Gavrelle
Gavrelle est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Gavrelle | |||||
L'église. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine d'Arras | ||||
Maire Mandat |
Vincent Thery 2020-2026 |
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Code postal | 62580 | ||||
Code commune | 62369 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Les Gravellois | ||||
Population municipale |
636 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 19′ 48″ nord, 2° 53′ 13″ est | ||||
Altitude | Min. 49 m Max. 97 m |
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Superficie | 9,02 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arras-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | gavrelle.fr | ||||
Géographie
Gavrelle est un village périurbain de l'Arrageois en Artois, situé entre Arras et Douai, dans l'axe des collines d'Artois (Notre-Dame-de-Lorette, Mont-Saint-Eloi, Wimy, Carency, Givenchy, Souchez, Ablain-Saint-Nazaire...), marqué par la présence de nombreuses infrastructures :
- Une partie de l'échangeur entre l'autoroute A26 et l'autoroute A1, ainsi que ces autoroutes et l'important péage de l'A1 ;
- déviation de l'ex-RN 50 (actuelle RD 950), qui contourne le village
- elle est effleurée par la LGV Nord.
- Ligne électrique à très haute tension à 400 000 V., reliant Avelin a Gavrelle, qui dessert notamment l’usine Renault Douai. Son doublement et son enfouissement sont prévus en 2019, afin de conforter l'alimentation électrique pour 533 communes, soit environ 2 millions d’habitants d’une partie des agglomérations lilloise, arrageoise, douaisienne et du bassin minier[1],[2],[3].
Communes limitrophes
Hameaux et écarts
En 1875, on notait les lieux-dits suivants : Camp des camps, le Ronval, Terrain fosse[4].
Urbanisme
Typologie
Gavrelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].
Fin 2017 et courant 2018 ont été livrés 40 maisons en accession à la propriété dans le cadre d'un lotissement à l’entrée sud du village, ainsi que six logements HLM et 24 habitations en logements collectifs, gérées par Maisons et Cités, allant du T2 au T5[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,1 %), zones urbanisées (5,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Toponymie
Le lieu était désigné Gaurelle ou Gaverella au XIIe siècle (Cartulaire de Saint-Vaast)[4].
Histoire
Des vestiges antiques ont été trouvés sur le territoire de Gavrelle, au fossé du Ronval, vers Fampoux, et au mont Facon[4].
Les restes d'une motte féodale étaient encore discernables à la fin du XIXe siècle, ainsi que l'entrée de muches (souterrains refuges)[4].
Selon A. Terninck[4], « Ce village appartenait depuis très longtemps à l'abbaye de St-Vaast qui entretenait plusieurs religieux pour diriger la culture et desservir l'église ; mais en 1098 le Synode d'Arras modifia cet usage, et n'autorisa plus l'abbaye qu'à présenter à l'évêque pour desservir l'église un prêtre séculier de son choix. Quant à la ferme elle fut louée. (Cartulaire de St-Vaast.)
En 1176, Boniart de Gaverelle, homme de St-Vaast, déclare à Bauduin, comte de Hainaut, les droits de l'abbaye dans la ville de Haspre (Inv. c. c. de Lille, St Genoit).
En 1201, dans une charte donnée à la commune d'Estrées-sur-Canche, figure comme représentant de l'abbé de St-Vaast, (le) mayeur de Gavrelle.
En 1243 à côté de cette seigneurie principale existaient d'autres fiefs moins importants. Ainsi en 1243, Gossuin de St-Albin, chevalier, reconnaît tenir en fief lige de Robert, comte d'Artois, Wagnonville et le vivier qui s'y trouve, ainsi que son fief de Gavrelle, et il déclare avoir donné en mariage à Gossuin son fils, ce fief de Gavrelle dont il devra faire hommage au comte, à. condition qu'après la mort de Gossuin père, ces deux fiefs seront tenus en un seul hommage. (St Genoit, Ar. de Lille.)
On y trouvait aussi les fiefs de Rœux-en-Gavrelle, relevant du roi à cause de son château de Lens, et appartenant aux Prévost de Vailly, aux Caudrons.
Le , Jean de Ponchiel, sire de Bailleul, et messire de Bertouille donnèrent au châtelain de Lens dénombrement d'un autre fief, dit du Madeulx, qui plus tard fut donné en rentes à Colas du Maignil pour douze couronnes par an.
Le , Philippe Cossète donnait dénombrement pour un autre fief.
Le, Jean de le Wardeau en avait fait autant, et cette formalité était en outre remplie pour d'autres petites seigneuries par :
- Guillaume d'Aile, le .
- Jean Billart, le .
- Jean de Bos, le de môme année.
- Et Bernard de Bailleul.
Les pauvres jouissaient aussi du droit de parchons c'est-à-dire de cueillir et arracher les éteuilles que les cultivateurs étaient tenus de laisser à une hauteur déterminée.
En 1307, un certain Eloy Hairin, gouverneur de Lille, voulut s'emparer, disent les chroniques de St-Vaast, de la terre de Gavrelle appartenant à l'abbaye, et il vint à la tête de troupes armées pour occuper la ferme et ses dépendances, voulant obtenir, par la force ce qu'il n'avait pu avoir par des procédures. Mais arrivé contre la porte, un mal subit s'empara du coupable, il tomba de cheval au milieu d'effrayantes convulsions, et les gens terrifiés le portèrent au château de Fampoux, où il resta longtemps entre la vie et la mort. Enfin il reconnut sa faute, promit de la réparer, et obtint sa guérison. Mais alors la convoitise parla plus haut que la raison, il réunit de nouvelles bandes armées et revint à Gavrelle, où cette fois il trouva la mort, car de nouveau il tomba de cheval, se brisa la jambe et la gangrène acheva sa punition ».
- Première Guerre mondiale
Entièrement fortifié par les Allemands pendant les deux premières années de guerre, Gavrelle est délivré par les Anglais le , après de terribles combats[14]. « Entre le 15 et le , les soldats de la Royal Naval Division et de la Honourable Artillery Company ont combattu pour reprendre aux Allemands le village de Gavrelle et son moulin à vent, au prix de pertes considérables pour la Royal Naval Division : plus d’un millier de soldats ont péri, ce qui représente la plus grande perte humaine sur terre en une journée pour les Royal Marines, au cours de la Grande Guerre[15] »,[16]. Les Anglais s'y maintinrent malgré huit offensives des Allemands, qui engagèrent sur ce seul point sept divisions en vingt-quatre heures. Tombé à nouveau entre les mains des Allemands en le village est repris par les Canadiens de la Ire Armée britannique, le [14].
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[17] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [18]. La reconstruction du village a été parrainée par la ville de Toulouse. En effet, la 34e division d'infanterie qui a été décimée en défendant Gavrelle le , était pour une bonne partie composé de soldats originaire du Sud-Ouest[19].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Vimy[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton d'Arras-2.
Intercommunalité
La commune est membre depuis 1998 de la Communauté urbaine d'Arras.
Liste des maires
Population et société
Démographie
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2018, la commune comptait 636 habitants[Note 3], en augmentation de 4,26 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
- Pyramide des âgesen 2007
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (14,7 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,9 % contre 48,4 % au niveau national et 48,2 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 50,9 % d'hommes (0 à 14 ans = 29,9 %, 15 à 29 ans = 12,2 %, 30 à 44 ans = 29,5 %, 45 à 59 ans = 17,4 %, plus de 60 ans = 11,1 %) ;
- 49,1 % de femmes (0 à 14 ans = 22,7 %, 15 à 29 ans = 14,4 %, 30 à 44 ans = 28,8 %, 45 à 59 ans = 15,8 %, plus de 60 ans = 18,4 %).
Loisirs
Une aire de jeu et un mini-stadium ont été implantés en 2017 en bordure du stade municipal[30].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Vaast. Sous le porche de l’église à l’intérieur se dresse une grande croix en bois sur laquelle sont gravés les noms de 57 officiers, sous-officiers et soldats britanniques morts en pour libérer la commune[31].
- Monument aux morts, réalise par Henri Regnault et inauguré en , et qui porte la dédicace : «23e dragons morts pour la France
A la 34e division-83e Rt-14e Rt-59e Rt-83e Rt et 23e Rt- Notre Dame de Lorette- Sucrerie de Souchez-Carency-Neuville Saint-Vaast-roclincourt-Chanteclair[19] »
- Cimetières militaires britanniques :
- Naval Trench Cemetery. Ce cimetière a été utilisé par les unités combattantes d'avril à et contient les séputures de 59 soldats tués pendant la Première Guerre mondiale et un de la Seconde Guerre mondiale. Son nom provient de celui d'une tranchée de seconde ligne tracée par la s63e division britannique à l'été 1917[19].
- Chili Trench Cemetery (parfois désigné Gavrelle Road Cemetery ou Fampoux Cemetery). Ce cimetière a été utilisé en avril et en grande partie par la 37e division britannique et contient les sépultures de 106 soldats tués pendant la Première Guerre mondiale et un de la suivante[19]..
- Monument de la Paix et du Souvenir (monument à la Royal Navy), qui représente une maison en ruine à l'intérieur de laquelle repose une ancre de marine. Sur le monument sont fixées les insignes des régiments qui ont participé aux combats de Gavrelle du 23 au [32].
- Stèle du Souvenir Français au 23e régiment de dragons[33].
- Naval Trench Cemetery
- Naval Trench Cemetery
- Chili Trench Cemetery
- Chili Trench Cemetery
Personnalités liées à la commune
L'abbé Pierre Carpentier, prêtre, vicaire de la paroisse Saint-Gilles d'Abbeville, résistant déporté et décapité à Dortmund en Allemagne en 1943. Sa famille est originaire de cette commune et il repose aujourd'hui au cimetière du village. Une stèle fut érigée en son honneur à l'entrée du cimetière en 1995[34].
Héraldique
|
Les armes de la ville se blasonnent ainsi : |
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Pour approfondir
Bibliographie
- Benoît Butruille, Une ferme au nord de l'Artois : thèse agricole, Beauvais, Imprimerie départementale de l'Oise, , 224 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Ressource relative à la géographie :
- « Dossier complet : Commune de Gavrelle (62369) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 08 SO, Douai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Nicolas André, « Gavrelle – Quiéry-la-Motte Ligne à haute tension et retombées économique ? : ndispensable au développement économique, peu souhaitable pour l’environnement selon ses détracteurs, le projet de doublement de la ligne à haute tension (400 000 volts) entre Avelin et Gravelle a été reconnu « d’utilité publique ». Il profiterait déjà à deux projets de développement à Gavrelle et à Quiery-la-Motte », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Benjamin Dubrulle, « Douaisis Quel emploi local pour la reconstruction de la ligne THT Avelin-Gavrelle ? : RTE, Artois emploi entreprises (AEE), la Maison de l’emploi de la Métropole sud, les Plans locaux pour l’insertion et l’emploi (PLIE) du Douaisis et de Lens-Liévin, ont signé une convention de partenariat pour favoriser l’emploi local pour le projet de reconstruction de la ligne à 400 000 volts Avelin-Gavrelle », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Thomas Bourgois, « Gavrelle - Douai Des lignes haute tension, dont celles alimentant Renault, seront enfouies en 2019 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- A. Terninck, Dictionnaire historique et archéologique du département du Pas-de-Calais : Arrondissement d'Arras, t. II : Cantons de Croisille, Marquion, Pas, Vimy, Vitry, Arras, Sueur-Charruey, libraire éditeur, coll. « Commission départementale des monuments historiques », (lire en ligne), p. 247-249, lire en ligne sur Gallica.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Rachel Debrincat, « Fin 2017, les premières maisons de la résidence La Couture sortiront de terre : Les travaux avancent bon train rue de Plouvain à Gavrelle. Ce lotissement, à l’entrée sud du village, comptera quarante maisons en accession et deux bâtiments constitués chacun de dix appartements, qui seront gérés par le bailleur Maisons et Cités », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Christian Bogaert, « Premières remises de clés au lotissement de la Couture, qui va proposer 70 logements : La société European Homes, créée depuis 45 ans et qui emploie 350 personnes en France, a livré depuis la fin du mois de décembre les clés des premiers logements de ce nouveau lotissement », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Benoît Butrulle, op. cit. en bibliographie, p. 24.
- Géraldine Csizmadia, « Gavrelle La bataille de Gavrelle, la plus importante perte pour les Royal Marines », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « La bataille d'Arras », Chroniques de la Grande Guerre, sur Archives départementales du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 24 septembre 1920, p. 14066.
- « Gravelle : Monument aux morts », sur https://memoiresdepierre.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Réélu pour le mandat 2014-2020: Benoît Fauconnier, « Le bilan des maires à Gavrelle : l’agrandissement du centre accueil loisirs a permis d’accueillir une micro-crèche de dix places : Vincent Théry termine son troisième mandat de maire. L’avant-dernier avait connu le réaménagement du centre-bourg. Quel bilan dresser entre 2008 et 2014 ? », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Gavrelle: Vincent Théry est réélu maire pour un quatrième mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- R. J. (clp), « Gavrelle: «Nos projets ne seront réalisés que s’ils sont co-financés» : Vincent Théry, chef d’entreprise, élu maire en juin 1995, réélu depuis, vient de commencer un quatrième mandat en mars dernier avec une liste un peu renouvelée, et des conseillers tous motivés. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « À Gavrelle, Vincent Théry enfile l’écharpe de maire pour un cinquième mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Gavrelle en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Gavrelle Une aire de jeu et un mini-stadium pour les enfants : L’installation récente par la commune d’une aire de jeu au centre du village et la réalisation d’un mini-stadium implanté en bordure du stade municipal répondent à une demande de la population et de la communauté éducative », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Église de Gavrelle », sur http://arras.catholique.fr (consulté le ).
- « Gavrelle : Monument à la Royal Navy, Monument de la Paix et du Souvenir », sur https://memoiresdepierre.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- « Gavrelle : Stèle du Souvenir Français au 23e régiment de dragons », sur https://memoiresdepierre.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- « GAVRELLE : Stèle à la mémoire de l'abbé CARPENTIER », sur https://memoiresdepierre.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
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