Johan Demol

Demol a commencé sa carrière en 1976 à la gendarmerie. En 1979, il est membre d'une organisation d'inspiration politique dénommée le Front de la Jeunesse.

En février 1994 il est nommé commissaire à la police de Schaerbeek et en septembre de la même année commissaire en chef.

Il lutte contre la criminalité et cela l'entraîne en 1996 et en 1997 dans des attaques médiatiques. La presse lui reprochant son appartenance en 1979 au Front de la Jeunesse mais refuse d'avouer. Lorsque sa carte de membre est publiée, Demol réplique par une conférence de presse, où il montre, documents à l'appui, les liens entre la magistrature bruxelloise et la mafia italienne. Dans une deuxième conférence de presse, il montre les liens entre certains journalistes qui écrivent sur lui et la sûreté de l'État.

Après ces conférences de presse, il démissionne de ses fonctions pour ne pas avoir respecté son devoir de discrétion et de réserve. Sur les allégations de Demol, aucune enquête n'est menée. Après avoir rejoint le parti nationaliste flamand Vlaams Belang, il est élu en 1999, au parlement Bruxellois et au parlement flamand.

En 2000, il est élu conseiller communal à Schaerbeek.

En 2009 il démissionne de cette fonction et en avril 2010 il quitte son parti au parlement bruxellois avec Greet Van Linter[1]^,[2].

Johan Demol fait la une des journaux, en 2008, en soutenant le programme de la scientologie[3].

• Membre du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale du 29 juin 1999 au 24 mai 2014.

• Président du Groupe Vlaams Belang du Parlement bruxellois
• Conseiller communal à Schaerbeek jusqu'en septembre 2009 (démission[4]).

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