François Tabar

François Tabar, né à Paris (ancien 1^er arrondissement) le 16 janvier 1819[1] et mort à Argenteuil le 29 mars 1869[2], est un peintre français.

Élève de Paul Delaroche, Tabar s’est spécialisé dans les tableaux historiques. Il a exposé au Salon de 1859 où Baudelaire a remarqué un de ses tableaux[3].

Œuvres

Épisode de la campagne d'Égypte, Bordeaux, musée des beaux-arts
Guerre de Crimée, attaque d'avant-poste, 1859
Guerre de Crimée, fourrageurs, 1859
La Roche-fauve (Dauphiné), 1859
Le Supplice de Brunehaut, Rouen, musée des beaux-arts
Paysage, Marseille, musée Grobet-Labadié
Scène de la guerre de Crimée, 1854, Compiègne, musée national du château
Attila faisant massacrer des prisonniers, musée de Louviers, donné par l'État en 1881

Notes et références

Archives de Paris, fichier de l'état civil reconstitué, fiche de naissance n°27 / 51
Archives départementales du Val-d'Oise, acte de décès n°47, vue 15 / 79 (l'arrondissement ancien de naissance et le jour de naissance indiqués dans l'acte sont erronés)
« Il y a un tableau militaire que nous devons louer, et avec tout notre zèle ; mais ce n'est point une bataille ; au contraire, c'est presque une pastorale. Vous avez déjà deviné que je veux parler du tableau de M. Tabar. » Baudelaire, Critique d'art, éd. de Claude Pichois, Gallimard, coll. « folio essais », 1992, p. 304.

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[1] Archives de Paris, fichier de l'état civil reconstitué, fiche de naissance n°27 / 51

[2] Archives départementales du Val-d'Oise, acte de décès n°47, vue 15 / 79 (l'arrondissement ancien de naissance et le jour de naissance indiqués dans l'acte sont erronés)

[3] « Il y a un tableau militaire que nous devons louer, et avec tout notre zèle ; mais ce n'est point une bataille ; au contraire, c'est presque une pastorale. Vous avez déjà deviné que je veux parler du tableau de M. Tabar. » Baudelaire, Critique d'art, éd. de Claude Pichois, Gallimard, coll. « folio essais », 1992, p. 304.