Fresnoy-en-Thelle
Fresnoy-en-Thelle est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Fresnoy-en-Thelle | |||||
![]() Vue sur le village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Senlis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Thelloise | ||||
Maire Mandat |
Marc Lamoureux 2020-2026 |
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Code postal | 60530 | ||||
Code commune | 60259 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
901 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 143 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 12′ 05″ nord, 2° 16′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 61 m Max. 112 m |
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Superficie | 6,28 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Méru | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | https://www.fresnoy-en-thelle.fr/ | ||||
Géographie
Située à une altitude variant entre 67 et 111 mètres, ce village picard compte un puits qui atteint la nappe phréatique à 45 m. Le territoire communal de 6,3 km2 compte environ 5 % de bois[1]
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontoise - Aero », sur la commune de Boissy-l'Aillerie, mise en service en 1946[8] et qui se trouve à 23 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 638,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 29 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Fresnoy-en-Thelle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,3 %), forêts (9,6 %), zones urbanisées (7,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le lieu était nommé Fraxinetum en 686 et Frenel au XVe siècle[1].
Histoire

Mathieu III, comte de Beaumont, vers 1185, donna aux moines du prieuré Saint Léonor, fondé à Beaumont par ses ancêtres, des terres à Fresnoy ainsi que des droits féodaux[1].
La seigneurie de Fresnoy était comprise dans le comté de Beaumont. Elle fut érigée en marquisat en 1652 en faveur d’Henri de Fresnoy[1].
Fresnoy appartint vers la fin du XVIIIe siècle à d’Avesne des Méloizes[1].
De 1879 à 1959, le village fut desservi par la gare de Fresnoy-Morangles sur le chemin de fer de Hermes à Beaumont , un chemin de fer secondaire à voie métrique.

Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, l'activité économique de la commune était notamment représentée par la fabrication de boutons en poils de chèvre et la passementerie[1].
Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Neuilly-en-Thelle[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Méru.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, créée en 1996.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[23], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[24],[25].
La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [26].
Liste des maires

Population et société
Démographie
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].
En 2018, la commune comptait 901 habitants[Note 7], en diminution de 4,45 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
- Pyramide des âges en 2007
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (14,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 49,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 23 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 25,2 %, 45 à 59 ans = 20,9 %, plus de 60 ans = 13,7 %) ;
- 50,4 % de femmes (0 à 14 ans = 22,9 %, 15 à 29 ans = 16 %, 30 à 44 ans = 25,8 %, 45 à 59 ans = 20,4 %, plus de 60 ans = 14,8 %).
Enseignement
Le village compte une école municipale qui scolarise 103 élèves en 2016, ainsi qu'un centre périscolaire avec halte-garderie et cantine construit en 2013[1].
Économie
L'entreprise Robert Juliat, qui produit des projecteurs de renommée internationale, est implantée dans la commune et y emploie environ 80 salariés.
Il n'y a plus, en 2016, de commerces de proximité au village et les autres activités sont constituées par quatre exploitations agricoles (cultivant essentiellement : blé, betteraves, pommes de terre, colza et maïs), deux maçons, deux électriciens, deux chauffagistes[1].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments


Fresnoy-en-Thelle ne compte aucun monument historique inscrit ou classé sur son territoire. On peut néanmoins noter :
- Église Saint-Nicolas, rue de Lamberval / rue de Morangles : Ses abords austères et sans grand caractère cachent un édifice de qualité du second quart du XIIe siècle et de la première moitié du XVIe siècle, qui est resté en partie inachevé, et a été malmené par le remaniement néo-classique de la façade, en 1758, et la démolition des parties hautes du clocher, après 1842. Elles ont été reconstruites sans style réel.
- Cependant, le transept, dont le croisillon sud n'a apparemment jamais été construit, et le chœur rectangulaire forment un ensemble homogène de la dernière période romane. Voûtées d'ogives dès l'origine, ces trois travées constituent un intéressant témoignage de la transition successive vers le style gothique. Ainsi, les arcs-doubleaux sont déjà en arc brisé, et les piliers fasciculés, bien hiérarchisés, présentent des colonnettes à chapiteaux très fines.
- La nef romane n'existe plus : elle fut remplacée par la construction actuelle à la période gothique flamboyante. En cohérence avec le transept incomplet, elle n'est accompagnée que d'un unique bas-côté, au nord. Les cinq grandes arcades qui font communiquer les deux vaisseaux sont particulièrement représentatives de la création flamboyante de la région. Le voûtement d'ogives, initialement prévu comme l'indiquent les contreforts à l'extérieur, n'a finalement jamais été exécuté[34],[35].
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Fresnoy- en- Thelle, un si joli village », L'Observateur de Beauvais, no 954, , p. 22.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Pontoise - Aero - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Fresnoy-en-Thelle et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pontoise - Aero - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Fresnoy-en-Thelle et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
- Philippe Delattre, « Denis Courboin cède le fauteuil de maire à Marc Lamoureux : Le plus ancien maire du Pays de Thelle, Denis Courboin, en place depuis 1977, a, comme il l’avait annoncé lors de sa dernière réélection en 2014, passé le flambeau à son gendre jeudi dernier », L’Écho du Thelle, no 638, , p. 17 « Originaire de Villers-SaintChristophe (Aisne), où il avait été conseiller municipal pendant un mois avant de déménager à la ferme Lamberval de Fresnoy-en-Thelle, Denis Courboin a été élu conseiller municipal à Fresnoy en 1971, puis maire en 1977. Un poste de maire qu’il n’a jamais quitté depuis, effectuant son sixième mandat depuis 2014. Lors de sa dernière réélection, il avait déjà annoncé qu’il n’irait pas jusqu’au bout de son mandat et qu’il passerait le flambeau au mari de sa fille Elise, Marc Lamoureux, qui a été élu conseiller municipal en 1997 puis réélu depuis au sein de l’équipe municipal où il occupait le poste de 3e adjoint depuis 2014 ».
- « Marc Lamoureux succède à Denis Courboin à Fresnoy-en-Thelle », Le Parisien, édition de l'oise, (lire en ligne) « Une longue page s’est tournée au Fresnoy-en-Thelle, où Denis Courboin, maire de la commune depuis 1977, a cédé son fauteuil et son écharpe de maire à l’un de ses adjoints, Marc Lamoureux ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Fresnoy-en-Thelle en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Neuilly-en-Thelle, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 144 p. (lire en ligne), p. 36-37 et 78-79.
- Eugène Müller, « Quelques notes encore sur les cantons de Creil et Chambly », Comité Archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, années 1897-98, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 4e série, vol. II, , p. 218-219 (lire en ligne, consulté le ) sur Gallica.
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