Cussac (Haute-Vienne)

Cussac (Cussac en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Cussac.

Cussac

L'église Saint-Pierre-ès-Liens.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
(siège)
Maire
Mandat
Dominique Chambon
2020-2026
Code postal 87150
Code commune 87054
Démographie
Gentilé Cussacois
Population
municipale
1 213 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 21″ nord, 0° 51′ 05″ est
Altitude Min. 264 m
Max. 476 m
Superficie 31,70 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rochechouart
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Cussac
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Cussac
Géolocalisation sur la carte : France
Cussac
Géolocalisation sur la carte : France
Cussac

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Ses habitants sont appelés les Cussacois[1].

    Géographie

    Situation de la commune de Cussac en Haute-Vienne.

    Cette commune est à environ 45 km au sud-ouest de Limoges[2]. Elle est connue dans le monde du motocross et du quad grâce à son championnat de France du motocross qui s'y déroule en avril depuis 2013[3] sur le terrain moto-cross de Piégut à Cussac[4].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 087 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Champagnac la R », sur la commune de Champagnac-la-Rivière, mise en service en 1977[12] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 190,3 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 35 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[16] à 11,4 °C pour 1981-2010[17], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Cussac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,3 %), prairies (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,8 %), zones urbanisées (3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    L'origine du nom de la commune pourrait trouver son origine par la géographie de la région qui était très boisée de chênes, « Cass » issu de « Cassano » et suivie du suffixe « ac » dérivant du gaulois latinisé « acu » signifiant la possession d’un domaine, le préfixe désignant souvent le nom du propriétaires[25].

    Le nom de Cussac apparaît pour la première fois dans un document remontant à 1242 relatant le mariage de Marguerite de Limoges, petite fille d’Henri Ier, avec Aymeric VIII, Vicomte de Rochechouart. (« …par sentence arbitrale du 3 des nones d’avril 1242, elle eut pour dot les forteresses et ville de Cussac, d’Oradour… »)[25].

    Histoire

    Historique

    Le village appartenait à la seigneurie de Cromières.

    L’église de Cussac date du XIe siècle. Il existait aussi le monastère de Boubon, qui fut vendu et détruit après la Révolution française ; il abritait l’ordre de Fontevrault.

    Au XVIIIe siècle, des fondeurs de cloches (« campaniers ») et des potiers d’étain (« estagners ») viennent s’installer à Cussac.

    À partir de 1941, les environs de Cussac abritent des maquis :

    • au village de la Bénéchie avec Jean Fredon, (fusillé à la prison de Tulle le 2 avril 1944), André Jallageas, les frères Deville, les frères Rampnoux[26].
    • dans la forêt de Boubon (caches de maquisards creusées dans le tuff)[27].

    Fin août 1943, les Ftp de Cussac sabotent le pont tournant ferroviaire de St Sulpice Laurière, à 160 km de là[28].

    Les docteurs Bapt et Benech, de l'inspection départementale de la santé, entrés en résistance depuis 1943, font livrer du matériel médical et chirurgical au maquis de Cussac en juillet 1944 pour soigner les blessés[29].

    Les résistants de l'Armée Secrète de Boubon participent aux combats d'Oradour sur vayres du 19 juillet 1944[30].

    Politique et administration

    La mairie de Cussac

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1936 inconnu Charles François Blancher[32]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1965 André Allafort[33] PCF Artisan coiffeur
    mars 2001 mars 2014 Guy Desplas[34]    
    mars 2014 2020 Luc Gabette[35] Cussac
    Développement
    (DVD)
     
    2020 En cours Dominique Chambon DVG Ancien directeur commercial, conseiller départemental remplaçant

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2018, la commune comptait 1 213 habitants[Note 6], en diminution de 2,41 % par rapport à 2013 (Haute-Vienne : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5791 6381 6296981 8951 9912 0072 0202 042
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9351 8641 9061 8111 8961 9552 0972 0372 073
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0382 0232 0271 7551 5861 4681 3681 3341 252
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 1551 1831 2531 2521 2061 1231 2141 1931 242
    2018 - - - - - - - -
    1 213--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L’église Saint-Pierre-ès-Liens.
    • Les souterrains sous la place de l’Église.
    • Le monastère de Boubon.
    • Le manoir du Puy.
    • La Jalade.
    • Clédier rond.
    • La voie antique (le chemin La Pouge), proche du bourg.

    Patrimoine naturel

    Bonne fontaine de La Mazaurie.

    La commune fait partie du parc naturel régional « Périgord-Limousin »[42].

    Elle est concernée par la vaste « réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », un espace protégé et géré Natura 2000. Si elle manque de peu d'entrer dans sa « zone tampon »[43] (5 070,0106 km²) dont elle jouxte la limite sud-ouest, la commune fait partie de la zone qui l'entoure, dite « zone de transition »[44] (188 025,62 km²).

    ZNIEFF

    La commune présente trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF).

    • La ZNIEFF continentale de type 2 de la « vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) »[45], soit 2 130,31 hectares, concerne dix communes[Note 7] dont Cussac.
    • La ZNIEFF continentale de type 1 de l'« étang de la Monnerie (vallée de la Tardoire) »[46], soit 30,11 hectares, concerne Cussac et Oradour-sur-Vayres. Cette ZNIEFF comprend une chênaie mésophile et une aulnaie-saulaie marécageuse, une mégaphorbiaie de plaine à angéliques, des bras morts de la Tardoire et des mares. On y trouve le râle d'eau (Rallus aquaticus ), la loutre (Lutra lutra), l'hespérie à miroirs (Heteropterus morpheus, papillon menacé en Limousin), le galéruque à 4 taches (Phyllobrotica quadrimaculata) ou le Gnorimus variabilis octopunctatus. Cette ZNIEFF est complètement incluse dans la ZNIEFF de la « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) »[45].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Cussac
    Blason
    Tiercé en pairle renversé: au 1er de sinople à la bogue de châtaignier d'or, au 2e d'or à la quenouille de sinople, au 3e d'azur à trois fasces ondées d‘argent; le tout sommé d'un chef d'azur chargé de deux fasces ondées d'argent.
    Détails

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Pierre Macaire, Cussac et sa région : histoire d'une agglomération rurale en Poitou[49].
    • Pierre de Fontaine de Resbecq, Cussac : une page d'histoire : familles et châteaux[50].
    • André Grasset, Cussac au 20e siècle. La vie dans nos villages[51].

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. Les dix communes de la ZNIEFF de la « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) » sont : Châlus, Champagnac-la-Rivière, Champsac, Chéronnac, Cussac, Maisonnais-sur-Tardoire, Oradour-sur-Vayres, Saint-Bazile, Saint-Mathieu et Les Salles-Lavauguyon.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

      Références

      1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
      2. Cussac et communes environnantes. Sur geoportail.fr.
      3. Deux jours de courses, près de 240 pilotes attendus. Sur lepopulaire.fr, 06/05/13.
      4. Terrain moto-cross de Cussac-Piégut, fiche sur le site mxcircuit.fr.
      5. Carte IGN sur Géoportail
      6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      8. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
      9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
      12. « Station Météo-France Champagnac la R - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      13. « Orthodromie entre Cussac et Champagnac-la-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
      14. « Station Météo-France Champagnac la R - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      15. « Orthodromie entre Cussac et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
      16. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      17. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      18. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      25. « Historique de Cussac - Origine Etymologique de Cussac », sur www.cussac87.fr (consulté le ).
      26. pascal Plas, Visages de la resistance, lucien souny, , 249 p. (ISBN 2-84886-033-2), p. 39.
      27. « caches des maquisards de la forêt de Boubon », sur tourisme-hautevienne.com (consulté le ).
      28. jean pierre Brulé, Paroles de resistants, lucien souny, , 348 p. (ISBN 978-2-913210-56-1 et 2-913210-56-2), p. 88.
      29. pascal plas, Visages de la résistance, lucien souny, , 249 p. (ISBN 978-2-84886-033-6 et 2-84886-033-2), p. 149-150.
      30. « louis verger », sur maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.fr (consulté le ).
      31. « Les maires de la commune » (consulté le ).
      32. « Maires de Cussac - francegenweb.org » (consulté le ).
      33. https://maitron.fr/spip.php?article9864, notice ALLAFORT André par Claude Pennetier, version mise en ligne le 10 octobre 2008, dernière modification le 21 février 2010.
      34. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
      35. « Cussac 87150 - Résultats des municipales 2014 » (consulté le ).
      36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      40. « Domaine de Cromières », notice no PA00100527, base Mérimée, ministère français de la Culture.
      41. L'eau et le sacré, les cultes thérapeutiques autour des fontaines en France du Moyen Âge à nos jours, Brigitte Caulier, Beauchesne, presses de l'université Laval, (ISBN 2 7010 1214 7).
      42. « Parc naturel régional Périgord-Limousin » - FR8000035. Fiche et cartographie espace protégé Natura 2000.
      43. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne, zone tampon » - FR6400011. Fiche et cartographie espace protégé Natura 2000.
      44. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne, zone de transition » - FR6500011. Fiche et cartographie espace protégé Natura 2000.
      45. « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) » - 740000072. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
      46. « Étang de la Monnerie (vallée de la Tardoire) » - 740120048. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
      47. « Bois des Essarts » - 740008249. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
      48. « Le comité français pour Yad Vashem - Dossier 5158 », sur Le comité français pour Yad Vashem (consulté le ).
      49. Pierre Macaire, Cussac et sa région : histoire d'une agglomération rurale en Poitou, Copenhague, Le plein des Sens, , 207 p. (ISBN 87-88896-01-3, lire en ligne).
      50. Pierre de Fontaine de Resbecq, Cussac : Une page d'histoire : Familles et chateaux, Paris, Livre d'histoire-Lorisse (Le), coll. « Monographie des villes et villages de France », (réimpr. Fac-sim. de l'éd. de : Rochechouart : Impr. Dupanier frères, 1906) (1re éd. 1906), 100 p., 14,0 cm × 20,0 cm × 0,6 cm (ISBN 978-2-7586-0006-0, ISSN 0993-7129).
      51. André Grasset, Cussac au XXe siècle. : La vie dans nos villages., Cussac, A. Grasset, , 476 p. (notice BnF no FRBNF41244287).
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