Hoplocampe

Selon NCBI (26 janv. 2017)[2] :

• Hoplocampa alpina
• Hoplocampa ariae
• Hoplocampa brevis - Hoplocampe du poirier
• Hoplocampa chamaemespili
• Hoplocampa chrysorrhoea
• Hoplocampa crataegi
• Hoplocampa flava - Hoplocampe commun du prunier
• Hoplocampa fulvicornis
• Hoplocampa marlatti
• Hoplocampa minuta - Hoplocampe noir du prunier
• Hoplocampa oregonensis
• Hoplocampa pectoralis
• Hoplocampa plagiata
• Hoplocampa sinobirmana
• Hoplocampa testudinea - Hoplocampe du pommier

Selon ITIS (26 janv. 2017)[3] :

• Hoplocampa cookei (Clarke)
• Hoplocampa testudinea (Klug)

La femelle pond en général sur les fleurs.

La larve (appelée "ver cordonnier" à cause de son orifice de pénétration dans les fruits, qui ressemble à un trou d'alêne) est une « fausse-chenille » qui se nourrit à l'intérieur du jeune fruit.

La reproduction est généralement parthénogénétique. L'Hoplocampe jaune du prunier (Hoplocampa flava) est l'un des plus fréquents[4].

Dès le départ de la végétation (10 à 15 jours avant la floraison), installer des bandes blanches engluées sur les arbres à une hauteur de 0,70 à 1 mètre. Lorsque les insectes sortent, ils croient qu'il s'agit des pétales de fleurs et viennent s'y coller.

Idem pour la mouche de la cerise mais avec des bandes jaunes.

• (en) Référence NCBI : Hoplocampa (taxons inclus)
• (fr+en) Référence ITIS : Hoplocampa Hartig, 1837 (+ version anglaise)
• (en) Référence Catalogue of Life : Hoplocampa (consulté le 11 décembre 2020)
• (en) Référence Fauna Europaea : Hoplocampa
• (en) Référence Paleobiology Database : Hoplocampa Hartig, 1837
• (en) Référence Animal Diversity Web : Hoplocampa

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