Jean Baillairgé
Jean Baillairgé (né le [1] et décédé le [1], était un charpentier de métier et a mention qu'il était aussi un architecte. Il est né à Blanzay, France et son décès est survenu à Québec, Bas-Canada.
Jean arriva à Québec le sur le même navire que l'évêque Henri-Marie du Breil de Pontbriand et pourrait avoir reçu une aide de l'évêque de se former dans son domaine de la menuiserie. Il est certain qu'il a reçu sa formation en Nouvelle-France et qu'il était censé être qualifiés dans la production de plans précis. Il reçut probablement la plus grande partie de sa formation sur le chantier, qui aurait été normal pour cette époque.
Baillairgé se marie en 1750 et participa à la construction de l'église à Sainte-Anne-de-la-Pocatière où lui et sa femme avaient déménagé. Ils retournèrent à la ville de Québec après cela et il forma un partenariat qui a mis au point sa bonne réputation. Il était membre de la milice au cours de la guerre de Sept Ans et il s'est battu sur les plaines d'Abraham.
Travaux
En 1766, Baillairgé, a participé a soumission pour la reconstruction de la Basilique-cathédrale Notre-Dame de Québec, qui avait été brûlée pendant la guerre, pour le Archidiocèse de Québec. Son plan a été rejeté avec le nouvel évêque, Jean-Olivier Briand, du côté de ceux qui s'opposent à sa conception. Il a menacé de quitter la province, mais une proposition gagnante pour le clocher de la cathédrale en 1770 qui a mis sa carrière sur des bases solides. Le reste de sa carrière avait diverses constructions d'église comme point focal et l'importance de son travail au Québec à l'art et l'architecture était un produit de cette époque.
Jean Baillairgé tient une place importante dans l'histoire de l'art et l'architecture au Québec après la conquête. Peut-être plus importante que son travail était la dynastie de Baillairgé, qu'il a fondée et qui a eu un rôle de premier plan dans ce domaine de l'art québécois et l'histoire de l'architecture. Son fils, François Baillairgé, travailla avec son père et a continué la contribution à l'art familiale et l'architecture. Un autre fils, Pierre-Florent, a contribué de manière significative en tant que sculpteur et menuisier[2].
Notes et références
- « Baillairgé, Jean - Répertoire du patrimoine culturel du Québec », sur www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca (consulté le )
- « Réserve eucharistique ornée d'un ciboire | Collection Musée national des beaux-arts du Québec », sur collections.mnbaq.org (consulté le )
Liens externes
- Luc Noppen, « Baillairgé, Jean », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 5, Université Laval/University of Toronto, (lire en ligne)
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