Gesvres (Mayenne)

Gesvres est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 511 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Gesvres.

Gesvres

L'église Saint-Pierre.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes du Mont des Avaloirs
Maire
Mandat
Denis Duvallet
2020-2026
Code postal 53370
Code commune 53106
Démographie
Gentilé Gesvrois
Population
municipale
511 hab. (2018 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 22′ 08″ nord, 0° 08′ 47″ ouest
Altitude Min. 145 m
Max. 301 m
Superficie 21,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alençon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villaines-la-Juhel
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Gesvres
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Gesvres
Géolocalisation sur la carte : France
Gesvres
Géolocalisation sur la carte : France
Gesvres
Liens
Site web www.gesvres.mairie53.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    Géographie

    Située dans une dépression à l'est de la forêt de Pail, Gesvres recèle de pittoresques paysages.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 807 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pre-en-Pail_sapc », sur la commune de Pré-en-Pail-Saint-Samson, mise en service en 1945[10] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 860,9 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le département de l'Orne, mise en service en 1946 et à 19 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[14], à 10,9 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Gesvres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alençon, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 89 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (55,9 %), terres arables (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), forêts (4,3 %), zones urbanisées (1,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Gavre[24] (v. 834); Vicaria Gaviacencis[25] (Xe siècle); ecclesia de Gabra[26] (v. 1120); Presbytere de Gervre[27] (v. 1140); Gesvre[28] (1312); sanctus Petrus de Gevra[29] (1545); Gevres[30],[31]. L'étymologie de Gesvres est Gevra ou Capra. D'après Dauzat et Rostaing, il s'agit du nom d'homme gaulois Gabros, lui-même issu de gabros, « chèvre »[32].

    Le gentilé est Gesvrois.

    Histoire

    Saint Aldric évêque du Mans fonde un domaine à Gesvres vers 834. En 900, Charles le Simple autorise le comte Hugues un de ses puissants parents à donner aux moines de Saint-Evroult plusieurs domaines situés dans la vigueries de Gesvres[33]. L'abbaye de Saint-Évroult y possédait une villa Nunniacum au Xe siècle, au XIIe siècle l'église Saint Pierre et ses dîmes sont données à l'abbaye Saint-Vincent du Mans[31].

    Françoise Cueillette, dame de Gesvres au Maine, porte la seigneurie à la famille Potier en épousant en 1523 Jacques Potier, seigneur de Blanc-Mesnil (né vers 1500-† 1555), conseiller au Parlement de Paris.

    La seigneurie de Gesvres a été érigée en Marquisat, en faveur de leur descendant Louis Potier (1613-† en 1643/1645 au siège de Thionville, prédécédé), maréchal des Camps & Armées du Roi, fils aîné de René Potier (1579-1670 ; 1er duc de Tresmes en 1648, gouverneur du Maine[34]) et petit-fils de Louis Potier de Gesvres, comte de Tresmes († 1630). Puis le nom de Gesvres s'est porté sur le duché de Tresmes en Crouy, renommé duché de Gesvres en 1670 en faveur de Léon Potier (1620-1704), 2e duc de Tresmes alias 1er duc de Gesvres, le 2e fils de René Potier.

    Héraldique

    Blason
    Burelé d’argent et d’azur de dix pièces, à deux clés adossées de gueules, mises en chevron, accostées de trois mains appaumées d’argent, 2 et 1, le tout brochant sur le burelé.
    Détails
    L’azur et les trois mains d’argent sont les éléments principaux du blason du seigneur Potier qui possédait dans son marquisat de Gesvres les villages de Gesvres, Pré en Pail, la Pooté et Couptrain. La reprise intégrale du blason d’un seigneur étant interdite pour la municipalité, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.

    Les clés symbolisent Pierre, le saint patron du village. La disposition en chevron indique que la commune est entourée de monts plus ou moins élevés, dont les dernières crêtes de la corniche de Pail.

    Le fond burelé d’argent et d’azur avec la couleur des clés de gueules rappellent le blason de la famille de la Rochefoucault qui a été seigneur de Gesvres pendant 114 ans de 1394 à 1508. La remarque concernant la récupération du blason seigneurial est valable ici aussi.

    Les ornements sont deux lions burelés d’or et de sinople, couronnés d’argent. Ils proviennent des armes de la famille de Doucelle, premier seigneur de Gesvres de 1312 à 1350. Ils sont posés sur une terrasse de sable sur laquelle s’élève un mont d’or, pour honorer l’agriculture gabrasienne.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989[35] mars 2008 Christian Ramond - Responsable de production
    mars 2008 septembre 2008 Claude Bourillon SE Gérant en métallurgie retraité
    septembre 2008[35] En cours Denis Duvallet[36] SE Électromécanicien

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[36].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2018, la commune comptait 511 habitants[Note 7], en diminution de 6,92 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %). Gesvres a compté jusqu'à 1 574 habitants en 1872.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1711 2011 3381 4741 4191 4641 5021 4721 542
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4941 5161 5001 5741 5251 4611 4251 4211 325
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1881 2171 076974893872850806737
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    651625573486489543532537526
    2018 - - - - - - - -
    511--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre datée du XIIe siècle par l'Abbé Angot, elle est probablement antérieure (XIe siècle).
    • Chapelle Sainte-Catherine.
    • Chapelle de Rouvadin.
    • Chapelle Saint-Sulpice, actuellement disparue. Un prieuré bénédictin est mentionné par Hubert Jaillot. Il est noté délaissé au XVIe siècle. La chapelle sur le versant de la vallée est déjà délabrée en 1753 ; reconstruite, elle est vendue avec la ferme en 1791[41]. Un sarcophage de type mérovingien est mis au jour en 1908, proche de la ruine, il est placé actuellement dans l'église[42].
    • Chapelle du Bourg datée de 1813.
    • Lavoir communal.
    • Gesvres abrite une partie du site des Alpes mancelles, qui figurent au réseau Natura 2000[43].
    • Pont dit des cinq pierres, traversant l'Ornette, datant de 1833. Il doit son nom aux cinq pierres qui le composent, soit deux pierres verticales et trois pierres horizontales[44].

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Potier (mort en 1630), baron de Gesvres, homme d'État.
    • Pierre Culioli (1912-1994), résistant, est enterré au cimetière de Gesvres.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 39
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Pre-en-Pail_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Gesvres et Pré-en-Pail-Saint-Samson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Pre-en-Pail_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Gesvres et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Gesta Aldrici.
    25. Dom Piolin, Histoire de l'Église du Mans, t. II, p. 494.
    26. Cartulaire de Saint-Vincent, ch. 516.
    27. Cartulaire de Tiron, ch. 254.
    28. B.N., fr. 8.736.
    29. Insin. eccl.
    30. Jaillot Almanach de 1774 et Cassini.
    31. Abbé Angot Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. (1962), t. 2, p. 291-294.
    32. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Albert Dauzat et Charles Rostaing.
    33. Abbé Angot Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. (1962), t. 4, p. 400.
    34. André René Le Paige, Dictionnaire topographique, historique, généalogique et bibliographique de la province et du diocèse du Maine, Vol. 1, (1777), p. 382.
    35. « Denis Duvallet, maire, se représente aux élections », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. Réélection 2014 : « Gesvres (53370) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. ANGOT (abbé), Dict Hist, toponym et biographique. (1962), t. 3 (lire en ligne), p. 676-677.
    42. « CURIOSITES GESVROISES : Le Sarcophage de St Sulpice », sur Mairie de Gesvres (consulté le ).
    43. Liste des communes concernées par un site Natura 2000 en Mayenne, consulté le 9 novembre 2015
    44. Curiosités gévroises : le pont des cinq pierres, http://www.gesvres.mairie53.fr, consulté le 1er janvier 2019.
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