Focicchia

Focicchia est une commune française située dans la circonscription départementale de la Haute-Corse et le territoire de la collectivité de Corse. Elle appartient à l'ancienne piève de Rogna.

Focicchia

Vue du village.
Administration
Pays France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Haute-Corse
Arrondissement Corte
Intercommunalité Communauté de communes Pasquale Paoli
Maire
Mandat
Jacques Leca
2020-2026
Code postal 20212
Code commune 2B116
Démographie
Gentilé Focicchiens
Population
municipale
27 hab. (2018 )
Densité 3,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 15′ 05″ nord, 9° 17′ 42″ est
Altitude 654 m
Min. 179 m
Max. 1 189 m
Superficie 7,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Corte
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Golo-Morosaglia
Localisation
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Focicchia
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Focicchia

    Géographie

    Situation

    Focicchia est une commune de la piève de Rogna, constituée de villages en corniche sur les deux rives de la basse vallée du Tavignano.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Focicchia est une commune de l'intérieur de l'île, sans façade maritime, située dans la partie méridionale du massif du San Petrone, soit au sud-ouest de la Castagniccia, dans l'En-Deçà-des-Monts ou « Corse schisteuse » au nord-est de la Corse.

    Au N-NE, son territoire est limitrophe de celui du parc naturel régional de Corse. À l'est, il occupe le versant oriental d'un chaînon montagneux de la partie méridionale du massif, orienté N-S, lequel comprend Punta di Mangaio (1 036 m), Punta Alta (1 055 m), Punta Cigno (1 003 m), Punta Caracuto (1 036 m) et Punta Cervio (1 189 m) plus haut sommet communal. Au sud, il est délimité pour partie par la montagne d'Altiani et l'autre, par les ruisseaux de Limone affluent du Tavignano (rg), et de Pietre Bianche[1] son affluent. À l'ouest, ses limites longent le flanc oriental d'une ligne de crête de moyenne montagne (739 m au plus haut point) dominant le village d'Erbajolo.

    Le village a été construit sur un éperon rocheux, son centre se situant à 667 m d'altitude.

    Hydrographie

    La commune occupe une grande partie du bassin versant du ruisseau de Limone, principal cours d'eau et affluent du Tavignano qui longe son territoire au sud-ouest. En amont, le ruisseau de Limone[2] porte successivement les noms de ruisseau de Spundone, ruisseau de Ferlacce et ruisseau de Quarcelleraso - Sant'Andréa-di-Bozio où il prend source.

    Climat et végétation

    Tout le territoire oriental de la commune, soit la partie haute, est revêtu d'une couverture végétale dense, verte, composée de forêts de chênes verts, de chênes liège et de châtaigniers, avec un sous-bois haut et épais. La partie basse, celle qui décline du village jusqu'au lit du Tavignano, présente un sol souvent dénudé montrant les plissements schisteux, rocailleux, couvert d'une maigre végétation, un maquis clairsemé avec quelques chênes lièges. En début d'été, les genêts d'Espagne apportent des touches jaunes au maquis, en bordure des routes mais aussi sur les hauteurs. Puis ce maquis devient marron, desséché, présentant un grand risque d'incendie.

    Accès routiers

    La commune est traversée par la D 14, route doublant en partie la RT 50 (ex-RN 200) sur les hauteurs en desservant depuis Favalello, les villages de la piève de Rogna en rive gauche du Tavignano : Erbajolo, Focicchia, Altiani, Piedicorte-di-Gaggio, Pietraserena, Pancheraccia et Giuncaggio. La D 14 est une route sinueuse, étroite, dotée sur la commune, d'une chaussée en mauvais état.

    La RT 50 (ex-RN 200) longe le Tavignano sans toucher la commune. Par la voie la plus rapide (D 14, D 314 et RT 50), Focicchia se trouve à 28 km de Corte, ville sous-préfecture et métropole du Centre Corse.

    Transports

    La commune n'est desservie par aucun transport. La gare la plus proche est celle de Corte à 26 km, l'aéroport celui de Bastia-Poretta est à 79 km et le port, celui de commerce de Bastia, à 96 km.

    Urbanisme

    Typologie

    Focicchia est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Corte, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6],[7].

    Le village est situé par la route, à deux kilomètres d'Altiani, à l'adret de la vallée du Tavignano comme tous les autres villages de la route en corniche. Tous les gens y vivent groupés autour de l'église paroissiale Saint-Blaise. Il fait face à la chapelle Saint-Christophe d'Erbajolo.

    On trouve encore sur les cartes, au sud de la commune à un peu plus de 200 m du fleuve, le lieu-dit Pieve qui était le centre de la paroisse au Moyen Âge,

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (99,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (80,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Le nom en corse de la commune est Fucichja /fuˈd͡ʒica/.

    Histoire

    Moyen Âge

    Focicchia faisait partie de la pieve de Rogna, dans la partie de celle-ci qui appartient à la Castagniccia.

    Temps modernes

    Vers 1520, les communautés de la Fosigia, aujourd'hui Focicchia, et de la Lamella, village depuis longtemps disparu, faisaient partie de la pieve de Rogna. La pieve comptait environ 4 250 habitants et avait pour lieux habités Vivario (li Gati, le Murachiole, Arche), Herbajolo, la Valle di Sera, la Fosigia, la Lamella, Altiani, lo Petragio, lo Pè di la Corte, lo Lunello, Porra, lo Piano Buono, la Petra Serena, Santa Maria de Talsini, Corte, Omessa, Santa Lutia, Tralunca, lo Soarello, Castirla[10].

    La partie de la piève de Rogna, située en deçà du fleuve Tavignano, contient quatorze villages : Erbajolo, la Valle di Sera, Focicchia, la Lamella (la Mela), Altiani, où on trouve un couvent des frères Mineurs, lo Petragio, Piedicorte di Gaggio, lo Lunello, Porra, lo Piano Buono, Pietraserena, Giuncaggio, Carco et la Pancaraccia, où résidait une famille de Caporaux, très célèbre autrefois, mais aujourd'hui bien déchue.

    « Cette piève est très populeuse et produit en abondance des céréales, du bétail, des pommes et autres fruits, un peu de vin et d'huile. »

     Mgr Giustiniani in Dialogo nominato Corsica, traduction de l'Abbé Letteron in Histoire de la Corse, Description de la Corse Tome I p. 35

    La Rogna relevait de l'évêque d'Aléria qui disposait d'un revenu de deux mille ducats ; l'évêché comprenait dix-neuf pièves qui sont : Giovellina, Campoloro, Verde, Opino, la Serra, Bozio, Alesani, Orezza, Vallirustie, Talcini, Venaco, Rogna, la Cursa, Covasina, Castello, Aregno, Matra, Niolo et Carbini, dans le Delà des Monts[11].

    En 1793, une partie de la piève de Rogna redécoupée devient le canton de Tavignano ; celui-ci devient en 1828 le canton de Piedicorte-di-Gaggio, jusqu'à la fusion en 1973 de celui-ci avec ceux de San-Lorenzo et de Sermano.

    • 1789 - La Corse fait partie du royaume de France. Elle est la propriété de Louis XV, roi de France.
    • 1790 - Avec la Révolution française, est créé le département de Corse
    • 1793 - Est créé le département de El Golo (l'actuelle Haute-Corse). La commune portait le nom de Focicchia (An II).
    • 1793 - Après la Révolution, la pieve de Tavignano devient le canton de Tavignano, dans le district de Corte.
    • 1801 - Focicchia au Bulletin des lois, le canton de Tavignano, passe dans l'arrondissement de Corte, dans le département de El Golo.
    • 1811 - Les deux départements sont réuinifiés en un seul, le département de Corse.
    • 1828 - Focicchia bascule dans le canton de Piedicorte-di-Gaggio.

    Époque contemporaine

    • 1954 - Le canton de Piedicorte-di-Gaggio était composé des communes d'Altiani, Erbajolo, Focicchia, Giuncaggio, Pancheraccia, Piedicorte-di-Gaggio et Pietraserena. Focicchia comptait alors 106 habitants.
    • 1973 - De nouveaux cantons sont créés dont le canton de Bustanico créé avec la fusion imposée des anciens cantons de Piedicorte-di-Gaggio, San Lurenzo et Sermano.
    • 1975 - L'île est à nouveau partagée en deux départements. Focicchia se trouve dans le département de Haute-Corse.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2014 En cours Frédéric TRISTANI REG  
    mars 2008 2014 Georges FEDE    
    mars 2001 2008 Marie-Lucie ANGELI    
    avant 1981  ? Octave TRISTANI    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].

    En 2018, la commune comptait 27 habitants[Note 3], en diminution de 12,9 % par rapport à 2013 (Haute-Corse : +5,69 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    177205188209233233251226231
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    249243247221212226193170172
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    19319115413014011217610677
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    544834223040402527
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • L'école primaire publique la plus proche se trouve à Erbajolo, à 6,5 km.
    • Les collège et lycée Pascal-Paoli, les plus proches, sont à 27 km.

    Le lycée professionnel agricole le plus proche est situé à Borgo, soit à 78 km.

    Santé

    Les cabinets des médecins les plus proches sont situés à Corte, à environ 27 km. Les plus proches hôpitaux sont :

    • le Centre hospitalier de Bastia à 91 km,
    • le Centre hospitalier intercommunal Corte Tattone à 27 km.

    Les ambulanciers les plus proches se trouvent également à Corte, de même que les masseurs kinésithérapeutes. L'infirmière la plus proche est installée à Pietraserena, à 7,5 km.

    Fêtes

    • Fête patronale Saint-Blaise le 3 février.
    • Fête communale le 1er dimanche d'août, sortie communale traditionnelle jusqu'à la Bocca al Pruno 1 070 m, avec repas champêtre.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Blaise.
    • Monument aux morts

    Église paroissiale Saint-Blaise

    L'église paroissiale Saint-Blaise (San Biasgiu ou encore San Biaggio), d'origine romane, est située au cœur du village. Elle a été reconstruite au XVIIIe siècle.

    Église San Salvadore

    Les ruines de l'église San Salvadore du XIe siècle, se trouvent près d'un ancien cimetière. Son linteau de style primitif, est sculpté de deux paons. Il orne aujourd'hui la façade principale de l'église paroissiale Saint-Blaise.

    L'ancienne église piévane

    Au sud-ouest de la commune, au lieu-dit Pieve proche du fleuve Tavignano, existait l'église d'une ancienne communauté disparue. Elle se trouvait à environ 600 m (distance orthodromique) de l'ancienne chapelle San Giovanni classée Monument historique[16]. N'en subsiste aujourd'hui que des vestiges comprenant une abside en cul-de-four, qui font partie d'une bergerie.

    Le site de l'ancienne église piévane, au lieu-dit "A Pieve"

    Arrêté de protection de biotope, d’habitat naturel ou de site d’intérêt géologique

    Punta alta

    Focicchia est concerné pour 8,5 ha de son territoire qui sont protégés par l'arrêté préfectoral de protection de biotope, d’habitat naturel ou de site d’intérêt géologique du 30 juin 1998, objet de la fiche FR3800541 - Punta Alta de l'Inventaire national du patrimoine naturel[17].

    ZNIEFF

    La commune est concernée par deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique de 2e génération :

    Basse vallée du Tavignano

    Dix communes se partagent cette zone d'une superficie de 1 057 ha qui s’étale le long du fleuve, depuis Aléria jusqu’au pont de Noceta. « La basse vallée du Tavignano est le seul endroit de Corse où l'alose feinte se reproduit actuellement ; le fleuve abrite en outre la blennie fluviatile et de nombreux invertébrés macrobenthiques déterminants »[18].

    Châtaigneraies et bois des versants sud et ouest du massif du San Petrone

    Cette zone d'une superficie de 5 550 ha concerne les formations boisées de 23 communes de la Castagniccia occidentale et du Bozio. La couverture forestière de ce secteur est moins homogène et morcelée en différentes unités. Les châtaigneraies moins omniprésentes qu'en petite Castagniccia, constituent néanmoins un élément marquant dans le paysage. Les peuplements forestiers sont composés également de chênes verts, de chênes blancs, d'aulnes cordés, et de boisements épars de résineux[19].

    Natura 2000

    Sites d'Intérêt Communautaire (Dir. Habitat)
    Basse vallée du Tavignano
    La Basse vallée du Tavignano abrite un SIC de la directive "Habitats, faune, flore", d'une superficie de 770 ha concernant sept communes : Aléria, Altiani, Antisanti, Erbajolo, Focicchia, Giuncaggio, Noceta, Piedicorte-di-Gaggio et Venaco. L'importance du site réside dans le fait qu'il est le seul endroit de Corse où l'Alose feinte se reproduit actuellement. S'y trouve également la plus grosse colonie de Corse de Murins à Oreilles échancrées (Myotis emarginatus (E. Geoffroy, 1806)) (annexe II) et plusieurs colonies importantes de Petits rhinolophes. Le SIC est inscrit à l'Inventaire national du patrimoine naturel sous la fiche FR9400602 - Basse vallée du Tavignano[20].
    Massif du San Pedrone (Castagniccia)
    Astragalus alopecurus.

    D'une superficie de 732 ha, le site est composé d'un habitat majoritaire (60 %) de landes, broussailles, recrus, maquis et garrigues. Son importance est qu'au sud, les crêtes de la Punta Alta abritent l'unique population Corse d’Astragale queue de renard (Astragalus alopecurus) (annexe II de la directive 92/43/CEE du Conseil), plante[Note 4] localisée en France continentale au massif du Queyras ; au nord le site recèle une source encroûtante (habitat prioritaire) dont la flore des Bryophytes est particulièrement riche. Le SIC est inscrit à l'Inventaire national du patrimoine naturel sous la fiche FR9400573 - Massif du San Pedrone (Castagniccia)[21].

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine-Laurent Serpentini, professeur d'histoire à l'université de Corse et écrivain. Auteur de plusieurs ouvrages dont Théodore de Neuhoff, roi de Corse (Prix Don-Joseph Morellini) et Dictionnaire historique de la Corse parus aux Éditions Albiana respectivement en 2012 et 2006. Décédé le 17 octobre 2012 à l'âge de 64 ans[22].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • M. Langon (1999) Étude des aloses des fleuves côtiers méditerranéens : Le Tavignano (juin 1999) ; Association Migrateurs Rhone-Méditerranée : 18 pages + annexes
    • G. Beuneux, D. Levadoux, et T. Dubos, 2008 ; Le Petit Rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) en Corse : bilan de 3 années d'étude de ses territoires de chasse par suivi télémétrique ; revue Symbios, nouvelle série, no 2  : 41-49
    • J. Ucciani, 2002 ; L'Alose feinte (Alosa fallax) de la basse vallée du Tavignano, site Natura 2000 FR9400602 ; CSP/DIREN de Corse : 46 p + annexes
    • Groupe Chiroptère Corse (2004) ; Expérimentation d'un protocole de cartographie des habitats de chasse fréquentés par les chauves-souris de la directive habitats par suivi télémétrique, application au Petit Rhinolophe (Rhinolophus hiposideros) ; rapport provisoire ; 51 p + annexes rapport d'étude pour la DIREN de Corse.
    • F. Bensettiti, V. Gaudillat, D. Malengrau, et E. Quéré 2002. Cahiers d'habitats Natura 2000. Connaissance et gestion des habitats et des espèces d'intérêt communautaire. Tome 6. Espèces végétales. La Documentation française. 271 pp.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    4. Astragalus alopecurus est une plante vivace de grande taille, qui fleurit en juin. Les fleurs jaunes sont regroupées en épis couverts de poils qui lui donnent un aspect blanchâtre.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Pietre Bianche (Y9101140) » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Limone (Y9101140) » (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. ADECEC - CORSE : Eléments pour un dictionnaire des noms propres
    11. Mgr Giustiniani in Dialogo nominato Corsica, traduction de l'abbé Letteron in Histoire de la Corse, Description de la Corse Tome I p. 83.
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    16. Notice no PA00099153, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    17. Punta Alta sur le site de l'INPN
    18. ZNIEFF 940030033 - Basse vallée du Tavignano sur le site de l’INPN..
    19. ZNIEFF 940004202 - Châtaigneraies et bois des versants sud et ouest du massif du San Petrone sur le site de l’INPN..
    20. FR9400602 .html Fiche FR9400602  - Basse vallée du Tavignano sur le réseau Natura 2000 (consulté le ).
    21. FR9400573 .html Fiche FR9400573  - Massif du San Pedrone (Castagniccia) sur le réseau Natura 2000 (consulté le ).
    22. Corse Net Infos
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