Ice Shack, Breakwater Books (2021)
Le multiplicator de Pâques, petit roman, illustrations de Paul Roux, Éditions Bayard (2019)
L’attaque du Griffetor, petit roman, illustrations de Paul Roux, Éditions Bayard (2018)
L’attaque du Voletor, bande dessinée, illustrations de Paul Roux, magazine Mes premiers J’aime lire (Québec), no24 (2018)
Théo, apprenti détective, petit roman, illustrations de Jean Morin, Éditions Bayard (2017)
- Finaliste au prix littéraire Tamarac Express - Forêt de la lecture (2018)
Mirmaëlle, fée des dents : Un Noël surprenant, petit roman, illustrations de Jessica Lindsay, Éditions Bayard (2016)
Pique la lune, album, illustrations de Félix Girard, Éditions de l’Isatis (2015)
- Traduction en turc, coréen, mandarin et espagnol
- Finaliste au prix littéraire Tamarac Express - Forêt de la lecture (2017)
Mirmaëlle, fée des dents : Une mission sans peur, petit roman, illustrations de Jessica Lindsay, Éditions Bayard (2015)
Courage, Dafné!, album, illustrations de Julie Cossette, Éditions Ma Bulle (2015)
Le voyage en Chine, petit roman, illustrations de Leanne Franson, Éditions Bayard (2015)
- Finaliste au prix littéraire Tamarac Express - Forêt de la lecture (2016)
Le dromadaire au nez rouge, court roman, illustrations de Leanne Franson, Soulières Éditeur (2014)
L’envolée d’Antoine, album, illustrations de Félix Girard, Éditions de l’Isatis (2014)
- Traduction en turc
Pilote en détresse, petit roman, illustrations de Glen Chapron, magazine J’aime lire (France) no442, novembre 2013. / Magazine J’aime lire (Québec), mars 2015.
Série « Mon meilleur ami », albums, illustrations de Christine Battuz, Éditions Bayard.
- Billy la bulle (2013)
- Léon la cible (2012)
- Karim le kaki (2010)
- Rosalie la ronde (2010)
- Frédéric le méli-mêlé (2009)
- Kimmy la lune (2008)
- Samuel la tornade (2007)
- Prix Communication et société, catégorie jeunesse (2009)
Série « La bataille », petits romans, illustrations de Julie Deschênes, Éditions Bayard.
- La bataille des plaines (2013)
- La bataille d’oreillers (2012)
- La bataille au sommet (2010)
- La grande bataille (2009)
Un écureuil coquin, album, illustrations d’Alain Matte, E.R.P.I. (2012)
Série « Les aventures de Sam Chicotte », courts romans, illustrations de José Vinciarelli et Ghislain Ouellet, Éditions Bayard
- Le trèfle d’Irlande (2012)
- Le talisman du Mexique (2012)
- La lumière de New York (2012)
- Les crapauds de Fort Lennox (2012)
- La potion du Grand Nord (2011)
- Les baleines des Îles-de-la-Madeleine (2011)
Le secret des diamants, petit roman, illustrations de Geneviève Côté, Éditions Bayard (2010)
Girofle déménage, album, illustrations de Céline Malépart, E.R.P.I. (2010)
Série « Crinière au vent », courts romans, illustrations de Roselyne Cazazian, Éditions Hurtubise HMH
- 3. Poney en cavale (2010)
- 2. Un camp mystère (2008)
- 1. Si j’avais un poney (2007)
Poussièra, album, illustrations de Julie Cossette, Éditions Bayard (2008)
- Finaliste au Prix littéraire France-Acadie (2009)
Série « Riquili », albums, illustrations d’Anne-Marie Sirois, Éditions Bouton D’or Acadie,
- Riquili apprend les consonnes (2009)
- Riquili apprend les voyelles (2008)
- Riquili apprend à compter (2007)
Le château qui puait trop, album, illustrations d’Anne-Marie Sirois, Éditions Bouton D’or Acadie (2008)
La princesse Pop Corn, petit roman, illustrations de Benoît Laverdière, magazine J’aime lire (Québec) No193 (2006) [Réédité aux Éditions Bayard (2009)]
Nouvelles
Fourmillements, nouvelle, revue Ancrages, printemps 2007, Moncton, Nouveau-Brunswick.
Extrait de mon journal : sui generis, nouvelle, revue Virages, printemps 2005, Ottawa, Ontario.
Saint-Roch priez pour nous, nouvelle, collectif, recueil Auteurs recherchés 2004, 2004, Québec.
Autres
Rencontrer ses peurs, récit, recueil sous la direction de Marcel Leboeuf et Marilou Brousseau, Éditions Le Dauphin Blanc, 2014.
Paroles de Musette, poésie, livre d’artistes en collaboration avec l’artiste visuelle Guylaine Renière, 2012.
Articles variés, magazine Lurelu.
Articles variés, journal Le Courrier de la Nouvelle-Écosse, 2006 à 2007.
Inspirations de voyage, chronique, journal Le Sans-Papier de la Téluq, 2002 à 2003.
Notes et références
- « Katia Canciani, pilote et écrivaine », sur aerovision.org (consulté le )
- « Bachelière de la Téluq - Obtenir un diplôme du Québec sans quitter l'Ontario », sur Le Devoir (consulté le )
- « REFAD - Actes du colloque », sur archives.refad.ca (consulté le )
- Éditions David, « Un jardin en Espagne », sur Éditions David, (consulté le )
- Antonio D’Alfonso, « Katia CANCIANI, Un jardin en Espagne. Retour au généralife, roman, Éditions David, Ottawa, 2006, 246 p. », Liaison, no 134, , p. 58–58 (ISSN 0227-227X et 1923-2381, lire en ligne, consulté le )
- Radio-Canada, « Prix des lecteurs », sur radio-canada.ca, (consulté le )
- Jacinthe Breau, « Prix Éloizes 2007 », sur Les ami(e)s de Grand-Pré, (consulté le )
- Éditions David, « 178 secondes », sur Éditions David, (consulté le )
- « Prix littéraires des enseignants AQPF-ANEL 2010 | Association québécoise des professeur.e.s de français », sur www.aqpf.qc.ca (consulté le )
- Richard, « Un prix littéraire pour Katia Canciani et "178 secondes" », sur Polar, noir et blanc (consulté le )
- Gisèle Robichaud, « Lauréats et finalistes 2010 », sur Prix Antonine-Maillet-Acadie-Vie, (consulté le )
- Fides, « Lettre à Saint-Exupéry », sur Fides, (consulté le )
- « Littérature québécoise - Écrire et voler », sur Le Devoir (consulté le )
- « Crinière au vent - Tome 1 », sur Éditions Hurtubise (consulté le )
- Sonia d'Or - Tome 1 - Si j'avais un poney..., (lire en ligne)
- « La boutique Bayard Jeunesse - Kimmy la lune », sur Bayard jeunesse (consulté le )
- « Montréal », sur Communications et Société (consulté le )
- « L’envolée d’Antoine », sur Éditions de l'Isatis (consulté le )
- « Pique la lune », sur Éditions de l'Isatis (consulté le )
- (en) « 2017 (Express) Le Prix Tamarac : Award Winners : Books, Video, Research & More », sur Toronto Public Library (consulté le )
- « Sofia et le marchand ambulant », sur Éditions les 400 coups (consulté le )
- « Sélection Francophonie « Prix Saint-Exupéry » (consulté le )
- « Sélections prix 2021 – Tatoulu » (consulté le )
- « Prix Chronos de littérature jeunesse », sur www.prix-chronos.org (consulté le )
- (en-US) « Le prix Peuplier », sur Ontario Library Association (consulté le )
- « Pet et Répète : la véritable histoire », sur Fonfon (consulté le )
- « La traversée de Pet et Répète », sur Le Devoir (consulté le )
- (en-US) « Le prix Mélèze », sur Ontario Library Association (consulté le )
- « La cabane », sur Bouton d'or Acadie (consulté le )
- « Breakwater Books Ltd », sur www.breakwaterbooks.com (consulté le )
- J'ai des p'tites nouvelles pour vous, (ISBN 978-2-921265-28-7, lire en ligne).
- « Exposition Montréal - La Musette »
- Info-Culture, « Jorane et la comédienne Louise Cardinal à Rosemère », (consulté le )
- « La Musette », sur Katia Canciani (consulté le ).
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