Dirty Dancing
Dirty Dancing ou Danse lascive au Québec et au Nouveau-Brunswick est un film musical américain de Emile Ardolino, sorti en 1987.
Pour les articles homonymes, voir Dirty Dancing (homonymie).
Titre québécois | Danse lascive |
---|---|
Réalisation | Emile Ardolino |
Scénario | Eleanor Bergstein |
Musique | John Morris |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Great American Films Limited Partnership Vestron Pictures |
Pays d’origine | États-Unis |
Genre | Drame musical |
Durée | 100 minutes |
Sortie | 1987 |
Série
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
Au cours de l'été 1963, Frédérique[alpha 1] Houseman, dite « Bébé »[alpha 2], une jeune fille de dix-sept ans, est la cadette d'une riche famille new-yorkaise. Elle passe, avec ses parents et sa sœur, ses vacances à la pension de famille Kellerman située dans l'État de New York, dans la région des montagnes Catskill.
Pendant son séjour, Bébé se trouve mêlée par hasard à la vie des employés de la pension. Une des danseuses de l'établissement, à la suite d'une grossesse non désirée, est aidée par le père de Bébé, médecin. Bébé se voit alors confrontée à un monde qui lui est complètement étranger, celui de la danse. Par la suite, pour pallier l'absence de la danseuse enceinte, Bébé offre de la remplacer dans le spectacle de l'établissement, ce qui l'amène à suivre des cours avec Johnny Castle, le professeur de danse de la pension.
Malgré la désapprobation de son père, Bébé tombe amoureuse de Johnny, qui est issu d'un milieu social très différent du sien.
Fiche technique
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- Titre original et français : Dirty Dancing
- Titre québécois : Danse lascive
- Réalisation : Emile Ardolino
- Scénario : Eleanor Bergstein
- Musique : John Morris
- Direction artistique : Mark Haack et Stephen J. Lineweaver
- Décors : David Chapman et Clay A. Griffith
- Costumes : Hilary Rosenfeld
- Photographie : Jeff Jur
- Son : John Pritchett
- Montage : Peter C. Frank
- Production : Linda Gottlieb
- Coproductrice : Eleanor Bergstein
- Producteurs délégués : Mitchell Cannold et Steven Reuther
- Productrice associée : Doro Bachrach
- Société de production : Great American Films Limited Partnership et Vestron Pictures
- Société de distribution : Vestron Pictures (États-Unis), Norstar Releasing (Canada), L'Atelier Distribution (France)[1]
- Budget : 6 millions de dollars[2]
- Pays d'origine : États-Unis
- Langue originale : anglais
- Format[3] : couleur - 35 mm - 1,85:1 (Panavision) - son : Dolby stéréo
- Genre : drame musical, romance
- Durée : 100 minutes
- Dates de sortie :
- États-Unis :
- France : (Festival de Cannes), (Festival du cinéma américain de Deauville), (sortie nationale)
- Québec : [4]
- Canada : (Digital Film Festival)
- Classification[5] :
- États-Unis : PG-13 - Parents Strongly Cautioned (Certaines scènes peuvent heurter les enfants de moins de 13 ans - Accord parental recommandé, film déconseillé aux moins de 13 ans)
- France : Tous publics (visa d'exploitation no 67086 délivré le )[6]
Distribution
- Patrick Swayze (VF : Richard Darbois) : Johnny Castle
- Jennifer Grey (VF : Virginie Ledieu) : Frédérique « Bébé » Houseman[alpha 3]
- Jerry Orbach (VF : Pierre Hatet) : le docteur Jake Houseman
- Kelly Bishop (VF : Liliane Patrick) : Marjorie Houseman
- Cynthia Rhodes (VF : Martine Meirhaeghe) : Penny Johnson
- Jack Weston (VF : Yves Barsacq) : Max Kellerman
- Max Cantor (VF : Éric Baugin) : Robbie Gould
- Jane Brucker (VF : Françoise Rigal) : Lisa Houseman
- Lonny Price (VF : Jean-François Vlérick) : Neil Kellerman
- Charles Honi Coles (VF : Robert Liensol) : Tito Suarez
- Neal Jones : Billy Kostecki
- Wayne Knight (VF : Mario Santini) : Stan
- Paula Trueman : madame Sylvia Schumacher
- Alvin Myerovitch : monsieur Schumacher
- « Cousin Brucie » Morrow (en) : le magicien
- Garry Goodrow : Moe Pressman
- Miranda Garrison : Vivian Pressman
- Patrick Swayze en 1989.
- Jennifer Grey en 1988.
- Jerry Orbach en 1965.
- Kelly Bishop en 2015.
Production
Choix des acteurs
Le rôle de Johnny Castle est initialement destiné à Val Kilmer, mais celui-ci déclinera finalement l'offre. Le nom de Billy Zane est également évoqué, mais c'est finalement Patrick Swayze, alors inconnu du grand public, qui est choisi[7].
Alors que le personnage de « Bébé » est âgé de dix-sept ans, c'est Jennifer Grey, alors âgée de vingt-sept ans, qui est choisie pour le rôle. Dans un premier temps, la production la juge trop vieille pour incarner une adolescente. Mais la comédienne serait parvenue à convaincre Emile Ardolino en cinq minutes, notamment pour ses talents de danseuse[7].
À l'origine, le rôle de Marjorie Houseman devait être tenu par Lee Leighton. Mais après que cette dernière soit tombée malade, elle fût remplacée par Kelly Bishop qui devait initialement jouer le rôle de Vivian Pressman. Celui-ci échoua finalement à l'assistante-chorégraphe du film, Miranda Garrison.
Tournage
Le tournage débute le [8] et s’achève quarante-trois jours plus tard[9] à Lake Lure dans le comté de Rutherford en Caroline du Nord et à Mountain Lake dans le comté de Giles en Virginie[10]. Les scènes à Lake Lure sont filmées dans un ancien camp scout pour filles appelé « Camp Occoneechee », qui est aujourd'hui une propriété privée, une communauté résidentielle connue sous le nom de « Firefly Cove »[11].
Partiellement effectué en automne, le tournage cependant s’avère compliqué étant donné que l’histoire est censée se dérouler en été : l'équipe doit repeindre des feuilles d'arbre en vert et les recoller sur des arbres. La scène du porté dans le lac est difficile, en raison de la température de l'eau[12].
Le tournage est aussi parfois rendu difficile à cause de la profonde mésentente qui règne entre les acteurs Patrick Swayze et Jennifer Grey, qui ne s'apprécient guère. La scène où Johnny Castle s'énerve lors des répétitions de leur danse, parce que Bébé ricane, était bien réelle. Patrick Swayze ne supporte également plus que Jennifer Grey ricane quand il lui frôle les aisselles. D'une manière générale, il lui reproche de prendre son rôle trop à la légère[7]. Au début du projet, Swayze avait pourtant dû la convaincre de participer au film, la comédienne ne l'ayant pas du tout apprécié sur le tournage de L'Aube rouge, trois ans plus tôt[13].
Tout comme la scène où Jennifer Grey ne pouvait s'empêcher de rire, celle où Johnny et Bébé rampent sur le sol n'était pas prévue au scénario. Il s'agissait en fait d'un échauffement des deux acteurs que le réalisateur, très enthousiasmé par cette performance, décide d'intégrer au film[7].
Musique
La bande originale du film est sortie en , en même temps que le film dans les salles de cinéma américaines, qui est un succès commercial aux États-Unis. Il reste dix-huit semaines à la première place du Billboard 200 comptabilisant les ventes d'albums et s'est vendu à 42 millions d'exemplaires dans le monde[14] et est l'un des albums les plus vendus de tous les temps. En 1988, il donne naissance à un autre album intitulé More Dirty Dancing.
Accueil
Critique
Sur le site agrégateur de critiques Rotten Tomatoes, le film obtient un score de 68 % d'avis favorables, sur la base de 69 critiques collectées et une note moyenne de 6,11/10 ; le consensus du site indique : « Comme ses personnages séduisants, Dirty Dancing utilise une chorégraphie impressionnante et le pouvoir de la chanson pour surmonter une série d'obstacles redoutables »[15]. Sur Metacritic, le film obtient une note moyenne pondérée de 65 sur 100, sur la base de 20 critiques collectées ; le consensus du site indique : « Avis généralement favorables »[16].
Box-office
Le film a obtenu un grand succès sur le continent américain, malgré son petit budget et des acteurs alors très peu connus.
La bande originale du film est l'une des plus vendues dans le monde, avec des chansons telles que She's Like the Wind (écrite et interprétée par Patrick Swayze), Hungry Eyes (interprétée par Eric Carmen) et (I've Had) The Time of My Life (composée par Franke Previte (en), interprétée en duo par Bill Medley et Jennifer Warnes) ; cette dernière remportera en 1988 l'Oscar de la meilleure chanson[17].
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
---|---|---|---|
États-Unis Canada |
63 446 382 $ | 19 | |
Total mondial | 214 577 242 $ | - | - |
En comparaison, en France le film n'a pas trouvé son public, avec seulement 394 327 entrées au cours de son exploitation en salles[18]. Il a cependant connu une seconde carrière, grâce à sa sortie en VHS dans les vidéo-clubs[12].
Distinctions
Entre 1987 et 2008, Dirty Dancing a été sélectionné 18 fois dans diverses catégories et a remporté 12 récompenses.[19]
Récompenses
- Jupiter Awards 1987 : Jupiter Award du meilleur film international pour Emile Ardolino.
- Amanda Awards 1988 : Prix Amanda du meilleur long métrage étranger pour Emile Ardolino.
- Cérémonie des Oscars 1988 : Oscar de la meilleure chanson originale (I've Had) The Time of My Life pour Franke Previte, John DeNicola et Donald Markowitz[17].
- Golden Globe Awards 1988 : Golden Globe de la meilleure chanson originale (I've Had) The Time of My Life pour Franke Previte, John DeNicola et Donald Markowitz[17].
- Film Independent Spirit Awards 1988 : Independent Spirit Award du meilleur premier long métrage pour Emile Ardolino et Linda Gottlieb.
- Goldene Leinwand 1988 :
- Golden Screen pour les films ayant totalisé 3 millions d'entrées en 18 mois,
- Golden Screen avec 1 étoile pour les films ayant totalisé 6 millions d'entrées en 18 mois.
- Grammy Awards 1988 : Meilleure prestation vocale pop d'un duo ou groupe pour Bill Medley et Jennifer Warnes[20].
- ASCAP Film and Television Music Awards 1989 :
- ASCAP Award des chansons les plus jouées de films cinématographiques Hungry Eyes pour John DeNicola et Franke Previte,
- ASCAP Award des chansons les plus jouées de films cinématographiques (I've Had) The Time of My Life pour Franke Previte, John DeNicola et Donald Markowitz.
- BMI Film and TV Awards 1989 : chanson la plus jouée d'un film She's Like the Wind pour Patrick Swayze et Stacy Widelitz
- TV Land Awards 2008 : séquence de danse de film que vous avez reconstituée dans votre salon (I've Had) The Time of My Life
Nominations
- Festival du cinéma américain de Deauville 1987 : prix de la critique internationale pour Emile Ardolino.
- Golden Globe Awards 1988 :
- Grammy Awards 1988 : meilleure chanson écrite spécifiquement pour un film ou la télévision (I've Had) The Time of My Life pour Franke Previte, John DeNicola et Donald Markowitz[17].
- Kids' Choice Awards 1988 : acteur de cinéma préféré pour Patrick Swayze
Autour du film
La réplique culte de Johnny Castle (Patrick Swayze) « On ne laisse pas Bébé dans un coin ! »[22] sera reprise dans la culture populaire, comme la danse au cours de la séquence finale du film.
Dans la culture populaire
Cinéma
- Dans L'Arnacœur (2010) de Pascal Chaumeil, le personnage de Romain Duris tente de séduire celui de Vanessa Paradis. La sachant passionnée par le film Dirty Dancing, il regarde le film en boucle, mémorise la chorégraphie, prétend adorer le film lui aussi et reproduit la danse finale du film avec elle.
- Dans Crazy, Stupid, Love (2011) de Glenn Ficarra et John Requa, le personnage de Jacob (Ryan Gosling) a une technique pour mettre les femmes dans son lit : il inclut le nom du film Dirty Dancing dans sa conversation, met la musique (I've Had) The Time of My Life et exécute le « porté » devenu culte de la danse finale du film.
- Dans Men in Black 3 (2012) de Barry Sonnenfeld, le personnage de Pitbull reprend la chanson |Love is strange du film, sous le titre Back in time.
Télévision
- Dans la série Malcolm (saison 3, épisode 8), la scène du cours de danse est largement inspirée du cours que Penny donne aux vacanciers.
- Dans la série How I Met Your Mother (saison 2, épisode 12), Barney (Neil Patrick Harris) reprend une scène du film.
- Dans la série 90210 Beverly Hills : Nouvelle Génération (saison 1, épisode 7), on trouve une allusion à la citation du film « On ne laisse pas bébé dans un coin ».
- Dans la série Glee (saison 2, épisode 9), une reprise de la chanson (I've Had) The Time of My Life est chantée par les personnages de Quinn et de Sam[23].
- Dans la série New Girl, le personnage de Jess regarde le film plusieurs fois par jour lors de ses grosses ruptures amoureuses. On le voit lors de sa rupture avec Spencer dans le premier épisode de la première saison et sa rupture avec Nick dans la troisième saison.
Musique
- La chanson (I've Had) The Time of My Life est reprise en 2010 par les Black Eyed Peas, sous le titre The Time (Dirty Bit).
Attraction touristique
- Le site de tournage de Dirty Dancing, l'hôtel du Mountain Lake, a misé son offre touristique sur la mémoire du film. C'est en effet le lieu de tournage de la fameuse scène de la répétition dans le lac du porté de la danse finale. Or, pendant douze ans le lac s'est asséché, par un système naturel d'auto-nettoyage cyclique, au grand dam des fans du drame musical. Cependant, il s'est à nouveau partiellement rempli depuis 2020[24],[25].
Adaptations
Suite et reprises
- 2004 : En dépit de son titre, Dirty Dancing 2 de Guy Ferland ne peut être considéré comme une véritable suite dans la mesure où le film ne reprend pas les mêmes personnages. Il s'agit en réalité d'une reprise transposée à La Havane. Patrick Swayze y tient un petit rôle.
- 2017 : Dirty Dancing de Wayne Blair, une mini série de trois épisodes produite par ABC, sera le troisième reprise du film devenu culte[26].
- 2020 : suite de Dirty Dancing avec Jennifer Grey et réalisé par Jonathan Levine[27].
Comédie musicale
En 2004, le film est adapté pour la scène en comédie musicale sous le titre Dirty Dancing: The Classic Story on Stage. Produit par Jacobsen Entertainment en Australie pour un budget de 6,5 millions de dollars, le spectacle est écrit par Eleanor Bergstein avec les mêmes chansons que dans le film, ainsi que quelques scènes supplémentaires. La direction musicale est assurée par Chong Lim (l'un des compositeurs de la musique des Jeux olympiques d'été de 2000 à Sydney), et la production initiale comprend Kym Valentine dans le rôle de Bébé, et Josef Brown pour le personnage de Johnny. La production est un succès commercial vendant plus de 200 000 billets pendant ses six mois d'exploitation. Il s'est également joué à guichets fermés en Allemagne, et dans le West End de Londres à l'Aldwych Théâtre à partir du 23 octobre 2006, s'enorgueillissant d'être la plus forte pré-vente de l'histoire de Londres (plus de 6 millions de livres). En mars 2011, plus d'un million de personnes a vu la comédie musicale à Londres et la vente des billets se fait six mois à l'avance. La production du West End d'origine se clôt en juillet 2011, après une durée de cinq ans, avant une tournée nationale de deux ans. Le spectacle est ensuite de retour dans le West End au Piccadilly Theatre, du 13 juillet 2013 au 22 février 2014 avant de reprendre sa tournée au Royaume-Uni et en République d'Irlande.
Une production se met en place pour New York en 2006 avec une pré-tournée dans d'autres villes nord-américaines, le spectacle bat des records au box-office en mai 2007 : 2 millions de dollars dès le premier jour de vente des billets à Toronto. La production débute le 15 novembre 2007, au Royal Alexandra Theatre, avec une distribution entièrement canadienne, sauf pour Monica Ouest (Baby Housman), Britta Lazenga (Penny) et Al Sapienza (Jake Housman). Après Toronto, la comédie musicale s'installe à Chicago, d'abord en extraits le 28 septembre 2008 et l'ouverture officielle se fait le 19 octobre 2008, suivie par Boston (février 7 - 15 mars, 2009) et Los Angeles. Le spectacle est prévu à Paris, en langue française au palais des sports à partir du 15 janvier 2015.
Lieu de représentation | Première | Dernière |
---|---|---|
Sydney | 18 novembre 2004 | |
Hambourg | 26 mars 2006 | 30 juin 2008 |
Londres | 23 octobre 2006 | 9 juillet 2011 |
Tournée USA & Canada | 15 novembre 2007 | 29 mars 2009 |
Utrecht | 9 mars 2008 | 4 juillet 2009 |
Berlin | 7 avril 2009 | 14 novembre 2010 |
Oberhausen | 19 octobre 2011 | 8 octobre 2012 |
Tournée Grande-Bretagne & Irlande | 1er septembre 2011 | |
Zurich | 21 mai 2014 | 29 juin 2014 |
Berlin | 27 avril 2014 | 18 mai 2014 |
Cologne | 16 juin 2014 | 10 août 2014 |
Vienne | 21 septembre 2014 | 26 octobre 2014 |
Milan | 9 octobre 2014 | 28 décembre 2014 |
Brème | 29 octobre 2014 | 23 novembre 2014 |
Munich | 26 novembre 2014 | 15 décembre 2014 |
Paris | 15 janvier 2015 | 15 mars 2015 |
Düsseldorf | 23 janvier 2015 | 22 février 2015 |
Tournée francophone | 28 mars 2015 | |
- Distribution française
- Johnny Castle : Corentin Mazo
- Bébé Houseman : Cécile Mazéas
- Penny Johnson : Ophélie de Cesare
- Jake Houseman : Olivier Breitman
- Marjorie Houseman : Aurélie Bargème
- Lisa Houseman : Tiffanie Jamesse
- Billy : Dan Menasche
- Max Kellerman : Jean Reynès
- Gilles Kellerman : Thomas Langlet
- Tito Suarez : Barry Johnson
- M. Schumacher : Michel Mella
Notes et références
Notes
- « Frances » en version originale.
- « Baby » en version originale.
- Frances « Baby » Houseman en version originale.
Références
- « Casting du film Dirty Dancing », sur Allociné (consulté le ).
- (en) « Box office du film Dirty Dancing », sur Box Office Mojo.com (consulté le ).
- (en) Spécifications techniques sur l’Internet Movie Database (consulté le 18 juin 2020).
- « Danse lascive », sur Cinoche (consulté le ).
- (en) Parents Guide sur l’Internet Movie Database (consulté le 18 juin 2020).
- « Visa et Classification - Fiche œuvre Dirty Dancing », sur CNC (consulté le ).
- « Dirty Dancing : 5 choses à savoir sur le film culte », sur CinéSéries, (consulté le ).
- (en) « Dirty Dancing on Lake Lure », sur Deep South Magazine, (consulté le ).
- (en) Ann Kolson, « Fairy Tale Without An Ending », sur The New York Times, (consulté le ).
- (en) Condé Nast, « How to Visit the Filming Locations of Dirty Dancing », sur Architectural Digest (consulté le ).
- (en) Neil Genzlinger, « Dirty Dancing: Where Kellerman's Came to Life », sur The New York Times, (consulté le ).
- « Dirty Dancing : 30 ans d'un film culte », François Chaumont (réal.), TF1 productions, 2017, diffusé sur TMC le 20 février 2018.
- Dirty Dancing (1987) - IMDb (lire en ligne)
- https://www.evous.fr/Musique-de-films-Les-B-O-les-plus-vendues-au-monde,1179386.html.
- (en) « Dirty Dancing (1987) », Rotten Tomatoes.com (consulté le ).
- (en) « Dirty Dancing Reviews », Metacritic.com (consulté le ).
- Mary Campbell (Associated Press), « On the way to a singing career, he found success as a songwriter », Daily News of Los Angeles,
- « Patrick Swayze Box OfficeE », sur Box Office Story (consulté le ).
- (en) Distinctions sur l’Internet Movie Database (consulté le 18 juin 2020).
- Dave Hoekstra, « Dirty Dancing: The movie, the music, the money », Chicago Sun-Times, .
- (en) Bruce Bigelow, « Three films receive five Golden Globe nominations », Associated Press,
- « Top 7 des répliques cultes de Dirty Dancing, "On laisse pas bébé dans un coin !" », sur programme-television.org, 12 septembre 2019.
- « (I've Had) The Time Of My Life: From "Dirty Dancing" To "Glee" », sur Internet Movie Database (consulté le ).
- Jérôme Lachasse, « Le lac de "Dirty Danding", à sec depuis 12 ans, se remplit mystérieusement », sur bfmtv.com,
- Andrea Smith (trad. Niels Murawsky), « Le lac de Dirty Dancing réapparaît après 12 ans d'absence », sur lonelyplanet.fr,
- AlloCine, « Dirty Dancing : une mini-série remise au goût du jour pour Noël sur TF1 », sur AlloCiné (consulté le )
- « Un nouveau « Dirty Dancing » avec Jennifer Grey est en route », sur www.20minutes.fr (consulté le )
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Centre national du cinéma et de l'image animée
- Cinémathèque québécoise
- (en) AllMovie
- (en) American Film Institute
- (en) Internet Movie Database
- (en) Metacritic
- (en) Movie Review Query Engine
- (de) OFDb
- (en) Oscars du cinéma
- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database
- (en) Site officiel
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