En attendant Nadeau
En attendant Nadeau est un journal en ligne, créé en 2016 et spécialisé dans la littérature et les arts. Il propose, en libre accès, des recensions critiques de livres récents.
En attendant Nadeau | |
Pays | France |
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Langue | français |
Périodicité | bimensuel |
Format | numérique |
Genre | revue littéraire |
Diffusion | 50 000 lecteurs ex. |
Date de fondation | 13 janvier 2016 |
Ville d’édition | Paris |
Comité éditorial | Jean Lacoste et Tiphaine Samoyault |
ISSN | 2491-6315 |
Site web | en-attendant-nadeau.fr |
Historique
Le premier numéro d’En attendant Nadeau paraît le . La direction éditoriale est assurée par Jean Lacoste, Pierre Pachet et Tiphaine Samoyault. À travers En attendant Nadeau, les collaborateurs cherchent à promouvoir une parole critique libre et indépendante, l’objectif étant de parler du monde et de la société de manière réfléchie et argumentée. Pour cela, le magazine réunit des collaborateurs spécialisés dans des disciplines différentes mais conservant un lien étroit avec la littérature. Elle organise, soutient et participe à des évènements en lien avec ses activités littéraires tels que le Salon de la revue ou les Rencontres de MEET (Maison des écrivains étrangers et traducteurs).
Le comité de rédaction est composé d'anciens collaborateurs de La Quinzaine littéraire[1]. Le nom du journal est une référence directe à un de ses inspirateurs, l'éditeur Maurice Nadeau et à la pièce de Samuel Beckett, En attendant Godot. La création du journal fait suite au départ des collaborateurs, après la mort de Maurice Nadeau[2].
Contenu éditorial
En attendant Nadeau fait un choix parmi les parutions récentes en littérature française et étrangère, ainsi qu’en sciences humaines. Des chroniques régulières sont également publiées, sur la science-fiction, le roman policier, la poésie, la musique classique.
Fonctionnement
Depuis août 2016, En attendant Nadeau est partenaire du site d’information Mediapart, qui publie chaque week-end un de ses articles[3].
Les articles sont mis à disposition gratuitement et les contributeurs sont bénévoles[4]. Le financement du journal repose sur les dons des lecteurs.
Le comité de rédaction se réunit deux fois par mois. Il rassemble des collaborateurs de tous les âges, écrivains, traducteurs, chercheurs ou journalistes traitant de littérature, des sciences humaines et des arts[5].
Notes et références
- (en-GB) Natasha Lehrer, « It can’t go on. It goes on. - European literature », The Times Literary Supplement (consulté le ).
- Pauline Leduc, « Les dissidents de la Nouvelle Quinzaine Littéraire lancent un webzine », sur Livres Hebdo, (consulté le ).
- La rédaction de Mediapart, « Mediapart devient partenaire de En attendant Nadeau », sur Club de Mediapart (consulté le ).
- « Passage en revues », sur France Culture (consulté le ).
- Dominique Goy-Blanquet, « Reprendre Nadeau », Tracés. Revue de Sciences humaines, no #18, , p. 69–74 (ISSN 1763-0061, DOI 10.4000/traces.8926, lire en ligne, consulté le ).