Giallo a Venezia

Giallo a Venezia est un film giallo italien réalisé par Mario Landi et sorti le en Italie. Leonora Fani interprète le rôle principal. Le film est surtout connu pour ses scènes hard gore, dont une femme dont la jambe est lentement sciée avec un long couteau, et une prostituée à qui l'on enfonce un couteau dans le vagin[1],[2].

Giallo a Venezia
Titre original italien : Giallo a Venezia
Réalisation Mario Landi
Scénario Aldo Serio
Pays d’origine Italie
Genre hard gore - giallo - thriller
Durée 91 minutes
Sortie 1979


Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

Le film retrace l'enquête d'un détective sur le meurtre à caractère sexuel d'un couple marié impliquant un mari accro à la cocaïne alors que, dans le même temps, un tueur en série commet des meurtres macabres.

Fiche technique

  • Titre : Giallo a Venezia
  • Réalisateur : Mario Landi
  • Producteur : Gabriele Crisanti
  • Scénario : Aldo Serio
  • Musique : Berto Pisano
  • Photographie : Franco Villa
  • Genre : giallo, horreur, gore
  • Durée : 91 minutes
  • Date de sortie : (Italie)

Distribution

  • Leonora Fani : Flavia
  • Jeff Blynn : Angelo De Paul
  • Gianni Dei : Fabio
  • Michele Renzullo : Andrea Caron
  • Eolo Capritti : Maestrin
  • Vassili Karis  : Bruno Nielsen (Vassili Karamesinis)
  • Giancarlo Del Duca : Alberto, le Coroner
  • Mariangela Giordano : Marzia (Maria Angela Giordan)

Réception

Moviefone fait une critique mitigée sur le film, affirmant qu'il « est apprécié par les fans de ce sous-genre, mais que, dans l'ensemble, il n'est tout simplement pas comparable avec la plupart grands films du genre italiens[3] ». Dans le livre Italian Horror Film Directors, un critique juge Giallo a Venezia un « parfait exemple de la façon dont un réalisateur peut aller trop loin dans sa quête pour atteindre la synthèse parfaite de l'horreur et de répulsion[4] ».

Paolo Mereghetti a écrit[5] : « [le film] Mérite (ou peut-être ne mérite pas) d'être rappelé comme l'un des thrillers italiens les plus idiots jamais réalisés, un collage de séquences de pornographie douce et de rares écartèlements brutaux qui tombent dans le vide, dans une infantile tentative d'étonner ».

Références

  1. Marco Giusti, Dizionario dei film italiani stracult, Sperling & Kupfer, , 883 p. (ISBN 88-200-2919-7)
  2. Stefan Jaworzyn, Shock Xpress : v.2 : Essential Guide to Exploitation Cinema (Vol 2), Titan Books Ltd, , 70, 71, 73 p. (ISBN 1-85286-519-9, lire en ligne)
  3. « There's Always Room for Giallo: Giallo a Venezia (Giallo in Venice) », MovieFone (consulté le )
  4. Paul Louis, Italian Horror Film Directors, McFarland & Company, (ISBN 0-7864-1834-6, lire en ligne), p. 1979
  5. Paolo Mereghetti, Il Mereghetti : Dizionario dei Film 2004, vol. Le schede, Milan, Baldini Castoldi Dalai, , 3755 p. (ISBN 88-8490-419-6), p. 987
    « merita di essere ricordato (o forse non lo merita) come uno dei thriller italiani più cretini mai realizzati, collage di sequenze porno-soft e di squartamenti di rara efferatezza che cascano nel vuoto, nel puerile tentativo di stupire. »

Liens externes

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